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mercredi 10 octobre 2018

Climat : les escrocs du GIEC veulent gagner plus et plus vite

 
 
 
 
Il y a quelques années, le GIEC voulait nous faire peur en parlant d’une augmentation entre 2 et 8°C en 2100 si on ne limitait pas drastiquement les émissions de CO2.
 
Des éoliennes partout ! Du photovoltaïque jusqu’en Normandie !! Personne n’a eu peur – 2100, c’est vraiment loin – et si les éoliennes s’installent, c’est très souvent malgré la résistance  des riverains.
 
La peur forcera l’accord des riverains !
On nous parle maintenant de pays noyés, de péril pour toute la planète si l’augmentation de la température dépasse 1,5°C entre 2030 et 2052.
La désertification menace les pays qui ne seront pas noyés, des milliers d’espèces animales vont s’éteindre etc. 
Et tous les citoyens accepteront de se ruiner en « énergies renouvelables » chères, polluantes, inutilisables car intermittentes, et non stockables vu que le stockage doublerait encore le prix…
Non, il n’y a pas eu d’aussi grande escroquerie depuis les indulgences du Moyen Âge !
 
Soyons précis :
– Augmentations et baisses de température sont de tous les temps et les « vaches maigres » suivant les « vaches grasses » correspondaient à ces variations de température.
Les variations sont dues à l’activité variable du Soleil, quelquefois à des éruptions volcaniques.
En l’an 1.000, on cultivait le blé au Groenland. Essayez aujourd’hui…
 
– Le responsable des catastrophes annoncées serait le CO2, le « gaz à effet de serre le plus persistant dans l’atmosphère » selon le GIEC.
 
Le CO2 ne joue aucun rôle dans l’effet de serre, effet de serre qui existe bel et bien grâce aux nuages, à la vapeur d’eau dans l’atmosphère.
Thomas Allmendinger, Robert Ian Holmes, Ned Nikolov et Karl Zeller ont parfaitement démontré cela, André Legendre a même joué le jeu du GIEC pour constater que, si changement il devait y avoir à cause du CO2, ce serait dans le sens d’un refroidissement…
Alain Préat, archéogéologue, a pu constater que, sur 3,5 milliards d’années, il n’y a pas trace de lien entre augmentation du taux de CO2 dans l’air et augmentation de la température… que c’est, au contraire, l’augmentation de la température qui libère le CO2 !
 
– Bien entendu, il faudra payer pour éviter les catastrophes annoncées : 2.400 milliards de dollars annuellement !!
Et on insiste sur les catastrophes qui pourront être évitées grâce à ces investissements… catastrophes qui coûteraient – évidemment – encore beaucoup plus cher à la planète.
On veut absolument nous sauver d’une menace inexistante…
 
Une conclusion s’impose : on nous prend pour des idiots, des esclaves peureux prêts à « tout » donner pour éviter la mort… et quand la mort sera – évidemment et tout naturellement – évitée, nos escrocs feront savoir que c’est grâce à nos efforts.
Le citoyen simplement instruit n’a aucun moyen de vérifier, il ne l’a  pas plus  que le chrétien du Moyen Âge payant des indulgences pour s’assurer une belle vie éternelle.
Moi aussi, mathématicien surtout intéressé par la physique appliquée, j’ai cru à cette escroquerie, ne pouvant imaginer une telle duplicité de la part d’un organisme scientifique de l’ONU.
 
Actuellement, les physiciens peuvent – grâce au perfectionnement des moyens de mesure, grâce aux satellites – savoir quel est le rôle réel joué par le CO2 et j’ai un souhait : que les profs de physique dans toutes leurs classes puissent expliquer ce rôle….
 
Claude Brasseur
  1. Des calculs sérieux ont été réalisés sur l’impact de l’installation d’éoliennes partout sur la planète : une augmentation d’au moins 1,5°C de la température ! Quand on freine (l’air), ça chauffe (l’air).

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