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dimanche 17 mars 2019

Démission ou dissolution : il n’y a pas d’autre issue pour Macron !

 
 
 
 
Publié le 16 mars 2019 - par Jacques Guillemain -
 
 
Quatre mois de violences, ça suffit  ! Et aujourd’hui, tout empire !

Macron doit partir ou dissoudre l’Assemblée.
Démission ou dissolution !
Il n’y a pas d’autre issue pour le bonimenteur de l’Élysée.
Il a trop menti, trop insulté, trop méprisé le peuple, trop échoué.
 
Aucune autre mesure ne pourra ramener le calme dans le pays, tant le divorce entre Macron et le peuple est irréversible.
 
Quatre mois de révolte populaire à laquelle Macron refuse de répondre, tant son mépris du peuple est total, ont mis le pays en ébullition.
Nous devenons la risée de la planète avec ce président incompétent qui s’est cru le roi du monde du haut de ses 39 ans, le jour de son élection et qui met le peuple dans la rue au bout de 18 mois de pouvoir sans partage.
 
Cet énième épisode du mouvement des Gilets jaunes prouve, si besoin était, que le peuple ne veut plus de ce président qui a tout raté.
 
Nous avons encore droit à des scènes de guérilla urbaine, à des affrontements violents entre casseurs et  forces de l’ordre, à des pillages, à des incendies, parce que Macron se révèle incapable de restaurer l’ordre républicain.
 
Quand se décidera-t-on à sévir contre les casseurs, à les priver de droits civiques et sociaux ?
C’est le laxisme judiciaire qui encourage la violence.
 
Il faut avoir l’esprit vraiment tordu pour s’imaginer résoudre la crise par un Grand débat qui n’a intéressé que 1 % de l’électorat.
Macron noie le poisson et joue la montre pour tenter de calmer la révolte.
 
Comment un tel perdreau de l’année sans expérience a-t-il pu arriver au sommet de l’État ?
 
À peine élu, il n’a rien trouvé de mieux que d’humilier publiquement le Cema et de sabrer le budget des armées.

 
Il n’a cessé d’insulter le peuple, le traitant tantôt d’illettré ou de fainéant, tantôt d’alcoolique ou de moins que rien.
 
Il nous a fait honte avec ses frasques antillaises, tout sourire entre deux jeunes Noirs dépoitraillés faisant un doigt d’honneur devant l’objectif !
 
Il nous a encore salis avec sa Fête de la musique sur les marches du Palais, où des illuminés en marcel chantaient « Suce ma bite et lèche mes boules » devant le couple élyséen en extase.
 
Il a insulté la France devant les autorités algériennes, accusant notre pays de crime contre l’humanité.
 
Il a trahi la mémoire de nos soldats morts en Algérie, en accusant l’armée de torture, tout en passant sous silence les abominations commises par le FLN.
 
Il a créé une police parallèle avec son chouchou Benalla, couvert de privilèges et de passe-droits comme l’étaient les favorites des rois.
 
Bombardé lieutenant-colonel de réserve dans la gendarmerie à 26 ans, cet ex-vigile s’est vu autorisé par le fait du prince à humilier la hiérarchie militaire et policière du GSPR.
 
Benalla, simple responsable de la logistique selon ses dires, faisait en fait la loi dans le service de protection de la présidence.
 
Et bien qu’écarté de l’entourage de Macron, suite à des démêlés judiciaires, Benalla garde l’écoute et l’estime du Président !
 
Avec les récentes écoutes téléphoniques dévoilées par la presse, et le feuilleton des passeports diplomatiques de Benalla, on se demande s’il n’y avait pas également une « diplomatie parallèle » à l’Élysée !
 
C’est dire la haute opinion que Macron se fait de la magistrature suprême !
C’est tout un système mafieux qui a été mis en place et qui a balayé les dignes traditions de la fonction élyséenne instaurées par de Gaulle.
 
Et que dire de sa vision de l’Europe qui va liquider le peu de souveraineté qui nous reste.
 
Entre le Pacte de Marrakech, signé dans le dos du peuple et qui légalise l’invasion migratoire, et le Traité franco-allemand, lui aussi signé dans le dos du peuple et qui nous soumet aux diktats de Berlin, Macron fait tout pour dissoudre la nation.
 
Il nous a fâchés avec nos amis italiens et avec les pays de l’Est.
Quant aux Allemands, ils ont compris qu’il n’était pas le gestionnaire vertueux qu’ils espéraient. Macron, c’est Hollande en pire.
 
Il n’aime ni le peuple, ni l’armée, ni la police, qui sont des obstacles à ses délires mondialistes et à son rêve de société multiculturelle.
 
S’il souhaite une armée européenne, c’est pour mieux diluer la nation française dans une UE mondialiste ouverte à toute la misère du monde.
 
Au plan économique nous avons la plus faible croissance de l’UE et nous sommes le seul pays qui ne parvient pas à baisser ses déficits et son chômage !
 
En 2019, la croissance sera de 1,4 %. Elle était de 2,3 % en 2017.
 
Cette croissance de 1,4 % sera obtenue par l’emprunt !
 
Car ce sont les 10 milliards empruntés et accordés aux Gilets jaunes qui vont soutenir la croissance.
 
Macron est une calamité pour le pays.
Il va transformer la France en pays du tiers-monde, avec des bidonvilles toujours plus nombreux.
 
Et il encourage une islamisation sans précédent de toute la société.
 
100 % de dettes, 3,2 % de déficit, croissance en baisse, chômage persistant, la France de Macron a le bonnet d’âne de l’UE.
 
Et maintenant, c’est la chienlit permanente !
 
Ça suffit, place à un chef d’État compétent et amoureux de la France pour nous sauver du désastre !
 
Jacques Guillemain

1 commentaire:

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