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vendredi 15 mai 2020

Le petit empereur Macron et la gestion suicidaire de la pandémie


Macron 
 

 J'ai déjà eu l'occasion de dénoncer la caste des politicards et des journaleux parisiens (cette bande d'arrivistes sans scrupules, notamment dans l'audiovisuel public), qui ont -- encore et toujours -- un comportement indigne et irresponsable face au Coronavirus. 

Ils parlent, tout le temps, de tout, alors qu'ils ne savent rien. 

Ils sont, ainsi, coupables d'avoir créé une psychose collective, une "coromania", qui vient s'ajouter aux ravages causés par le virus lui-même. 
Le tout, dans une gestion suicidaire de la pandémie. 
Quant aux semi-guerres civiles dans les zones de non-droit, c'est le livre de la jungle, version non-confinée, macronisée, narconisée et coranisée.
A force de chercher du peu banal, j'ai tout de même fini par trouver quelques chroniques - pertinentes et mordantes - sur l'échec du petit empereur Macron et de son clan, chroniques dont les lecteurs trouveront, ci-dessous, quelques extraits adaptés (avec les liens vers les sources ad hoc en bas de page).

741 milliards de prestations sociales par an :

A propos de la gestion calamiteuse, voire suicidaire, de la pandémie, j'aime bien Marion Maréchal lorsqu'elle déclare (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : “Peut-on continuer avec cet Etat inapte à remplir ses missions fondamentales, alors qu’il prélève 50% de la richesse nationale ?”.
 "Comment un Etat qui dépense près de 200 milliards pour sa branche maladie et distribue 741 milliards de prestations sociales par an, peut-il être incapable de fournir des masques aux soignants et forces de l’ordre ou de tester massivement sa population ?", conclut Marion Maréchal (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source au bas de la présente analyse).
Le déconfinement (encore lui) s'ouvre avec une période bien étrange : le gouvernement offre aux européens (UE) la libre circulation partout en France, sans contrôle sanitaire et sans attestation.
Mais les Français, eux, seront "tenus en laisse" à 100km de leur domicile et verbalisés.

Les bouseux du Cantal et les ploucs du Berry :


L'éditorialiste gauloise Gabrielle Cluzel commente la mesure en question (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : "(...) Édouard Philippe ayant précisé qu’il fallait absolument éviter les 'brassages de population' (...).
Une déclaration aux relents réactionnaires et même ségrégationnistes tout à fait contraire au vivre ensemble, poncif un peu moins à la mode, il est vrai, ces temps derniers, le mourir seul ayant pris le dessus.
Rassurez-vous cependant, le politiquement correct est sauf, puisqu’il ne s’agit là que d’exclusion franco-française : interdiction est faite aux bouseux du Cantal de se mélanger aux ploucs du Berry", ajoute Gabrielle Cluzel (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source au bas de la présente analyse).
Dans un clip de l’Oréal intitulé "Agissons ensemble contre le harcèlement de rue", seuls les Blancs sont des agresseurs.
Maintenant que j'y pense, dixit Charlotte d'Ornellas, journaliste française non-l'oréalisée (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : "Je me réveille le matin, je suis Française, pas républicaine.
Je mange une gastronomie française, pas républicaine.
Je parle français, pas républicain.
La république n'est qu'un cadre.
Ce n'est pas un mode de vie, ni une civilisation", ajoute Charlotte d'Ornellas (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source au bas de la présente analyse).
Il y a donc la République cosmétique du racisme anti-blanc ; et la France de Charlotte.
Vous, je ne sais pas. Mais moi, je choisis Charlotte : "parce que je le vaux bien".

La criminelle incurie gouvernementale :

Le militant catholique Bernard Antony écrit notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : "Le temps doit se terminer de la suffisance, de la vanité, de l’orgueil manifesté par cet insupportable donneur de leçons en toutes choses qu’est l’actuel président de la République.
Il est, au plus haut niveau, le responsable de la criminelle incurie gouvernementale.
 Le confinement imposé totalitairement pour pallier aux manques de moyens sanitaires a entraîné la mort dans la solitude et le désespoir de milliers de personnes âgées".
Bernard Antony poursuit : "Il entraîne d’ores-et-déjà un immense effondrement économique et donc social qui n’a eu de pire que les ravages des derniers conflits.
Monsieur Macron s’est indécemment campé dans une posture flambarde de chef de guerre.
Mais sa politique de santé, mise en œuvre par des incompétents ajoutant leur incompétence à la sienne, a bel et bien causé un désastre", ajoute Bernard Antony (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source au bas de la présente analyse).

"On va réinventer notre été" :

Le chroniqueur chrétien conservateur Michel Janva écrit notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : "L’exhibitionnisme macronien, sa mise en scène, sa théâtralisation sont bien connus.
Il y a l’occasion des grands discours, celle des face-à-face avec les Grands de ce monde et qui permettent de figurer en bonne place ; celle des petits impromptus si agréables pour l’ego (même au prix d’un irrespect des consignes sanitaires pourtant serinées à longueur de programme télévisuel) sans même parler bien sûr de tous les épisodes du Grand Débat".
Michel Janva poursuit : "Et puis, peut-être le summum pour un Président français qui se pique de culture : la conclusion (en trente-et-une minutes de soliloque quand même) d’une visio-conférence organisée depuis l’Elysée avec des artistes de différents champs de la création, sur le sujet 'Comment protéger les acteurs de la création culturelle en cette période difficile ?'.
 Les idées crépitent, la bienveillance est totale, l’écoute est religieuse (le ministre de la Culture, Franck comme le nomme avec camaraderie Macron, prend attentivement en note les paroles présidentielles).
On va faire couler l’argent à flots et les aphorismes pleuvent, ne craignant pas l’oxymore : 'les utopies concrètes ; les vrais idéalistes sont des grands pragmatiques.
On va réinventer notre été.
On doit en faire un été apprenant et culturel ; on va devoir mettre du sport et de la culture à l’école' ", conclut Michel Janva, citant les bobards à Macron (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source au bas de la présente analyse).

La misère, la révolte et le chaos :

Et maintenant, pour conclure, voici un désaveu cinglant à propos de Macron et du gouvernement français : alors qu'une majorité d'Européens estime que leur gouvernement a été "à la hauteur" de la situation durant la crise du Covid-19, les deux tiers des Français (66%) pensent l'inverse.
Avec deux français sur trois franchement agacés par la bande à Macron, avec deux français sur trois estimant que Macron et le gouvernement français n'ont pas été "à la hauteur", c'est la Cinquième République toute entière qui risque de bientôt sombrer dans la misère, la révolte et le chaos.

Michel Garroté pour lesobservateurs.ch

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