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jeudi 16 avril 2020

Message rassurant du Dr Besnainou : la pandémie est presque finie !



15 avril 2020 - par Julien Martel

Dans la vidéo que je retranscris intégralement ci-dessous, le Dr Gilles Besnainou explique que les antibiotiques sont efficaces pour diminuer drastiquement les conséquences du coronavirus chez quasiment tous les patients. 


Le confinement pourra cesser très rapidement et bien avant le 11 mai.

La maladie causée n’est en fait pas un syndrome de détresse respiratoire aiguë (SDRA). Voir Covid19 : témoignage d’un médecin urgentiste à New-York. Cela explique grand nombre de morts dû à un usage inapproprié des respirateurs.
Le virus se comporte de façon très bizarre. Voir Covid-19 : la piste du microbiote, vers un nouveau paradigme ?
Les traitements qui marchent sont :
On voit que la chloroquine n’est pas essentielle, on voit que l’essentiel est l’antibactérien ou les antibactériens, et qu’un apport important peut être le zinc. Explication :
Retranscription intégrale

Traitement du Coronavirus : la lumière au bout du tunnel

Sur le Covid, la situation est assez stable à Paris, les choses s’améliorent un petit peu, il y a un peu moins de gens qui entrent en réanimation.
Et ce qui est surtout la révolution, c’est que maintenant, et ça je le dis vraiment de tout mon cœur, et c’est vraiment très très important. 
Ça a beaucoup changé en deux mois, en un mois. 
On nous a embourbés pendant un mois avec « faut pas traiter les malades, faut leur donner du Doliprane »
En fait, on voyait nos patients arriver, leur état se dégrader, aller en réanimation, c’était une catastrophe.
Là maintenant, c’est fini, les médecins de ville, ils ont changé, ils ont repris leurs habitudes ; nous traitons avec un, deux antibiotiques.
Nous empêchons les gens de développer ces fameuses horribles bronchites qui amènent les gens en réanimation.
On les voyait passer de la toux avec un peu de fièvre puis plus de toux jusqu’à l’étouffement, jusqu’à l’hôpital et puis la réanimation.



Tout ça, c’est fini pour les oto-rhino, pour les médecins généralistes, tout le monde s’est mis à traiter tout le monde, c’est-à-dire que maintenant, on n’attend plus le gouvernement, la chloroquine.
Ça a été un feu de paille, on s’en fout de la chloroquine, c’est pas ça qui est important.
(La chloroquine est un des deux médicaments faisant partie du protocole du docteur Raoult, le seul sur lequel insiste les médias, alors que son protocole comporte également un antibiotique, l’azithromycine, qui est passé sous silence par les médias.

Voir Coronavirus : Sabine Palliard-Franco a-t-elle trouvé la solution ?).

On a un arsenal d’antibiotiques, on donne un, deux antibiotiques, on essaie d’éviter que l’état des gens ne s’aggrave et il y a des résultats, on le voit aujourd’hui.
Les patients qui ont pris des antibiotiques terminent beaucoup, beaucoup moins en réanimation. Surtout vous qui êtes à l’étranger, en Tunisie, où la pathologie commence, n’hésitez pas à vous faire prescrire des antibiotiques, n’hésitez pas à prendre de l’azithromycine, le Zythromax, le fameux Zythromax. N’hésitez pas.
Maintenant, on connaît la pathologie.

Les Chinois nous ont menti de A à Z. Ce sont des menteurs, ils ne nous ont rien dit de la pathologie. 

