700 membres des forces de l’ordre mobilisés pour traquer Chérif Chekatt, le dernier fou d’Allah qui vient de faire couler le sang à Strasbourg aux cris de « Allahu akbar ».
Une tragédie qui va occulter opportunément le mouvement des Gilets jaunes, au nom de l’union nationale face au terrorisme.
Une minute de silence à l’Assemblée nationale et une trêve qui tombe à pic.
Le pouvoir peut instrumentaliser l’événement pour casser la dynamique du mouvement des GJ.
On ne saura donc jamais si les annonces de Macron ont eu l’effet escompté pour stopper la révolte.
À moins que les GJ ne reprennent leurs actions après les fêtes.
Partout, les appels à l’arrêt du mouvement social et identitaire se relaient dans le pays, oubliant au passage que les GJ ne sont aucunement responsables de la fusillade sanglante.
Car les vrais responsables, ce sont Macron et tous les politiques au pouvoir, tous les immigrationnistes de tout poil qui refusent depuis des décennies de protéger le peuple français contre le terrorisme et la violence liés à l’immigration de masse.
En signant le pacte de Marrakech, Macron ne fait qu’aggraver la menace et semer les germes de la violence terroriste de demain.
Et pendant que le peuple vit dans la peur, non seulement sous la menace terroriste, mais aussi à cause de la violence quotidienne avec 1 000 agressions gratuites par jour, notre président ne cesse de renforcer sa propre protection.
Ce sont 55 policiers qui sont venus renforcer le GSPR en 2017.
Et le 8 décembre, ils étaient plus de 600 membres des forces de l’ordre à protéger le bunker élyséen, transformé en Fort Knox par peur d’un assaut des Gilets jaunes sur le palais.
Avec drones d’observation et hélicoptère pour exfiltrer le chef de l’État !
C’est dire combien l’ambiance était sereine !
https://www.valeursactuelles.com/politique/policiers-drones-helicoptere-quand-macron-se-terrait-lelysee-transforme-en-bunker-face-aux-gilets-jaunes-101657
C’est le peuple qui fait les frais de la violence quotidienne, mais c’est Jupiter qui se barricade toujours plus.
Signe que le fossé entre lui et les Français s’élargit de jour en jour.
2 000 Gilets jaunes pacifiques arrêtés le 8 décembre, mais 26 000 fichés « S » en liberté ! C’est cela la vérité sur la politique sécuritaire d’Emmanuel Macron.
Strasbourg, capitale mondiale de Noël devenue la 16e ville de France victime de la barbarie islamiste.
C’est encore un fiché « S » radicalisé qui a frappé entre deux séjours derrière les barreaux.
Cet individu franco-algérien, condamné 27 fois pour des crimes de droit commun en France, en Allemagne et en Suisse, a effectué plusieurs séjours en prison, y compris à l’étranger, mais circulait libre comme l’air.
Il fait partie de ces 26 000 fichés « S », dont 10 000 radicalisés, que la police connaît mais n’a pas les moyens de surveiller.
Parmi ces individus, 3 000 sont jugés très dangereux.
Que font-ils en liberté ? Que faisait Chérif Chekatt dans la rue après 27 condamnations ?
Chekatt est un pur produit du laxisme judiciaire qui détruit la société.
La petite délinquance impunie mène à la multirécidive, qui mène à la prison, qui mène à la radicalisation, qui mène au terrorisme et qui mène au jihad. Schéma classique que le pouvoir refuse de reconnaître et de traiter.
Car il faut savoir que depuis mars 2012, date à laquelle Mohamed Merah a semé la terreur à Toulouse et à Montauban, ce sont 19 fichés « S » qui ont répandu la mort à travers la France et même à Bruxelles.
Et que fait le gouvernement ? Rien !
Quelques larmes de crocodile de nos élus, une minute de silence à l’Assemblée, un discours d’union nationale face à la terreur, un couplet pour condamner les discours de haine et dénoncer la stigmatisation de l’islam, qui n’a rien à voir avec le terrorisme comme chacun sait, et la vie politique reprend son cours jusqu’à la prochaine tragédie.
Pas question de faire le lien islam-terrorisme.
Pas question de faire l’amalgame immigration-insécurité.
Pas question d’expulser les fichés « S » étrangers.
Pas question de placer les fichés « S » radicalisés dans des centres de détention.
Pas question de retirer la nationalité française aux terroristes binationaux.
Pas question de destituer de la nationalité française les jihadistes qui ont combattu la France.
