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lundi 16 mars 2020

Coronavirus, l’origine d’une pandémie




Extraits de l'article "Le cercle du "matin Dimanche" du 15 mars 2020

Pierre-Marcel Favre, éditeur.

Ce sujet dans le cadre de la crise sanitaire qui touche la planète entière, est évidemment propice aux « fake news ». Rassurez-vous, je les déteste.


Je suis extrêmement étonné de constater que l’origine d’une pandémie si grave est presque occultée, malgré son intérêt.
[…]


Wuhan abrite, on en a peu ou pas parlé, une institution très particulière, unique en Chine, et cela n’a rien à voir avec les éventuelles théories de complot, un laboratoire d’étude et d’expérience des virus.

 Il y a au monde une trentaine de laboratoires de ce type. 
Et un seul en Chine.. C’est celui de Wuhan. 
Sa construction a été décidée en 2003, au lendemain du SRAS, l’une des souches de la famille assez vaste des coronavirus. 
Il est en fonction depuis 2006. 
Et il semble qu’il travaille, entre autres, sur l’Ebola, depuis 2017.
Ce laboratoire P4 (Pathogène de classe 4) a été réalisé sur le modèle de celui de Lyon, Jean Mérieux-Inserm, et avec son aide. 

Les agents de la classe 4 sont caractérisés par leur haute dangerosité (taux de mortalité très élevé en cas d’infection), l’absence de vaccin protecteur, l’absence de traitement médical efficace et la transmission possible par aérosols. 
La protection maximale exigée pour manipuler ces germes est désignée par le sigle NSB4 (niveau de sécurité biologique 4).
Les laboratoires P4 de sécurité maximale présentent deux spécificités : ils sont totalement hermétiques et constitués de plusieurs sas de décontamination et de portes étanches.
Ils assurent une protection optimale des chercheurs travaillant dans leurs enceintes.


Pour y pénétrer, les personnes accréditées doivent prendre une douche, revêtir un scaphandre relié à l’une des prises fournissant l’air dont le renouvellement est totalement indépendant de l’atmosphère du laboratoire.
Quand elles sortent du laboratoire, elles prennent une douche au phénol revêtues de leurs scaphandres.
Les Chinois ne révèlent pas quelles étaient les expériences réalisées. 
A-t-on le droit de se poser une question sans aucune idée complotiste ?
Oui, le P4 est, semble-t-il, indiscutablement protégé. 
Mais qu’en est-il de son alimentation en animaux d’expériences ? 
Il faut aussi noter que les responsables concernés, à Wuhan, ont été démis de leurs fonctions. 
Pékin a dépêché sur place la générale de division Chen Wei (qui est une experte en chef de la défense contre les armes biochimiques) pour prendre le contrôle des opérations.
On peut donc sérieusement se poser une question, sachant que les autorités chinoises, capables de souder les portes d’entrée des habitations pour confiner une population chez elle, d’emmener manu militari le personnes susceptibles d’être infectées, d’en faire disparaître quelques-uns en cas de besoin, ont tous les pouvoirs possibles et imaginables. 

Ne devraient-elles pas détenir une vérité sur l’origine de cette pandémie unique ?

Y a-t-il un rapport entre le laboratoire P4 de Wuhan, ou son alimentation, et le départ de ce malheureux virus ? 


Cela reste un secret d’État… En sachant, qu’entre autres, un ambassadeur chinois, Lin Songian, dit : « Bien que l’épidémie soit apparue en Chine, cela ne veut pas dire que son origine est en Chine », on a donc grand espoir d’en savoir plus !

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