1 septembre 2020
Elles doivent en théorie être traitées.
L’Association agréée de pêche et de protection du milieu aquatique (AAPPMA) estime que cette pollution a débuté il y a plusieurs années, en témoigne la couche de ciment séché visible sur les quais. Le groupe Lafarge, lui, assure qu’il s’agit d’un «événement exceptionnel indépendant de sa volonté» et évoque un acte de malveillance.
L’affaire a été transmise à la justice.
Selon Europe 1 qui a récupéré ces images, ces eaux contiennent un
mélange de particules de ciment, de liquides de traitement et de
microfibres de plastique.
Elles doivent en théorie être traitées.
L’Association agréée de pêche et de protection du milieu aquatique (AAPPMA) estime que cette pollution a débuté il y a plusieurs années, en témoigne la couche de ciment séché visible sur les quais. Le groupe Lafarge, lui, assure qu’il s’agit d’un «événement exceptionnel indépendant de sa volonté» et évoque un acte de malveillance.
L’affaire a été transmise à la justice.
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