Pas question de supprimer le droit du sol et la double nationalité.
Pas question de frapper au portefeuille les familles des jeunes délinquants.
Pas question de construire des prisons alors que 100 000 peines de prison ferme ne sont pas exécutées chaque année.
Macron en avait promis 15 000 en cinq ans.
Il y en aura moins de 7 000 !
Et comme les caisses sont vides, ce sera moins.
http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2018/07/04/20002-20180704ARTFIG00004-prisons-macron-avait-promis-15000-nouvelles-places-en-cinq-ans-il-n-y-en-aura-que-7000.php
Pas question de fermer les frontières comme l’ont fait Trump, Salvini, Orban ou le gouvernement australien.
Pas question de combattre les communautarismes et d’exiger l’assimilation.
En revanche, la justice va libérer 500 jihadistes en 2019 !
Et Castaner veut récupérer les jihadistes restés en Syrie, alors que la police n’est pas en mesure de surveiller les fichés « S » !
Les revenants pourront bénéficier à nouveau de l’eldorado social !
https://www.valeursactuelles.com/politique/christophe-castaner-veut-accueillir-en-france-les-djihadistes-restes-en-syrie-94232
Mais quand donc nos politiques admettront-ils enfin qu’il s’est installé chez nous, depuis 40 ans, une contre-société qui a la haine de la France, qui tisse sa toile et installe des mini-califats dans les quartiers, un État dans l’État qui conteste la loi républicaine au profit de la charia ?
Quand feront-ils passer la sécurité des Français et l’avenir de la nation avant l’idéologie mondialiste qui devient chaque jour plus dévastatrice ?
Quand comprendront-ils que la barbarie islamiste est en train de disloquer la nation par un savant lavage de cerveau de la jeunesse immigrée, et ce, au sein même de l’école républicaine ?
C’est la haine de la France qui se propage de jour en jour et c’est notre civilisation et notre art de vivre que les barbus veulent anéantir en détournant sans cesse nos lois démocratiques permissives et notre tolérance pour en faire le tremplin de l’islam politique.
La barbarie islamiste prospère sur nos divisions, sur les lâchetés, les renoncements, les trahisons et les mensonges de nos politiques.
Leur seul combat, c’est celui qu’ils mènent contre les patriotes et les identitaires, ces salauds de franchouillards qui ont l’audace de vouloir défendre leur identité gauloise, leurs racines judéo-chrétiennes et leur culture gréco-latine menacées par l’islamisme.
L’inénarrable Griveaux, jamais avare de stupidités plus grosses que lui, vient encore d’insulter Wauquiez et Marine en les traitant de « petits responsables politiques », sous-entendu comparés à Macron qui serait un véritable « homme d’État » !
Macron, qui est en train de brader la France, le fossoyeur de la nation et le pourfendeur des lépreux patriotes, habillé en homme d’État !
À se rouler par terre.
N’est pas de Gaulle qui veut !
Il y a huit jours, Griveaux menaçait les patriotes défilant avec un drapeau français et clamant « on est chez nous » de les traquer sans relâche !
Quel noble combat !
C’est cela l’obsession du pouvoir.
Combattre la « lèpre populiste ».
Mais les fichés « S », dont plusieurs milliers de tueurs potentiels, peuvent circuler en paix.
Seule Marine a le courage de dire qu’une société multiculturelle est une société multiconflictuelle.
Macron peut nier cette évidence autant qu’il le veut, la révolte des Gilets jaunes reprendra de plus belle car ce sont eux qui supportent le coût démentiel de l’immigration et c’est le peuple qui fait les frais de la violence et de l’insécurité.
Les annonces qu’il vient de faire représentent 0,5 points de PIB.
C’est 10 fois moins que les 100 milliards que coûte l’immigration selon plusieurs études jamais démenties par la Cour des comptes.
Macron vient de promettre un débat sur l’immigration et sur la laïcité.
Un vrai débat mérite le rétablissement des statistiques ethniques, ainsi qu’une étude impartiale sur le coût de l’immigration au sens large.
Mais Macron ne lancera jamais une telle étude.
Son idéologie dévastatrice se nourrit de l’opacité et refuse toute transparence.
En signant le pacte de Marrakech, que la moitié de l’Europe refuse de signer, il a prouvé que sa priorité était la construction d’une société multiculturelle, n’en déplaise au peuple français opposé à toute immigration supplémentaire pour 70 % d’entre eux.
Jacques Guillemain
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