 Et maintenant, on la connaît. On sait qu’il y a des problèmes thrombo-emboliques, les gens font des thromboses dans les vaisseaux sanguins.
On sait qu’il faut les mettre sous anticoagulants.
On sait que la réanimation intensive, les respirateurs, ce n’est pas très utile et au contraire, ça peut être délétère, on sait plein de choses maintenant sur la maladie.
Ce n’est plus la même chose, on n’est plus avec les mêmes armes qu’il y a un mois.
Il y a un mois, on était à mains nues. Aujourd’hui, pas du tout.
Aujourd’hui, les patients sont traités, leurs vies sont sauves, que le traitement de Raoult marche ou ne marche pas, peu importe, vous serez quand même traités par des antibiotiques et ces antibiotiques vous guériront.
Oui, messieurs, ils vous guériront.
Ils nous ont fait perdre nos habitudes.
On a oublié qu’on pouvait donner des antibiotiques, on nous a sidérés, ils ont sidéré tous les médecins. « NE DONNEZ PLUS RIEN ! NE DONNEZ QUE DU DOLIPRANE ! »
Mon œil ! Surtout pas ! Prenez des antibiotiques !
Prenez de l’azithromycine avec une cephalosporine de 3e génération (C3G). (Voir encore l’article sur le traitement du docteur Palliard-Franco, qu’elle avait diffusé dans une lettre du 26 mars).
Plein de médecins, surtout dans l’Est, l’ont tenté et ont réussi.
Vous avez des témoignages partout, des vidéos circulent, c’est la vérité, ce que je vous dis.  
Prenez des antibiotiques dès que vous commencez à avoir un peu de fièvre, un peu de toux. Prenez de l’azithromycine avec un deuxième antibiotique si vous ne pouvez pas avoir le traitement du docteur Raoult (hydroxychloroquine + azythromycine) parce qu’il a été confisqué par le gouvernement. 
Ce n’est pas grave, vous prendrez un ou deux antibiotiques.
Prenez du zinc avec. Le zinc, c’est un anti-infectieux.
(Voir l’explication du pouvoir du zinc dans l’article sur le traitement du docteur Zelenko : Hydroxychloroquine + Azithromicyne + Sulfate de zinc).
Ça potentialise l’effet des antibiotiques.
Vous savez qu’aujourd’hui on pense que le Coronavirus de Wuhan n’est pas seulement une maladie virale et qu’il y a une surinfection bactérienne. 
C’est pour ça que les antibiotiques marchent, parce que cette surinfection bactérienne, les antibiotiques vont la réduire et donc vous aurez beaucoup plus de chances de ne pas terminer en réanimation. 
Mais tout ça, il a fallu un mois pour le savoir. Pourquoi un mois ?
Parce qu’ils ne nous l’ont pas dit dans les études chinoises.
Mais maintenant vous serez mieux soignés.
Rassurez-vous ! Même si vous voyez que les chiffres tombent et qu’il y a autant de décès…
Mais les décès, comme je vous l’ai déjà expliqué, ce sont les malades qui sont malades depuis trois semaines, un mois.
Mais vous verrez que les décès vont diminuer très très rapidement et que le nombre de gens qui vont rentrer en réanimation va diminuer très très rapidement.
Pourquoi ? Parce que les gens sont soignés maintenant.
Parce qu’on a vu maintenant… parce qu’on a oublié… mais comment on faisait il y a dix ans quand les gens avaient des grippes ?
On les traitait avec des antibiotiques, non ? Et ils guérissaient, ils n’allaient pas tous en réa.
Pourquoi on n’a plus traité personne, on donnait du Doliprane et qu’on voyait tous ces gens se dégrader…
Mais j’en pleure quand je me rappelle mes patients il y a un mois.
Je leur disais « Mais c’est pas possible, il faut essayer quelque chose, on peut pas rester bras (ballants)… mains nues ! »
Et bah, oui, on les a laissés partir en réanimation, c’est un scandale.
Mais c’est fini, tout ça. Rassurez-vous, c’est fini. C’est fini ! Vous n’irez plus en réanimation.
Vous serez traités, vous aurez un antibiotique, deux antibiotiques.
Le nombre de gens qui entrent en réanimation diminue en ce moment.
Pourquoi il diminue ? Parce que les gens sont traités.
Même si c’est pas efficace à 100 %, même si nous n’avons pas tout le traitement qui nous libérera de cette malédiction, nous avons au moins une partie de l’arsenal qui nous permet de ne pas arriver aux catastrophes.
Donc je vous le dis, l’appréhension de cette maladie est nettement plus importante maintenant. Les gens connaissent cette maladie, on commence à connaître…
D’ailleurs, je vais vous dire, c’est un virus… c’est incroyable, jamais je n’ai vu autant de signes cliniques, jamais je n’ai vu autant de maux.
La peau, les reins, les poumons, on voit que ça touche tous les organes, les yeux, les conjonctivites, la toux, le nez bouché, la perte d’odorat…
On ne sait plus si c’est une vascularite, c’est-à-dire si c’est une inflammation des terminaisons vasculaires ou si c’est une neuropathie, c’est-à-dire une inflammation des terminaisons nerveuses. Mais en tout cas, on sait que ça touche beaucoup d’organes, donc on sait aujourd’hui mieux appréhender tout ça.
Donc ne vous inquiétez pas. Et d’ailleurs maintenant les vidéos-consultations ont repris à 100 %. Vous avez tous les médecins généralistes qui consultent en vidéos-consultations, donc c’est très facile pour vous, où que vous soyez, de vous faire traiter par un antibiotique, voire deux antibiotiques.
Et n’hésitez pas, imposez le traitement si jamais votre médecin… certains médecins sont encore réticents. « C’est une grippe, c’est un virus, on ne donne pas d’antibiotiques. »
NON ! Il y a une composante bactérienne dans cette infection et il faut la soigner, et si vous diminuez la composante bactérienne, vous allez diminuer le niveau de l’infection.
Voilà, c’est ce que je voulais vous dire ce soir, reprenez courage, on arrive au bout, ça y est !

Dr Gilles Besnainou
 

 Ces informations sont confirmées par les observations rapportées par Silvano Trotta.

lesobservateurs.ch

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