Après avoir été envoyée sur les roses par la plupart des municipalités – y compris de gauche – du département, Johanna Rolland, maire socialiste de Nantes, se résout à caser à Nantes les migrants qu’elle a « mis à l’abri » aux frais du contribuable – soit quatre millions d’euros payés par les Nantais.
Près de 88 migrants ont déjà été transférés dans l’ancien foyer-logement du Clos Toreau où ils disent se sentir comme chez eux.
Et pour cause, le quartier multiethnique abrite déjà une forte minorité de population d’origine africaine.
Soixante-deux autres personnes sont mises dans un immeuble de Harmonie Habitat à Saint-Herblain qui devrait être détruit en mars 2019.
Les gymnases seront bien occupés jusqu’à fin octobre comme nous l’avons annoncé.
Et personne à la mairie de Nantes ne dit rien sur l’avenir de ces migrants après le mois de mars…
Et pour cause, le quartier multiethnique abrite déjà une forte minorité de population d’origine africaine.
Soixante-deux autres personnes sont mises dans un immeuble de Harmonie Habitat à Saint-Herblain qui devrait être détruit en mars 2019.
Les gymnases seront bien occupés jusqu’à fin octobre comme nous l’avons annoncé.
Et personne à la mairie de Nantes ne dit rien sur l’avenir de ces migrants après le mois de mars…
Mais pour libérer les gymnases – la pression des associations et des clubs se fait forte et les élections ne sont plus très loin – c’est le quartier résidentiel de Saint Donatien qui va subir la plus grande charge : 179 migrants arrivent dans le bâtiment B19 de l’ancienne caserne Mellinet et 70 seront hébergés dans l’ancienne maison des Œuvres.
Elle est mise à disposition par le diocèse de Nantes qui continue à dépenser le denier du culte de ses fidèles catholiques… à destination de migrants en très grande majorité musulmans.
Elle est mise à disposition par le diocèse de Nantes qui continue à dépenser le denier du culte de ses fidèles catholiques… à destination de migrants en très grande majorité musulmans.
Les Nantais n’ont pas fini de payer : « la Ville de Nantes prend en charge les coûts liés à l’accompagnement assuré par les associations, à l’équipement et au fonctionnement des locaux ainsi que l’alimentation des personnes. Le Diocèse de Nantes met à disposition gracieusement le site de la rue Turpin », précise la mairie dans son communiqué.
Surtout, comme le quartier Dobrée qui avait enduré des mois durant le squat semi-officiel de la rue de Bréa, le quartier Saint Donatien ne voterait pas bien – pas dans le sens de Madame le maire.
Qui est nettement plus décidée lorsqu’il s’agit d’évacuer un squat de l’extrême-gauche pro-migrants dans un fief électoral, comme cette salle municipale du quartier des Olivettes.
Elle avait été occupée par l’extrême-gauche à la rentrée… à la suite d’une réunion d’une association pro-migrants plus proche de la mairie.
Des riverains très en colèreQui est nettement plus décidée lorsqu’il s’agit d’évacuer un squat de l’extrême-gauche pro-migrants dans un fief électoral, comme cette salle municipale du quartier des Olivettes.
Elle avait été occupée par l’extrême-gauche à la rentrée… à la suite d’une réunion d’une association pro-migrants plus proche de la mairie.
Cependant, des riverains semblent décidés à ne pas se laisser faire, d’autant que la politique de Johanna Rolland ne résout rien, bien au contraire : de 30 à 40 migrants arrivent chaque jour à Nantes, soit 1000 par mois, et les squats plus ou moins tolérés se multiplient.
L’accueil inconditionnel mis en place par la municipalité nantaise – qui s’en défend – est à terme « intenable » pour Nantes, comme l’a rappelé l’élue d’opposition (PCD) Blandine Krysmann dans nos colonnes.
Nous publions ci-dessous la lettre des riverains qui se suffit à elle-même.
Nantais, habitants du quartier Malakoff / Saint Donatien,
La Mairie nous informe de la venue dans notre quartier de 250 ‘ migrants ’ et de leur prise en charge financière par la Municipalité.
Après avoir rappelé que l’hébergement est un devoir d’ État, la Mairie , qui oublie d’invoquer un devoir d’État plus essentiel, le contrôle des frontières , insiste sur l’aspect « provisoire, temporaire » de cette situation .
Ce subit besoin de nous informer, bien compréhensible en période pré-électorale, ne rassure pas pour autant le citoyen et l’incite à poser à ses Élus quelques questions supplémentaires :
Après avoir rappelé que l’hébergement est un devoir d’ État, la Mairie , qui oublie d’invoquer un devoir d’État plus essentiel, le contrôle des frontières , insiste sur l’aspect « provisoire, temporaire » de cette situation .
Ce subit besoin de nous informer, bien compréhensible en période pré-électorale, ne rassure pas pour autant le citoyen et l’incite à poser à ses Élus quelques questions supplémentaires :
– Jusqu’à quand dureront, sur le territoire communal, ces ‘déportations’ de réfugiés à répétition , menées avec le plus grand mépris , tant à l’égard des déplacés qu’à celui des populations d’accueil ?
– Combien coûte au contribuable local, déjà fortement sollicité, ce sinistre manège qui lui donne immanquablement l’impression d’être lui aussi baladé ?
– Quels risques sanitaires et sécuritaires fait prendre à la population d’origine la présence de plus en plus nombreuse de ces groupes d’ individus qu’on nous présente comme « réfugiés » et qui sont étrangement formés en grande partie, de mâles adultes en pleine force de l’âge, et curieusement bien équipés ( smartphones , cartes de crédit , etc. )
Fuient-ils la guerre ou la Justice de leur pays ?
Fuient-ils la guerre ou la Justice de leur pays ?
Où sont passés les enfants, les femmes, les vieillards qui représentent traditionnellement les hordes fuyant les zones de conflits ?
– Cette farce humanitaire consistant à aller chercher sur place les candidats à l’aventure migratoire ( silence total des médias officiels sur ces méthodes utilisées quotidiennement par les ONG ) a-t-elle pour but réel de réserver à ceux-ci un avenir d’insertion de qualité, ou ne serait-elle pas plutôt une occasion pour certains de se bâtir à peu de frais une bonne conscience , et pour d’autres, associations subventionnées innombrables et employeurs indélicats, d’offrir une garantie de ressource pérenne ?
Soyez informés, chers Élus , que cet ensemble de vilaines pratiques auxquelles vous nous associez de fait, porte un nom : Le Trafic ; et que la population nantaise se fera un honneur de ne pas participer à un tel commerce rappelant les heures les plus noires de son passé maritime !!!
Comité de Citoyens Électeurs Nantais.
Crédit photo : DR[cc] Breizh-info.com, 2018, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine
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