Illustration. (Shutterstock)
Un ressortissant guinéen âgé de 17 ans a été mis en examen pour de multiples agressions sexuelles sur des jeunes femmes, commises sur la ligne H du Transilien dans le Val-d’Oise, ces derniers mois.
Un jeune migrant de 17 ans a été interpellé le 25 septembre dernier.
Ce jour-là, l’adolescent a abordé une jeune femme dans un train de la ligne H entre les gares de Seugy et de Luzarches raconte Le Parisien.
Après avoir entamé une discussion, il lui a proposé de devenir son ami puis s’est masturbé devant elle en prenant soin de ne pas montrer son sexe.
Ce jour-là, l’adolescent a abordé une jeune femme dans un train de la ligne H entre les gares de Seugy et de Luzarches raconte Le Parisien.
Après avoir entamé une discussion, il lui a proposé de devenir son ami puis s’est masturbé devant elle en prenant soin de ne pas montrer son sexe.
Avant de quitter la rame et de disparaître, il a touché la poitrine de sa victime sous ses vêtements.
La jeune femme a alerté les gendarmes, donnant une description précise de l’auteur des faits.
La jeune femme a alerté les gendarmes, donnant une description précise de l’auteur des faits.
Une patrouille s’est rendue sur place, en gare de Luzarches, et le suspect a pu être interpellé par les militaires après qu’il a tenté de prendre la fuite.
Peu avant, l’adolescent était en train d’importuner une autre jeune femme.
Cinq autres victimes de 18 à 25 ans identifiéesPeu avant, l’adolescent était en train d’importuner une autre jeune femme.
Durant la garde à vue du mis en cause, les enquêteurs se sont penchés sur l’ensemble des plaintes depuis le mois de juin dernier, correspondant à des faits similaires, notamment au niveau des gares de Montsoult, de Persan-Beaumont et de Luzarches.
Au total, cinq autres victimes de 18 à 25 ans ont été identifiées.
Le jeune migrant qui était hébergé dans un foyer à Domont au moment où les faits ont été commis, a été mis en examen par un juge des enfants de Pontoise.
Il a été placé dans un autre foyer avec une obligation de suivi psychologique.
Le mis en cause a raconté avoir vécu une histoire difficile, traversant la Méditerranée, où il a frôlé la mort selon son récit, avant d’arriver en France à la fin 2017.
actu17
Ouaih d accord. Nos grands parents ont vu la guerre mille fois pire qu'eux, cela n'en a pas fait des delinquants. Toujours cette excuse.
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