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lundi 17 décembre 2018

Les nouveaux aristos de la nouvelle basse "noblesse" d'argent


 
 
UN-HOMME-RICHE

 
Publié le 17 décembre 2018 par rra137

Ces nouveaux « ci-devant » du monde moderne, gagnent très bien leur vie, souvent sans trop se fatiguer, comme dans l’ancienne monarchie.
 
Ils n’appartiennent pas tous, loin s’en faut, à la super classe mondiale, mais ils font partie des cercles concentriques, que la force centripète rapproche du haut de l’échelle sociale.
Ils sont directeurs de société, universitaires, intellos de gauche, artistes et tout ce qui tourne autour, comme des producteurs de films, enfin tout ce petit monde qui fait fonctionner radio, tv, cinéma, sans oublier les journalistes des grands hebdomadaires.
Et puis on y trouve tout l’appareil judiciaire, les hautes instances de la police, les haut-fonctionnaires, les patrons des réseaux sociaux, ( You tube) etc…

Comme les anciens petits nobles d’autrefois, ils ont la même arrogance, la même suffisance et la même certitude d’être plus intelligents que la plèbe d’en bas.
Le même mépris aussi, pour les petites villes et les campagnes que Macron, le type même du petit marquis, se permettait de regarder du haut de sa fictive et fugace grandeur.

Tout un parisianisme qui promeut la décadence qu’il baptise progrès social, tout en détestant ce qui peut passer pour de la vertu.
Mais contrairement à leurs prédécesseurs d’antan, nés de familles appartenant à la vieille noblesse de tradition, ils proviennent eux, de classes populaires dont les parents ont gagné de l’argent par le commerce ou l’industrie et sont devenus des bourgeois.
Certains sont même nés du lumpen prolétariat, comme on en trouve dans le show biz et qui se sont fait un nom dans le monde du spectacle ou du sport de compétition.
Ce qui les caractérise tous, c’est la rupture de contact avec la population laborieuse.
Ils rejoignent ainsi le clivage sans relation avec le reste du pays qui les fait vivre.
Comment leur demander de comprendre les motivations des gilets jaunes ?

Et puis bien plus haut, au sommet de la pyramide, il y a les milieux d’affaires, où l’on brasse des milliards, quand un GJ a du mal à remplir le réservoir de son ancienne Twingo.
Sans le peuple et sans leurs serviteurs zélés : chefs d’états, ministres, députés et républiques serviles ils seraient inopérants.
Mais ces grands patrons du secteur bancaire, industriel, pharmaceutique, qui font la pluie et le beau temps, n’avaient pas prévu ce soulèvement des classes populaires.
Ces gens d’en bas, que l’on sollicite seulement pour voter.
Donnez-nous vos voix, après on fera ce qu’on voudra.
Révolte gentille jusque là, plutôt des gens de droite, qui en ont assez de payer pour des projets qui ne les concernent pas.
Il n’y a pas que les fins de mois, il y a aussi le Traité de Marrakech sur l’immigration.
Et en face d’eux, « les Gardes suisses » qui servent les puissants et protègent le palais de l’Elysée. Qui se mettent au service de cette nouvelle gauche libérale libertaire, qui n’est plus celle de Jaurès et qui exploite le peuple de la même façon que cette ancienne droite, du temps de Zola.
Décidément, les êtres humains ne changeront jamais.

Un seul but dans la vie s’enrichir, le plus vite possible, en écrasant les autres au passage et sans le moindre scrupule.
Le patriotisme, la France, on s’en fout.
L’heure est au Gouvernement mondial et à l’uniformisation de la planète.
C’est toute une oligarchie qui est chez elle, aussi bien à Paris, qu’à New York, qu’à Londres ou à Rio de Janeiro.
Une classe hors sol, sans racines et qui ne voit aucun inconvénient à ce que la France s’africanise selon les vœux de Macron.
Un président élu par défaut, qui apparait aujourd’hui comme le meilleur serviteur de cette super classe mondiale.

Il ne s’agit plus de servir l’Etat et le peuple, mais de servir ses commanditaires et soi même par la même occasion.
D’autres, avant lui, ne s’en sont pas privés.
Le législatif n’est plus soumis à l’exécutif depuis longtemps.
Quand on est adoubé par le Siècle, la Trilatérale, le Médef et la banque Rothschild, on ne peut que se sentir fort et soutenu.

Notre président aurait été choisi (cela au conditionnel) par le milliardaire Henry Kravis, qui a vu en lui, quelqu’un manquant d’empathie pour le peuple, et parfaitement convaincu des idées mondialistes.
Ce Kravis et un certain Pierre Jouyet auraient présenté à Hollande ce jeune ambitieux d’un bel avenir, dans l’idée de le remplacer à la tête du pays.

Mission accomplie, jusqu’au grain de sable qui enraye la machine bien huilée et qui risque de déboulonner le servant du mécanisme.
Les requins vont-ils abandonner celui qui menace de laisser s’écrouler l’édifice ?

En attendant, le petit peuple des gilets jaunes, se pose la question : Où va tout l’argent que nous pompe l’Etat ?
Véritable pillage, par une classe parasite.
Ne serait-il pas le moment de prendre Bercy, comme autrefois la Bastille ?

La suite risque d’être croustillante !

Un slogan revient en boucle parmi les manifestants : REFERENDUM D’initiative populaire

Et d’autres ajoutent: MACRON demission !


Onyx
 

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