Droit à l’Infanticide ou Assassinat Légal ?

 

Publié le 7 août 2020 par rra137
 

Une loi pour le droit de tuer a été votée en pleine nuit allant jusqu’à la fin de la période de gestation, pour pratiquer une IVG. 

Avec un alibi que le PS et les franc-macs voudraient en béton, mais qui est en coton et pas crédible : La détresse psycho-sociale est un faux argument.

On sait qu’entre 8 et 9 mois un corps humain est déjà complètement formé et c’est à ce moment que les purs produits du Dr. Mengele seront appelés à pratiquer leur vilaine besogne.
 Des crimes exécutés au nom de loi sur la Bioéthique.

L’avortement, qui jusque-là, respectait quand même, certaines règles sont devenues maintenant complètement la négation de la vie.
La loi Weil, avait cependant un mérite, celui de n’autoriser cette pratique que lors de situations exceptionnelles.

Du moins, c’était une règle exceptionnelle qui avait vite été dépassée pour passer « dans les mœurs ». Mais qui n’allait pas (en principe) au-delà du délai autorisé.

Ce n’était pas assez pour nos apprentis sorciers, groupés autour de leur infernal chaudron.
Toutes les pensées étaient tournées vers le port du masque et la peur du virus.
Tout le monde pense aux vacances, c’était le moment d’en profiter pour faire passer insidieusement cette loi scélérate.

Officiellement, il s’agit de libérer la femme en détresse psychosociale, en la libérant de sa grossesse. Le tout, avec de belles idées d’humanisme, dans un esprit « progressiste ».

Ce qui n’est en fait, qu’une solution de facilité.
Car si ces législateurs pensaient aider des femmes en situation de détresse, ils s’y prendraient autrement.
En proposant, par exemple, une aide financière ou matérielle, afin de les aider à élever leur enfant, ou bien confier l’enfant à des parents adoptifs, qui sont nombreux en cette époque.

On compte en France, environ 216 000 avortements par an.
Ce qui est énorme et représente une brèche dans la démographie d’un pays qui ne fait plus assez d’enfants: si l’on en croit certains démographes pour assurer la pérennité des autochtones.

Pendant ce temps, les communautés maghrébines et africaines se chargent de remplir les maternités. D’autant plus, que dans la religion musulmane, l’avortement est haram (interdit).

Selon l’ONU, plus de la moitié de la croissance démographique dans le monde aura lieu en Afrique. On a du souci à se faire !

Mais le plus surprenant, c’est que les promoteurs de cette loi infanticide, sont certainement les plus acharnés à s’opposer à la peine de mort pour les assassins d’enfants, et d’ailleurs contre la peine de mort, en général.

Les mêmes personnes, peut-être, qui ont approuvé l’usage du Rivotril, dans les Ehpads pour euthanasier les malades, en détresse respiratoire.
Des gens, qui n’ont rien trouvé à redire quand ce drôle de « médecin » Solomon proclamait qu’aucune antibiothérapie ne devait être prescrite chez un patient atteint du virus Chinois.
Prenez du Doliprane et attendez de passer de vie à trépas !
Des spécialistes qui trouvent normal que 30 000 malades de cette saloperie de virus soient morts sans soins.
Et qui sont fiers de leur bilan.

Des « progressistes » dangereux, non seulement pour leur pays, mais pour l’humanité entière.
Mais qui sont tout à fait à l’aise pour promouvoir la GPA et la PMA.
Quand il s’agit de considérer le corps d’une « mère porteuse », comme une machine biologique à fabriquer des bébés.

Où sont la logique, le bon sens et la morale dans tout ça ?
D’un côté, on tue des enfants à naître et de l’autre, on cherche à en fabriquer artificiellement.

Onyx