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samedi 21 mars 2020

Diversité et Covid-19



banlieue


Ce Gouvernement fantoche n’a plus d’autre ressource à nous offrir que le confinement pour juguler le coronavirus. 

Les électeurs macroniens quittent la Capitale pour se réfugier dans leurs abris confortables de province, sans égard pour le risque sanitaire des habitants de ces campagnes.

Avec un Macron et son complice Edouard Philippe, qui nous donnent volontiers des leçons de solidarité et de patriotisme devant l’épidémie, mais d’ailleurs sans la moindre conviction.
Comment pourrait-on les prendre au sérieux, alors qu’au lendemain de l’incendie de N-D de Paris, ils pouffaient de rire devant les décombres de la cathédrale. 
A l’image même, des « diversitaires » des banlieues qui se réjouissaient de cet incendie, comme des attentats terriblement meurtriers de Nice et du Bataclan.
Comment demander à ces deux imposteurs de ressentir quelque tristesse devant un symbole de l’Histoire de France chrétienne, depuis Clovis, en passant par la lignée des Rois et des Reines, qui ont eu au moins le mérite d’agrandir et de maintenir la cohésion du pays.
Alors que pour eux, l’histoire de France ne commence qu’à partir de la Révolution et de l’avènement de leur sacro-sainte République, incapable de stabilité et qui à cause d’une série de gouvernants comme eux, est devenue un dépotoir.
En attendant, pour compenser leur forfaiture, leurs tergiversations, et leur négligence pour ne pas avoir pris le taureau par les cornes des le mois de Janvier, les forces de l’ordre vont coller des amendes de 135 € à tout citoyen lambda, respectueux des règles de la vie sociale, pour une seule petite dérogation aux prescriptions établies.

Mais sont dans l’incapacité d’agir de la même façon devant les minorités intouchables. 
Faire appliquer les mesures de sécurité sanitaires à ces populations turbulentes, sans le moindre civisme, et qui refusent même, la moindre présence policière dans les « parties perdues de la République » est devenu presque impossible. 
Ils deviennent ainsi les meilleurs vecteurs de la pandémie et narguent même les citoyens responsables.
Comme le dit Philippe Vardon des Identitaires: « Ils ne se sentent concernés par rien, de ce qui fait notre vie collective. 
Aucune de nos lois et de nos normes ne les concernent. 
Nous n’habitons pas dans le même pays ».
En fait, nous sommes déjà dans la partition annoncée par Hollande, et pour ces primaires, cette épidémie ne touche que les kouffars.
Et quand la police s’approche timidement, pour essayer au moins de leur faire comprendre qu’il est de leur intérêt de se protéger  en évitant d’être trop proche les uns des autres, ils se moquent d’eux, ou avec des mots : « Nique Ta Mère », « Fils De Pute » ou des insultes en arabe.
Mais le jour ou l’infestation touchera leur cité, déjà infestée par leur seule présence, ces crétins feront quoi ? 
Les grands frères, suivis des petits, des oncles et des amis des grands frères fonceront vers l’hôpital le plus proche pour exiger que le chibani, ancien d’une wilaya de l’A.L.N., leur grand-père, soit soigné en priorité, en accusant les français de lui avoir donné la maladie du coronavirus. 
Il faudra qu’une chambre soit tout de suite disponible, sous peine de menaces suivies de coups et blessures. 
Mais surtout pas de vagues, ces gens-là n’ont pas les mêmes codes.
Et ces maghrébins qui ne trouvent devant eux que faiblesse endémique, en particulier les algériens, nous crachent allègrement dessus. 
Mais dès qu’il y a un risque qui s’annonce à l’horizon, ils implorent le pays détesté de les aider.
On apprend que les autorités françaises ont promis un soutien logistique et médical important aux autorités algériennes. 
Le premier ministre Edouard Philippe a assuré son homologue algérien, que la France se tiendra aux cotés de l’Algérie dans cette dure épreuve provoquée par la pandémie de coronavirus.
Déjà le Gouvernement, a envoyé vers ce pays des tonnes de matériel médical, qui manque maintenant sérieusement dans les hôpitaux de chez nous : masques de protection, blouses de personnel soignant, kits de détection, appareils respiratoire etc…

Comme dans l’affaire du sang contaminé, pour nos dirigeants passés et actuels c’est encore: responsables mais pas coupables.
Onyx

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