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dimanche 19 mai 2019

Nick Conrad continue d'insulter la France







Je baise la France, baise la France
Jusqu’Ă  l’agonie
Je brĂ»le la France, j’ai brĂ»lait la F-
Bite dans sa bouche
Jouis comme un porc
Liquide visqueux, mâche ça comme Malabar
Cet hexagone, j’l’encule sa grand-mère
Air France, on mange trop mal Ă  bord
Quand j’veux dĂ©fendre mes intĂ©rĂŞts
A coup d’accords
Grosse pute me donne encore tort
Mélée harcore
Elle aime quand on s’tue
Quand ya du sang Ă  l’aĂ©roport
La prof m’a appelĂ© Khaled Kelkal
Sans doute avait-elle ses raisons
Marianne a falsifié ma story
Jvais poser une bombe sous son panthéon
Baltringues m’disent :
« Fait attention, t’es beaucoup trop vrai dans tes chansons »
La vĂ©ritĂ© pire que l’illĂ©gal
Repousse la mort ou la prison, si
Ouai ouai ouai ouai…
Je baise la France, je brûle la France
Doux pays de mon enfance…
Quand tu rentres, j’ai le drapeau qui s’accroupit
On dit qu’il faut s’accroupir aussi
Sauf que royal, est mon ADN
Criminel, est mon génie
Ma plume détruit la France qui crie
DĂ©cortique mais [?]
Ils n’ont rien compris
La souffrance de mon âme ne tire pas ses origines d’aujourd’hui
Que dit l’autre con de Charles Trenet
N’a jamais Ă©tĂ© doux, le pays
N*gro se prend des bastos dans la crâne toute sa vie
Mais ne meurt jamais, malgré lui
Encaisse le mal, infini stock Ă  l’intĂ©rieur
Et puis renvoit toute l’Ă©nergie
Ils font leurs prières mais ils meurent à la fin
Car il n’y Ă  que le noir qui soit bĂ©ni, oui
BĂ©ni oui oui oui…
Je baise la France, je brûle la France
Doux pays de mon enfance…
Apparemment je déferais la chronique
Nick dans toutes leurs coupures de presse
Sujet verbe complément, bien placé
Et j’suis un peu plus qu’un d’ces mecs de tess’
Le coeur marqué de traces indélébiles
Macaque à la rengaine très volubile
Maintenant au n*gro au micro
Ils disent que j’attise violente guerre civile
[Vasavolo ?] j’ai la main sur le volant
Regarde tous ces rappeurs à des pâquerettes
Ils n’y vont pas mollo pour me souhaiter la mort
L’art de pacotille sent venir sa dĂ©faite
Mets pas les lions lĂ  oĂą sont les chiens (Jamais)
Ma bite dans la bouche d’Olivier Cachin
Nique le buzz, jveux tout baiser
Et sans faire d’effort, j’vais pulvĂ©riser toutes ces catins
Quand j’torpille leur monde, ils disent tous :
« Oh, Mayday, Mayday »
Je baise la France, baise la France
Jusqu’Ă  l’agonie
J’ai brĂ»lĂ© la France, j’ai brĂ»lĂ© la France
Instoppable est l’incendie
Je baise la France, je baise la France
Jusqu’Ă  l’agonie
J’ai brĂ»lĂ© la France, j’ai brĂ»lĂ© la France
Instoppable est l’incendie

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