Quand un Orgueil Démesuré remplace l’Incapacité

 

Publié le 21 mai 2020 par rra137

Voilà maintenant ce minus, celui qui ridiculise notre pays, l’affaiblit qui veut se comparer à De Gaulle. 

Un De Gaulle, qui le tirerait par l’oreille comme un morveux mal éduqué, s’il revenait, pour le sortir de l’Elysée.

Un bouffon, qui se déguise à l’occasion en pilote de chasse, qui porte un treillis et un casque pour rencontrer des militaires, tout en faisant semblant de se passionner pour  l’armée alors qu’il n’a jamais fait le service militaire.
Au point de célébrer une défaite comme la bataille de Montcornet le 17 Mai 40.

Mais finalement, qui se trouve plus à l’aise à se faire peloter par des noirs à l’île Saint Martin.
Petit vicieux va …

Mais ne croyez pas, qu’avec cette célébration destinée à relever sa popularité en se faisant passer pour patriote, il ait changé d’orientation politique et de programme.

Aujourd’hui, toujours égal à lui même, il prétend sans le moindre scrupule être sorti vainqueur de la crise due à cette pandémie.
Avec une gestion calamiteuse et 30 000 morts, qui auraient pu être sauvés si toutes les mesures avaient été prises dès le début.

Macron, c’est le contre modèle absolu de De Gaulle !
« La France ne peut être la France sans la grandeur » disait-il.
Alors que Macron l’écrase.
Auparavant, il cherchait à se comparer à Clémenceau. Un bide…

Mais a-t-on le sens de l’indécence quand, (selon certaines sources) on brouille sa lucidité par l’usage de la cocaïne ?

Quand De Gaulle déclarait: « L’oeuvre colonisatrice qui a été accomplie par l’Occident européen et en particulier par la France fut grande, belle et féconde ».
Pour Macron c’est : « J’ai toujours condamné la colonisation comme un acte de barbarie. C’est un crime contre l’humanité. »

De Gaulle, qu’on l’aime ou qu’on ne l’aime pas, car il a aussi « déconné » dans le règlement du problème algérien, restait souverainiste, patriote et même nationaliste.
Alors que notre tocard national est un européiste, mondialiste « progressiste » convaincu.

Cela au point de relancer la grosse Merkel, afin de sauver sa conception de l’Europe.
Le prétexte étant la construction d’une Europe sanitaire.

C’est encore lui, qui déclare dans des moments de hargne, au sujet des nationalistes : « Ce sont eux, nos vrais ennemis (ce n’est pas les islamistes, tueurs du Bataclan), ils sont puissants, organisés, habiles, déterminés  (merci pour le compliment).
Mais aussi : « C’est le parti des agents du désastre (ce ne serait pas toi le désastre ?) les instruments du pire, toute « l’extrême droite » et avec elle le RN…
Ils utilisent la colère, propagent le mensonge (tu parles pour toi)… depuis des décennies, ils attisent la haine, fomentent des divisions et imposent leurs discours de discrimination… c’est une France grimaçante et recuite de haine ».

La haine elle est surtout dans ta bouche trouduc,  elle transpire de partout.
Bouddha disait pourtant: « Si la haine répond à la « haine », comment la haine finira t’elle ? »

Voilà chers amis populistes, ou tout simplement gens qui veulent rester dans le pays qui les a vu naître et qui refusent toute cette immigration envahissante, comment ce président d’opérette nous traite.

Pour ma part, je souhaite seulement qu’il tombe de son perchoir et morde durement la poussière.
Et le plus tôt sera le mieux !

Encore une dernière phrase du général à propos du Président Lebrun, mais qui pourrait s’attribuer au minable Macron : « Il eut fallu qu’il y ait un Etat et qu’il fut un chef ».

Onyx