Les Wesh-wesh

Publié le 27 avril 2020 par rra137

 

C’est le nom que donne Pierre Cassen, de Riposte Laïque, à une certaine catégorie de population qui décidemment ne nous veut pas que du bien.

Un psychiatre, le docteur Berger, invité chez Bercoff, à Sud Radio en fait un portrait parfaitement objectif. 

Le travail d’un entomologiste disséquant un insecte réputé nuisible.

Ce qui nous amène à revoir ce sentiment de culpabilité,  qui empêche souvent la victime de réagir.

PLAIDOIRIE pour un RACISME   D’AUTO-DEFENCE  DECOMPLEXE

Ces gens ne reconnaissent que la force comme argument. 

La faiblesse, pour eux est méprisable. 

Le plaisir suprême, c’est l’humiliation de l’autre. 

Fracasser un blanc et baiser une blanche comme une chienne. 

Le rapp est là pour donner des idées.

Ils sont dans un sentiment dominant-dominé, seul le cerveau reptilien domine chez eux. 

Et le blanc, surtout s’y il est blond au teint rose est systématiquement l’agresseur et eux toujours les victimes. 

Pourquoi ? Ils ne le savent même pas. 

C’est inné, à moins que les enseignants gauchistes ou les parents de « là-bas » anti-français puissent expliquer la chose.

Aller à la CAF prendre l’argent du blanc, c’est récupérer ce qu’on leur doit. 

Leurs identifiants sont choisis parmi les plus dangereux du groupe. 

Tricher, mentir, voler, violer, frapper, ne sont pas des fautes, surtout quand certaines sourates du Coran, donnent l’exemple.

Au Maghreb, tout se passe en famille, c’est le noyau protecteur et ces familles fonctionnent comme un corps indifférencié, comme un clan. 

Le but de l’éducation familiale n’est pas de former une personnalité indépendante, mais d’appartenir au clan.

Le « jeune », ne sort de son quartier, que pour rechercher un groupe qui lui ressemble, pour s’y assimiler. 

Etre isolé, lui est insupportable. 

Les relations ressembleraient assez à celle du jeune chacal qui rejoint une meute.

Le penser personnel est absent, il rejoint celui du groupe. 

Sans le groupe, il n’est rien et les satisfactions s’arrêtent sur des plaisirs basiques, comme les rodéos de scooters volés, le foot,  les tournantes, (ce qui est plus rare) et bien sur la « musique » de Rapp 24 heures sur 24 heures à fond la caisse. 

Puis de provoquer les bandes adverses à défaut de s’en prendre à la police ou aux kouffars. 

Bref, rien dans la tête, tout dans l’émotionnel et le sexe.

Même si le fils est le dernier des vauriens, la famille le protège, avec encore une surprotection des mères. 

Des mères maghrébines qui n’ont que des fils innocents et tellement gentils.

La morale des kouffars n’est pas pour eux. 

Aucun sentiment de culpabilité « moi j’y rien fait, monsieur le juge » Et ça marche !

Les reprendre en main, est facile pour les islamistes qui sortent de ces milieux. 

D’un coté et de l’autre, on se comprend. 

Le moteur c’est la haine du mécréant, du monde occidental, le racisme anti blanc et la jalousie pour la réussite technique des occidentaux.

Ils n’ont jamais fait le moindre effort pour sortir de leur condition. 

Le Coran leur demande seulement de rester fidèles à la religion et à la communauté. 

En France, dans la vie de tous les jours ils « ont le cul entre deux chaises » mais mentalement ils restent dans leur milieux traditionnel, le bled ou la brousse africaine.

Pourtant, notre culture leur a donné toutes les chances 

S’ils n’en ont pas profité, c’est bien leur faute et notre culture de l’excuse ne fait que les encourager.

Alors, amis kouffars, si des crétins catho-gauchos vous traitent de « racistes », vous pouvez leur rire au nez. 

Vous pouvez leur faire remarquer aussi, que pour se défendre du racisme de cette engeance, il faut leur servir le même racisme, pour qu’ils comprennent que sur ce terrain ils ne seront pas gagnants.

 Dans ces conditions, la remigration devient de plus en plus nécessaire.

Onyx