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dimanche 19 janvier 2020

Décodage des insultes et menaces d’un musulman contre Isabelle Surply

 
 
 


Publié le 18 janvier 2020 - par Jean d'Acre 
 
Je vous propose quelques réflexions sur le message d’un certain Abu Ibrahim (fautes comprises) adressé à une élue du Rassemblement National à Saint-Chamond ( 42), Madame Isabelle Surply :
 
« Sale française de merde inch allah je te gros je te saigne et je t’égorge et je t’affiche sur snap. Je te donne pour que tu te fasses violer à un point que tu te fasse péter le rectum salle chienne. Vivement que vous nous déclariez la guerre qu’on puisse vous tuer un par un en traînant votre tête plein de sang sur votre sol chrétien bande de pires françaises sans dignité.
J’espère que tu vas mourir dans un attentat et que tu vas te faire violer sale pute.
Chienne de merde faut que je t’attache et que je te fouette pour que tu comprenne ta sentence.
Je vais te trouver et tellement te faire saigner le visage que tu ne pourras plus t’exprimer »
 
La teneur de ce message montre que le musulman installé sur notre sol Chrétien s’enhardit.
Il se sent de plus en plus nombreux et de plus en plus protégé  par des juges et des politiciens bien-pensants, pêle-mêle les « en marche », les écolos, les socialos, les républicains, les modem, les cocos et toute la chienlit qui a livré le pays aux ennemis.
Or mesdames Schiappa, Pénicaud et Buzyn, par exemple, ne le savent pas, mais ces menaces de musulman les concernent tout autant en qualité de femmes.
Cela concerne aussi madame Royal, madame Macron et toutes les autres ; elles ne seront pas protégées de la trahison de leurs politiciens de maris ou compagnons qui ont livré le pays à l’ennemi.
Bien sûr un patriote aura répugnance à lever le petit doigt pour des personnes qui ont ainsi livré le pays à l’invasion musulmane, il aura assez à faire ailleurs.
N’empêche, c’est un signal de plus en plus fort qu’il ne faut pas prendre à la légère, petit à petit le musulman se dévoile, dévoile sa vraie nature, il se sent de plus en plus chez lui.
Mesdames Valérie Boyer (LR) et Marika Bret (Charlie Hebdo) l’ont signalé également récemment chacune de leur côté, mesdames Zineb al Razhoui et Cécile Pina le dénoncent régulièrement aussi. Beaucoup de femmes donc.
Les femmes sont beaucoup plus sensibles à la haine des musulmans car elles se sentent maintenant en première ligne, alors que ces derniers montrent leur vrai visage.
Certaines doivent commencer à sérieusement regretter leur naïveté mondialiste et leur cécité.
Mais reprenons quelques éléments de langage, comme disent les zélites, tirés du texte envoyé par ce musulman, pour en voir la portée.
« Je te donne pour que tu te fasse violer » :
C’est que mine de rien, le musulman se sent déjà propriétaire des femmes françaises puisqu’il se sent en droit de les donner.
Les femmes de souche de France auraient bien raison de faire travailler leur intuition féminine, car avec l’invasion musulmane, leur viol est déjà programmé.
Je me demande si Marlène Schiappa sait déjà que son corps ne lui appartient plus, et qu’elle risque de se retrouver un jour à Trappes, sans bénéficier de la présence de 80 policiers.
Son sort risque alors d’être fort différent, si elle se retrouve dans une cave.
Il serait temps, là aussi, de la sensibiliser au risque musulman.
« Salle chienne… chienne de merde » : c’est typiquement musulman,  la femme est renvoyée au rang d’animal.
Elles boiront l’eau stagnante de la rue, laperont leur brouet dans une auge et se feront labourer le ventre à s’en faire péter le rectum.
C’est l’islam d’amour, de tolérance et de paix, tout le monde l’aura compris sauf certains mauvais esprits dont je fais partie.
Quand les réalités contredisent les propagandes, je préfère croire les réalités, mais la France, dixit le Général, est habitée d’une majorité de veaux, laissons faire le temps, quand ils auront fini à l’abattoir, il ne restera que les éveillés.
Mais je suis quand même curieux de savoir ce qu’en pensent mesdames Schiappa et Macron de se savoir des chiennes à musulmans sur leur sol chrétien.
La suite du texte nous montre que non seulement le musulman se sent propriétaire des femmes françaises, mais s’estime aussi le bras séculier du Dieu tout-puissant qui donne la sentence :
« faut que je t’attache et que je te fouette pour que tu comprenne ta sentence ».
Ainsi il doit faire comprendre « sa sentence » à la femme dont on suppose qu’elle est décidée divinement.
À moins que dans une boursouflure de l’ego, il ne se prenne lui-même pour Allah.
Le chiffonnant de l’affaire, c’est la raison de la sentence qui n’est pas dévoilée, si j’ose dire : parce que femme ?
Parce qu’occidentale ?
Parce que chienne ?
Parce que la femme française de souche cumulerait ces handicaps pour un musulman ?
Dans cette dernière hypothèse, il y a un gisement de recrutement énorme à exploiter pour tous les partis anti-musulmans de France, la femme représentant une bonne moitié de la population.
En revanche, un élément de langage paraît tout à fait positif quand ce musulman déclare « Vivement que vous nous déclariez la guerre ».
C’est exactement ce que souhaite tout patriote pour en finir au plus vite plutôt que d’attendre la mort lente par asphyxie.
Il serait profitable « en même temps », si j’ose ici aussi dire, de mettre à jour les comptes avec toute la classe politico-médiatique qui nous a amenés là, nonobstant les multiples et constants avertissements qui leur ont été adressés.
La chose terminée, il faudra penser à l’avenir.
Ma proposition serait de demander à ces dames revenues de l’enfer musulman de devenir des témoins apostoliques pour les générations futures manière Lucie Aubrac, Simone Veil et Marie-Madeleine Fourcade pour aller donner des conférences dans les écoles laïques et chrétiennes de la France de demain en s’exclamant « plus jamais ça, plus jamais de musulmans dans le pays de France, gardez-vous de cette engeance mes enfants, et ne gaspillez jamais un quignon de pain pour un musulman, mieux vaut nourrir les chiens, ils sont bien meilleurs amis des hommes, et eux ne fouettent pas les chiennes !».
 
Elles auraient trouvé la voie de la rédemption.
Quand on revient de si loin, on ne peut qu’être admiratif.
 
Jean d’Acre

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