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samedi 1 août 2020

Une Muselière pour Tous




Depuis 3 mois, la dangerosité du virus chinois semble moindre, et pourtant, on parle de plus en plus de porter un masque. 

La possibilité d’un retour de ce microbe jette une peur irraisonnée dans la population.

On voit même, des conducteurs seuls dans leur voiture qui sont masqués comme au carnaval. Le ridicule ne tue pas !
Il serait même question de le faire porter jusqu’à la découverte du vaccin « salvateur ».
Il faudra peut-être, attendre encore longtemps …
Dans certains pays, on dirait que le virus reste encore dangereux, mais ici, il semble bien avoir perdu de sa virulence.
Le Pr. Perronne, infectiologue, comme Nicole Delepine, cancérologue et d’autres médecins, mais de moindre notoriété, disent que l’on fait volontairement la confusion entre la positivité des tests qui se multiplient et la maladie, afin d’entretenir la peur dans la société.
Dans ces conditions, le nombre de consultations augmenterait et les autorités médicales et politiques en profiteraient pour durcir les conditions sur la prévention d’une prochaine épidémie vraie ou fantasmée.
Contradiction d’ailleurs, puisque quand l’impact du virus était au plus haut de sa dangerosité, ces mêmes spécialistes étaient les premiers à déclarer, que ce bout de tissus sur le nez ne servait à rien. Jusque-là, ils ont avancé dans le brouillard et continuent, mais sans pour autant perdre de vue leur intérêt.
D’un côté, des mesures restrictives de liberté sont prises et de l’autre, les frontières restent ouvertes, qui permettent à des porteurs du virus en provenance de pays où il continue à tuer de rentrer en France sans difficulté.
Quant à la question sur l’utilité de se couvrir le visage, on reste dans l’incertitude sur son efficacité.
D’après un biologiste canadien, les mailles du tissu, si serrées soient elles, (peuvent peut-être), arrêter des bactéries mais seraient inopérantes sur des virus qui sont encore plus petits.
D’autre part, le masque, dit « chirurgical », ne colle jamais parfaitement au visage et l’air entre par toutes ces petites ouvertures.
Par contre, ces dispositions contraignantes, avec en plus la menace d’un re-confinement, sont une aubaine pour notre Gouvernement.
Tant que la population reste sur le qui-vive, elle ne pense pas à lui demander des comptes.
Des comptes, sur l’interdiction des seuls médicaments que le monde médical avait sous la main.
La Chloroquine et l’Azythoromicine (un antimicrobien) particulièrement efficace contre les pneumopathies.
Avec le bilan que l’on sait: soit, plus de 30 000 morts, qui auraient pu être évités.
Sans compter, les morts à domicile, avec le scandale des Ehpads.
Et un confinement, fait en dépit du bon sens.
Il s’agissait de mettre la pression afin de promouvoir le Remdesevir, médicament qui n’a pas prouvé d’efficacité, mais d’un rapport formidable pour les laboratoires pharmaceutiques.
Alors que le protocole du Pr. Raoult est proposé à un prix très bas.
Sans parler, d’un vaccin « miracle » qui doit résoudre définitivement le problème.
L’Etat a trouvé là une occasion unique pour imposer son autorité défaillante, et mesurer jusqu’où il peut aller, dans la privation des libertés sans provoquer des résistances. Il a découvert le vrai remède, la Peur !
Dans le port du masque muselière, il y a aussi un symbole.

Celui pour le peuple craintif: se taire et obéir …
Onyx

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