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samedi 19 octobre 2019

Nous vivons une époque formidable…






Les derniers exploits islamistes ont été largement commentés, est-ce utile d’y revenir ?

Ce qu’il y a de sidérant dans cette affaire, c’est qu’elle ait pu arriver.

L’improbable arrive parfois, les séries, ça existe, et comme disait le feu ex-président, « les emmerdes, ça vole en escadrille », cependant, il arrive un moment où l’on ne peut plus se contenter de s’en remettre au hasard, la faute à « pas d’chance », ou autre formule résignée ou fataliste.
Un minimum de lucidité nous susurre que toutes ces circonstances maléfiques qui tombent régulièrement sur notre pays, ne peuvent plus être considérées comme un hasard malheureux, un quelconque manque de compétence, ou du laxisme, ou de tout ce que l’on voudra trouver comme formule d’excusabilité, mais la vérité s’impose d’elle-même : tout cela est parfaitement voulu, on ne peut pas dire « programmé », mais les choses sont arrangées et manipulées de telle sorte que les circonstances vont évoluer dans le sens souhaitable.
Tout comme un ancien politique, déjà bombardé président un an avant l’élection, le bougre s’est tout simplement fait torpiller dans un traquenard américain, il est peu probable que cela fut vraiment ourdi, on a simplement exploité son vice avéré pour faire en sorte que, un jour ou l’autre, il se fasse piéger.
Pour la dernière élection présidentielle dans notre pays, là encore, tout a été mis en œuvre pour faire en sorte que le candidat choisi – et probablement préparé depuis des années – arrive au poste souhaité, la prestation de deux précédents ayant tellement bien abouti à dénaturer la fonction que le nouveau paraissait relativement aussi génial que supérieur, alors qu’il s’avère qu’il est encore pire, et surtout, encore plus dangereux.
Pour revenir à la dernière hécatombe dans les services policiers sensés nous renseigner (et nous protéger), on ne doit pas s’étonner d’un tel aboutissement, tellement il est logique.
Tous les services français sont pratiquement infiltrés – pour ne pas dire pourris – par l’islam, aussi, il est normal que cette idéologie conquérante donne libre cours à ses commandements et à ses lois.
Et si cette infiltration existe, c’est, non seulement parce que elle a été permise, mais surtout, franchement voulue et encouragée.

