L’UE se prosterne devant Greta… et se fait insulter par la gamine !

 

Publié le 5 mars 2020 - par Jacques Guillemain 

À Bruxelles, Ursula von der Leyen vient de présenter la loi européenne sur le climat, en présence de Greta Thunberg, la jeune Suédoise déscolarisée dès l’âge de 15 ans, mais qui se prend pour une référence scientifique et entend donner des leçons à la terre entière.

En invitant celle qui ne cesse de propager les mensonges des charlatans du Giec, la Commission européenne ne se grandit pas.

L’idole des climato-alarmistes aurait tort de se priver, d’ailleurs, tant les sommités de la planète se couchent devant elle et vont même jusqu’à l’applaudir quand elle les insulte.
À part Trump, qui laisse cette gamine à sa place, laquelle est celle d’une adolescente qui devrait se taire et étudier, toute la planète en a fait une icône et lui déroule le tapis rouge.
Onu, Vatican, UE etc.
Ahurissant !
Comme elle en a l’habitude, cette militante acharnée, après avoir été encensée par la Commission, n’a pas tardé à cracher son venin en guise de reconnaissance :
« Par cette loi climat, l’Europe rend les armes, vous avouez votre impuissance, vous renoncez à vos engagements. » 
« Cela fait plus d’un an et demi que nous ( les jeunes ) sacrifions notre éducation pour protester contre votre inaction. »
Accusant les politiques de mépriser la science et de trahir les générations futures, Greta Thunberg , sans savoir de quoi elle parle, tant elle est droguée au discours mensonger du Giec, débite ses propos délirants, l’œil noir en colère.
Et les dirigeants de l’Europe, le continent-phare de la planète, berceau de la brillante civilisation occidentale et des grandes inventions, subissent le coup de gueule de cette gamine ignare sans broncher, totalement résignés.

Renversant ! Plus on les sermonne, plus ils en redemandent.
 

L’Europe veut tout simplement devenir le premier continent neutre en carbone d’ici 2050, cédant à la plus grande escroquerie scientifique de l’histoire.

Dans  deux vidéos  très instructives, Jean-François Auzolle remet  les pendules à l’heure et dénonce l’escroquerie du Giec, ce groupe de pression qui n’est qu’une organisation politique au service d’intérêts financiers colossaux.

1- Le réchauffement climatique, arnaque… ou pas?

 

2- Les dessous financiers…

 

Les bonimenteurs du Giec réinventent les mathématiques, la physique et les statistiques, pour parvenir à leurs fins : faire du CO2 le mal absolu et  accuser l’Homme d’être responsable du réchauffement climatique.
Or, chacun sait que toute vie serait impossible sur terre sans CO2.

Mais les prétendus écologistes confisquent la vraie parole scientifique.

En fait, la vérité qui dérange est que ce n’est pas le CO2 qui réchauffe l’atmosphère, c’est tout le contraire.

C’est le réchauffement de la planète qui augmente le CO2 !!

Une réalité à 180° du discours des « experts » du Giec, qui nous trompent avec des références et des courbes truquées.
Si la température diminue, le CO2 diminue.

Par conséquent, non seulement le CO2 ne peut pas être responsable du réchauffement climatique, mais de plus, l’homme n’est absolument pas responsable de ce réchauffement.
Seulement 6 % du CO2 sont d’origine anthropique.
Le simple fait de respirer produit du CO2.

Le climat ne dépend que de l’activité solaire, les courants marins et des mouvements de la Terre.
Ceci est parfaitement démontré dans la vidéo suivante.
 

Toute cette grand-messe annuelle sur le climat, devenue parole d’Évangile depuis la COP 21 à Paris, n’est qu’une vaste fumisterie qui sert des intérêts  privés colossaux.
On parle de sommes astronomiques, dépassant le PIB de toute la planète.
Près de 100 000 milliards de dollars concernés dans le futur par cette transition écologique, alors que l’activité humaine ne pèse rien dans cet Univers gigantesque, dont les forces en  présence dépassent l’entendement.
À qui profite cette vaste escroquerie intellectuelle planétaire ?
Telle est la seule question qui vaille.
Et si Trump s’est assis sur les conclusions de la COP 21, refusant de se prêter à cette mascarade délirante, ce n’est pas un hasard.
Il sait de quoi il retourne.

Jacques Guillemain