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vendredi 15 février 2019

Rubrique : droit dans son box.

 
 
 
Régis de Castelnau
Droit dans ses bottes disait-il être à ce moment-là.
Par la suite lorsqu’il est devenu patron du RPR, là aussi il avait pris d’importantes libertés avec le droit pénal tel qu’il était codifié dans le chapitre des « atteintes à la probité » du Code du même nom. Et avait trouvé stupéfiant qu’on ose là aussi lui demander quelques explications.
 L’addition fut salée en première instance, un peu moins en appel.
Il était donc indispensable qu’un tel spécialiste aussi ignorant du droit soit nommé au Conseil constitutionnel, la plus haute juridiction française.
Emmanuel Macron l’a voulu, Richard Ferrand l’a fait.
Une faute morale, une faute politique, un nouveau bras d’honneur cynique à l’opinion publique, mais qu’importe, le locataire de l’Élysée a décidé que le Conseil constitutionnel devait être à son service pour lui permettre de faire passer les textes liberticides qu’il fait pleuvoir sur la république.
J’ai repris quelques articles publiés ces dernières années sous forme de chapitres et encadrés par une introduction et une conclusion.
Je reviens sur la carrière et les caractéristiques de ce boulet politique que nous traînons depuis tant d’années.

Mon copain le dessinateur Al Coutelis ( John Tartempion ) m’a fait cadeau de deux dessins qu’on retrouvera sur le blog. Pour détendre un peu une atmosphère devenue vraiment lourde.

 

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