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samedi 2 mars 2019

Italie : menaces de mort contre la Lega: «Tuez les femmes et les enfants afin qu’ils ne se reproduisent plus»

 
 

Publié par Rosaly le 2 mars 2019

Tandis que les juges rouges taxent le gouvernement jaune-vert des pires crimes, accusent Matteo Salvini de dérive raciste et de xénophobie, et qualifient le décret Sécurité et de légitime défense de Matteo, adopté par le Sénat, d’obscurantisme et de violations démocratiques sans précédent, ils demeurent étrangement silencieux sur les menaces de mort répétées de manière lancinante à l’encontre de Matteo Salvini et des membres de la Lega par l’auto-proclamé camp du Bien.
 
Et quand la haine de la bienpensance frise la folie meurtrière, elle n’hésite pas à utiliser les méthodes nazies, si souvent imputées à tort à Salvini, qui jamais n’a appelé à «génocider» qui que ce soit.

Une vidéo en ligne appelle à «tuer les femmes et les enfants de la Lega, afin qu’ils ne se reproduisent plus.»
«Quelle horreur, quelle honte : tolérance zéro !» s’est exclamé Salvini.
Il Giornale
Selon la gauche humaniste, une vague de haine est en train d’envahir l’Italie, depuis que la Lega est au pouvoir.
Or, c’est sur Matteo Salvini en particulier et sur son gouvernement en général que déferle cette vague de haine alimentée à longueur de journée par les discours de détestation proche du fanatisme de ces ardents défenseurs d’une immigration illimitée non contrôlée.
Depuis des mois, Matteo Salvini est devenu la cible des gauchistes, qui ne digèrent pas leur défaite, encore moins le slogan «Les Italiens d’abord» ni la baisse drastique des débarquements.
Le business de l’immigration enrichissait de nombreuses organisations soi-disant humanitaires d’accueil de «réfugiés», qui souvent détournaient à leur propre profit les subventions accordées par l’Etat pour la prise en charge des clandestins.
Avec l’arrivée au pouvoir du gouvernement Salvini-di Maio, la période de vaches maigres a commencé pour tous ces bienfaiteurs de l’humanité.
Et leur haine envers Salvini s’accroît au fur et à mesure de la chute de leurs revenus.
Ainsi, insultes, provocations, menaces de mort se succèdent à l’encontre de Salvini, de plus en plus délirantes et d’une violence inouïe.
«Salvini, meurt dans d’atroces souffrances»
Invitation à tirer sur Salvini et à bien viser : «Ne tirez pas à blanc, tirez sur Salvini».
«Trois Albanais sont braqués sur lui, il sera bientôt exécuté».
Le chaudron du mépris et du ressentiment contre la Lega est plein à ras le bord.
Peut-être déborde-t-il déjà ?
Juges rouges, artistes, chanteurs, acteurs, intellectuels, écrivains, membres du clergé, ne ratent pas une occasion pour exprimer leur mépris à l’égard de Salvini et de sa politique de fermeté envers l’immigration illégale et enflamment ainsi la haine envers celui qu’ils accusent d’être un horrible nazi, un fasciste ignoble, un xénophobe infâme, de recouvrir l’Italie de honte.
Toutes ces bonnes âmes, si promptes à vomir les insultes les plus ignobles, ignorent ou feignent d’ignorer ce que vivent quotidiennement les citoyens ordinaires en contact direct avec leurs «protégés», bien à l’abri dans leurs quartiers de luxe sécurisés.
Ils se permettent de donner des leçons d’accueil et de partage aux gens, qui ont de la peine à boucler leur fin de mois et vivent dans la peur et l’insécurité dans un environnement anxiogène, qui se dégrade jour après jour.
Ils militent pour l’accueil illimité, mais ne se soucient guère de l’avenir de ces gens, qui une fois déboutés de leur demande d’asile, rejoignent le club des SDF ou celui des gangs mafieux, frustrés et en colère de ne pas avoir pu réaliser leur rêver d’une vie meilleure dans ce qu’il croyait être un eldorado.
C’est bien de prêcher l’accueil, encore faudrait-il être fidèle à ses convictions, prendre ses responsabilités et non se contenter de belles paroles et laisser le fardeau du «vivre ensemble» peser sur les seules épaules de citoyens ordinaires.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.

Source : Minacce choc contro la Lega : Uccidete donne e bambini. (Il Giornale)

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