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mercredi 2 octobre 2019

Chronique de la genderofolie : C’est un garçon mais la maman veut que ce soit une fille



 
 
par 2 octobre 2019
 
 
Jeff Younger et l’ex-épouse Anne Georgulas se battent au tribunal de Dallas, aux États-Unis, pour la garde de leurs deux garçons jumeaux de 7 ans.
 
En particulier, pour celle de James que sa maman élève comme une fille : elle l’habille en fille, l’a inscrit à l’école avec le prénom de Luna, l’enfant va aux toilettes pour femmes.
James a aussi débuté un programme à base d’hormones pour « la rectification sexuelle » après que sa mère l’a emmené chez un conseiller homosexuel qui lui aurait diagnostiqué la dysphorie de genre.
 
 
Et pourtant quand James va chez son père il joue à des jeux de garçon : la lutte, le duel avec les épées, etc.
L’ex-femme a cependant obtenu que Jeff ne puisse pas prendre à l’école son fils, ni parler avec les enseignants ou s’adresser à son garçon en présence d’amis avec des pronoms masculins.
Le président de l’American College of Pediatricians, le docteur Michelle Cretella, a déclaré :
« Endoctriner les enfants à un âge pré-scolaire avec le mensonge en leur disant que l’on peut être enfermé dans le mauvais corps, c’est interrompre la réalité normale du développement cognitif. Ces choses sont des abus. »

Jeff Younger a découvert que son ex-femme raconte à James qu’il est une fille depuis qu’il a trois ans.
« Maman dit que je suis une fille » révèle l’enfant dans une vidéo postée sur Youtube.
Quand à l’autre jumeau, Jude, il est particulièrement perturbé par cette « transition sexuelle » à laquelle sa mère veut soumettre son frère.
Des histories de ce genre, de désirs fous de parents égoïstes, que des enfants innocents payeront au prix cher, démontrent à quel point l’idéologie du « changement de sexe » peut enténébrer l’esprit des parents eux-mêmes.
Dans cette triste affaire, dont les premières victimes seront James et Jude, la faute en revient aussi à l’entier système qui déborde désormais de « gender diktats » : on ne peut plus exprimer une seule dissension par rapport au changement de sexe, tous, juges, avocats, enseignants, époux, etc. doivent être asservis à ce nouveau « dieu » monstrueux.

 

 
Francesca de Villasmundo

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