Il est donc clair que la mise en place de personnes, haïssant nos institutions et nos modes de vie, dans les services destinés à nous aider ou nous protéger, est destinée à saborder lesdits services.
Et trouver un « convertible » dans la place est de la plus grande efficacité.
Cette affaire, sur le plan national, est une des plus graves que notre pays ait connu depuis plusieurs années.
Dans le cas d’un attentat sur des civils, aussi regrettable et odieux soit-il, on pourra toujours prétendre qu’il était imprévisible, et si l’image de l’état n’en sort pas grandie, elle n’est pas totalement entamée. Dans le cas qui nous occupe, les choses vont beaucoup plus en profondeur, et on ne peut que constater que les services sont entièrement infectés et ne fonctionnent absolument plus dans le sens utilitaire qui leur a été assigné, malgré des talents bien réels, mais bien muselés.
Il sera très difficile, pour un gouvernement, de remettre à flot et redonner valeur de référence à la population, ce n’est pas l’actuel qui le pourra, tout ce qu’il pourra faire – et fera, ce ne sera que de tenter de minimiser le drame, et déjà les formules habituelles sont lancées : le pauvre était handicapé – sourd, mais quand même capable de téléphoner – il était raillé par ses collègues (ne l’avaient-ils pas surnommé « Bernardo »), avec son épouse, ça n’allait pas très bien, du reste, elle a bien tenté de donner l’alarme, en téléphonant à une collègue de l’assassin, mais sans résultat : pas de chance… Pour enfin donner l’excuse suprême, ce monsieur était noir, et tout le monde sait que les gens de couleurs sont discriminés, mal vus, insultés, traqués, même ceux natifs des îles lointaines et qui sont français depuis des années.
Quant à l’imam de la moquée que fréquentait l’assassin, il est avéré que c’était un brave homme, plein d’amour, de tolérance et de paix, et il n’est pour rien dans cet affreux malheur (béni soit son nom).
Du reste, de nombreux imams ont adressé leurs condoléances aux familles des victimes, ce qui est très noble et très valeureux, probablement aussi sincère que la taqiya qui leur sert d’alibi au quotidien…
Et le summum a vraiment même été atteint quand un autre énergumène a osé initier une manifestation de soutien au tueur.
Certes, le gouvernement n’a tout de même  pas osé, et pour une fois, nos gouvernants ont fait mentir Audiard…
Quand on arrive au point que des personnes puissent demander une manifestation de soutien pour un tueur fanatique, on se dit que ce n’est pas possible, et que dans ce cas, le pays n’est peut-être plus vraiment sauvable.
Comment cela est-il possible ?
Le jour où la France a hébergé un ayatollah interdit de séjour en Iran, elle n’a pas vraiment fait une bonne affaire.
Les choses ont (mal) évolué là-bas, et l’illustre personnage est revenu en vainqueur, et a imposé ses vues malsaines et la dictature que l’on connaît.
Mais il a eu une idée de génie, et qui a fait des milliers de victimes après lui, dans la continuité du prophète meurtrier.
En effet, ce triste sire à inventé le terme « islamophobie », une invention diabolique et lourde de conséquences, puisqu’elle allait permettre de conquérir l’occident.
Aussi incroyable que cela puisse paraître, la plupart des états occidentaux ont adopté le terme, et pire encore, l’ont érigé en loi.
En clair, l’idéologie devient purement et simplement impossible à critiquer, puisque la critique est illégale, et du coup, l’islam devient purement et simplement valeur légale d’état.
Il est probable que les mollahs n’en espéraient pas tant, mais devant tant de complaisance, pour ne pas dire d’aide aussi clairement affichée ou d’assistance aussi précieuse, ils n’allaient pas faire la fine bouche.
Depuis, les ravages sont foudroyants, et toute condamnation est impossible – puisque, illégale, on se contente de condamner le porte-couteau, tout en excusant et même en bénissant la motivation première de l’acte !
Et pour notre vaillant policier manipulateur de lame céramique, « on » savait depuis longtemps qu’il était engagé dans la boue perverse, mais aucun collègue ne pouvait le dénoncer, l’avancement aurait alors été sérieusement compromis, et le lanceur d’alerte pouvait même être mis au placard.
Et même si quelques personnes courageuses, ont malgré tout essayé d’alerter, leur action a été, sinon rejetée, du moins sérieusement ralentie de telle sorte qu’elle ne puisse jamais remonter au point de déranger une hiérarchie totalement stupide et aux ordres, au doigt et à l’œil islamiques.
Ce qui confirme bien que tous ces drames sont voulus, voire souhaités, et s’ils ne sont pas clairement préparés, on fait en sorte que, tôt ou tard, ils se manifestent.
Après tout, un climat de peur, de terreur et d’incertitude est quand même une bonne façon pour le pouvoir de rendre le peuple avachi et résigné, et garder ainsi le pouvoir.

Notre pays est malade de l’islam, et il est à craindre qu’il ne s’en remette vraiment.
Pourtant, et si on veut bien y réfléchir, il suffirait d’abroger les lois liberticides et meurtrières qui interdisent toute critique, et le problème serait résoluble.
Péniblement, c’est vrai, et au prix fort, mais possible.
A partir du moment où l’on peut nommer l’ennemi et dire les choses, on peut avancer et redresser la barre, sinon, nous voguons allègrement vers le péril inéluctable.
Maintenant, nous devons constater que personne au niveau politique ne parle de cette exigence dans ses programmes électoraux, le sujet de l’abrogation est totalement escamoté, et pire encore, le seul parti dit « d’opposition » ne rejette pas l’idée salutaire, voire même, a soutenu l’idéologie un moment, et peut-être même, la soutient-il encore maintenant.
Si toutefois ce n’est plus le cas, un démenti officiel sera le bienvenu, de même qu’un engagement pour les prochaines échéances électorales.
Malgré que nombre de gens ou d’institutions ont clairement établi que l’islam était incompatible avec la démocratie, nos pantins politiques continuent de l’appeler dans leurs vœux clientélistes…
En clair, ils sont devenus les vassaux de l’islam.

Quand on procédera au grand ménage, il faudra très sérieusement commencer par nettoyer de ce côté…

Plusieurs commentaires, sur ce site, implorent l’aide de l’armée pour remettre de l’ordre : soit, mais le peut-elle ?
Et en a-t-elle encore les moyens ?
Rien n’est moins sûr…
Un général en retraite, et candidat à la candidature présidentielle, avait un jour déclaré que : « un officier ne peut pas, sciemment, laisser choir ainsi son pays ».

Personne ne doute de sa sincérité, mais on a tout de même le sentiment que dans son cénacle, il doit être bien seul et bien démuni…

Roger FER

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