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vendredi 15 novembre 2019

Le 9-3, département prototype de la France que veut Mélenchon

 
 

Publié le 14 novembre 2019 - par Empedoclates -

Le département de la Seine-St-Denis (dit aussi : 9-3) est un département qui paraît disposer de son indépendance depuis les accords d’Évian de 1962… comme Djibouti et les Territoires des Afars et des Issas… ou encore comme certains territoires d’outre-mer !

Sur la carte, il est au-delà du « périph’ ». Sur le terrain, il semble appartenir au Maghreb et aller jusqu’aux confins du Dahomey, du Mali, de la Haute-Volta et du Soudan français, voire de l’Oubangui-Chari.

La wilaya de Saint-Denis est organisée selon les décisions (traduites en français) du Secrétaire général des néostaliniens nostalgiques du Parti communiste (qui respire un peu encore ici avant que ses amis musulmans ne l’éradiquent totalement), néostaliniens transformés en communautaristes, immigrationnistes islamo-compatibles.
On y pratique un sabir pittoresque et touristique fait de français sommaire turco-musulmanisé ou animiste (ou un mélange des deux) à parler sous djellabah ou avec une casquette de base-ball américain en skaï noir vissée à l’envers en agitant les doigts pour compter jusqu’à cinq, tout en éructant une complainte quotidienne d’onomatopées injurieuses connue sous le nom de « rap » ou « raï ».
Les célébrités les plus écoutées sont Boubou, Baobab, ou Maître Gymnastic, reconnaissables aisément à leurs lunettes noires de soleil portées les nuits de concerts et d’hiver.
Le ministère de la Coopération (« la Coopé » en langue simplifiée) dépêche dans ces territoires, pour les aider à s’ouvrir à l’intelligence et à la culture, de jeunes enseignants débutants venus de Murat ou de Pamiers, d’Auzance ou de Capdenac ; de Bort-Les-Orgues même.
Leur action d’enseignement est irrémédiablement vouée à l’échec et leur régression intellectuelle et humaine y est radicale.
C’est d’ailleurs le lot de toute activité légale voulant s’implanter en ces lieux « exotiques ».
Et pourtant, le ministère des « Chances-pour-la-France » (« la Vache à lait » comme ils disent) , après y avoir injecté des dizaines de milliards d’euros sans que rien n’en soit sorti, se propose d’insister prochainement par un apport tout aussi massif d’argent public.
Il est vrai que le « tonneau des Danaïdes » est une métaphore de l’Élysée-Matignon !
Nul passeport n’est exigé pour y pénétrer.
La carte Vitale-CMU y vaut titre de séjour.
On y accepte très volontiers les euros, bien plus que le franc CFA.
Le protectorat français s’exprime généreusement par le versement substantiel du RSA (racket stupéfiant arnaque).
La pièce d’identité est matérialisée par le bordereau de bénéfice d’APL (abondance pour libation). L’achat d’un téléviseur à grand écran plat incurvé avec sa parabole de balcon se fait grâce à un bon du Bureau d’aide sociale, augmenté de l’acquis de l’allocation de rentrée scolaire pour le surplus (smartphone, connexion Afrique, survêtement et tennis de marque etc.) .
La recherche d’emploi n’est pas exigée : une dérogation à la recherche d’emploi se justifie par l’octroi d’une pension d’invalidité permanente…
Suite à quoi sera délivrée automatiquement, sans formalité aucune pour le bénéficiaire, une pension du minimum vieillesse à taux plein.
À défaut, le suivi socialo-impôt partageux gaspilleur des assistantes sociales y pourvoira.
En fait, toute recherche d’emploi serait superflue en ces lieux où toutes sortes de trafics, allant de la drogue au « tombé du camion » et du « black » à la prostitution assurent des revenus qu’aucun emploi salarié ne permettrait.
Aussi ne faut-il pas s’étonner que l’activité favorite pratiquée y soit le « tenu de murs » quand ce n’est pas le « guet » au pied des ascenseurs (quand ils fonctionnent) ou la « course » derrière les flics (appelés ici keufs) et les pompiers, d’autant plus active qu’elle est sans danger pour les pratiquants.
Une activité de substitution pourtant : la « rixe de rue » où s’affrontent, couteaux et matraques en mains, et même kalachs…) des bandes criant « vengeance » on ne sait trop pourquoi, sinon parce que les cerveaux ici « en action » semblent y être congelés.
Cependant, la wilaya de Saint-Denis déploie des efforts pour l’encadrement des plus vulnérables par l’embauche d’employés municipaux barbus sous capuche tels les « Grands Frères » ou les « Médiateurs de quartier » ou encore les « Animateurs socio-culturels » qui, étant issus de cette mouvance, en connaissent les us et coutumes et savent conséquemment les conseiller en matière civile, électorale et… délictueuse.
Le costume 3 pièces et la jupe au genou n’y constituent pas le nécessaire du vestiaire : la burqa, le hidjab et le sweat américain à capuche porté nuit et jour, surtout en plein été et à minuit, sont très prisés.
Le rasoir à barbe pour les hommes y est superflu, voire inutile et l’ « envoilement » des fillettes et des jeunes filles y est obligatoire.
Pour les déplacements, outre une carte gratuite de transports locaux fournie par le Bureau d’aide sociale, une BMW négligemment empruntée sur la voie publique permet de découvrir toutes les richesses paysagères et architecturales du département dans toute sa typicité (mosquées, HLM, marchés sauvages improvisés, vente d’herbes aromatiques aux carrefours et abords des écoles), depuis la « reconstitution urbaine » du Maghreb et de l’Afrique subsaharienne jusqu’à la Caf de la wilaya de Saint-Denis.
Trajet ouvert à tous, car le permis de conduire n’est pas indispensable, non plus que la certification d’assurance automobile et civile.
Les agences de voyages qui proposent de visiter cet espace transposé de l’Afrique pré-coloniale demandent à leurs clients de se fondre vestimentairement dans le paysage urbain exotique créé ici, et leur conseillent d’éviter toute réflexion ou regard qui pourrait agresser ceux qui, vautrés çà et là, passent leur temps à agresser les autres de leur regard comme de leurs gestes et de leurs paroles… quand il ne les dépouillent pas !
Chacun évitera d’ailleurs d’y consommer tout morceau de l’impur cochon, se réservant pour le « halal » qui finance la mosquée où l’imam venu d’Arabie saoudite éructe la bonne parole des « purs » face aux » impurs » (c’est-à-dire tous les autres…).
Ou pour le kebab graisseux que proposera une boutique sauvage ouverte à tous les vents et qu’aucun service sanitaire n’aura jamais contrôlée.
De manière globale, avant d’y aller, apprendre la différence entre ce qui est « halal » (licite de par la loi mahométane) et ce qui est « haram » (illicite de par cette même loi) peut faire sortir du guêpier qui y guette chacun !
C’est le symbole de la nouvelle laïcité à la Mélenchon car ici, laïcité, démocratie, libre arbitre, égalité des sexes, primauté de la loi républicaine, égalité des croyances, ce sont des insultes islamophobes !

Ici ? c’est donc le 9-3 où vivent et prospèrent « comme des poissons dans l’eau » les terroristes musulmans qui assassinent « pour leur plaisir et leur gloire » », comme au Bataclan il y a 4 ans.

En fait, c’est déjà la France dont rêvent le Mélenchon et sa meute islamo-collabo, immigrationniste et communautariste, étiquetée Hamon, Brossart, Jadot, Besancenot, Martinez et compagnie !

Empédoclatès

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