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samedi 15 septembre 2018

Une Anglaise blanche emprisonnée par un gang de violeurs musulmans pendant 12 ans et contrainte à 8 avortements




Sarah a été enlevée au parking local de Tesco alors qu’elle était adolescente et a été détenue pendant 12 ans. Violées à maintes reprises, battues, forcées de se marier et contrainte à 8 avortements alors que la police ne faisait rien.

Les forces de police craignaient davantage d'être dénoncées comme racistes que de défendre les enfants qu'elles s'étaient engager à protéger lors de leurs cérémonies.

Sarah est une anglaise blanche et, à l’âge de 15 ans, elle étudiait au collège dans l’espoir de se former comme sage-femme.
N'ayant même pas eu de petit ami, elle a été forcée de se marier et a été violée quelques minutes plus tard par un homme qu’elle n’avait rencontré qu’une demi-heure auparavant.
Sarah a été détenue et maltraitée pendant 12 ans, alors que sa famille a demandé l'aide de la police pour la retrouver.
La baronne Caroline Cox, conseillère de la Chambre des Lords, a abordé le cas de Sarah.
«Je connais Sarah et sa famille», explique la baronne Cox.
«Chaque affaire d'abus sexuel est terrible. Mais la durée et la cruauté de son enlèvement est la pire que j'ai connue.
La famille de Sarah a demandé l'aide de la police.
Ils ont été ignorés par un corps de police qui a même refusé de la considérer comme portée disparue. Sa famille a continué à la chercher toute seule après sa disparition à Tesco. "

La police a continué à dire: Attendez quelques jours, elle reviendra.", déclare sa mère Janet aujourd'hui.
 "Mais elle ne l'a jamais fait."

Outre les viols et les passages à tabac, Sarah est tombée enceinte huit fois, chaque fois qu'elle a été forcée de subir un avortement.

L’article du Daily Mail décrit en détail l’épreuve subie durant 12 ans, bien que les journalistes ne peuvent utiliser le véritable nom de Sarah ou identifier le lieu où elle a été enlevée, détenue ou où elle habite actuellement pour des raisons juridiques et pour sa sécurité.
Elle a été forcée d'épouser deux hommes différents pendant son séjour en captivité.
Ses ravisseurs l'ont forcée à apprendre le Coran en arabe et elle n'a été autorisée à parler que dans les langues pakistanaises de l'ourdou et du pendjabi. 
Elle était détenue par un gang de violeurs d'enfants musulmans.
L’intention du gang de violeurs était de rendre Sarah complètement dépendante d’eux.
Au fil des ans, elle a été cachée dans plusieurs maisons, alors qu’elle n’avait aucun contact avec le monde extérieur.
Elle n'avait ni téléphone ni ordinateur.
Elle a été violée et battue alors qu’elle était forcée de prendre des sédatifs chaque jour pour la rendre obéissante.
Outre les viols et les passages à tabac, Sarah est tombée enceinte huit fois, chaque fois qu'elle a été forcée de se faire avorter.
Cinq de ces avortements ont été supervisés par le même médecin / hôpital, les autres dans des cliniques clandestines illégales.
Maintes et maintes fois, elle a essayé de s'enfuir dans la rue.
A chaque fois, elle a été reprise par Jerry (Nd Christian Hofer : le leader du gang pakistanais) et ramenée pour être battue.
Mais à présent, elle a réussi à s'échapper.
«Lorsque Jerry dormait un matin, j'ai trouvé son téléphone portable et j'ai appelé un taxi. J'ai pris 20£ pour le payer dans la poche de son jean. Lorsque le taxi est arrivé, j'étais en tenue islamique. Je suis sorti à toute allure par la porte arrière et j'ai dit au chauffeur - un homme blanc qui m'a demandé si j'allais bien parce que j'étais si pâle - de m'emmener là où vivait mon frère.
Sarah pensait qu'elle était libre.
Mais le gang de Jerry n'a pas baissé les bras.
Un mois plus tard, après que Sarah ait quitté la maison de son frère, elle a déménagé dans un appartement situé dans une partie différente de la Grande-Bretagne, loin de sa famille, pour que le gang ne la menace pas.
Pourtant, le chef de gang l’a trouvée grâce à son vaste réseau de contacts.
La contrainte, les coups, les viols ont continué.
Finalement, après un passage à tabac particulièrement brutal, un voisin a appelé la police pour signaler l'incident de violence domestique.
Sarah a été emmenée à l'hôpital et a commencé à dire à la police qu'elle était prisonnière, provoquant des enquêtes sur son enlèvement, qui se poursuivent aujourd'hui, plus de trois ans plus tard.
La réponse du gang pakistanais a été de lui offrir 30 000 £ d'argent de poche - et quand elle a refusé, ils ont fait irruption chez elle et l'ont battue à nouveau.
«C'était le point où je savais que cela devait cesser», déclare-t-elle.
«J'ai commencé à tout dire à la police et à les supplier de me protéger.
La bande essayait toujours de la faire taire.
De manière écoeurante, elle affirme que lors d’une interview avec un agent musulman, un officier musulman a éteint le magnétophone et lui a dit d’abandonner les allégations contre l’un de ses agresseurs «à cause du manque de preuves».

Le politiquement correct a permis de cacher les ravisseurs de Sarah et de les protéger, tout comme cela a été fait pour des dizaines de gangs, le plus souvent des hommes d'origine pakistanaise, car les forces de police craignaient davantage d'être appelées, racistes, que de protéger les enfants.
 
La dure réalité est que nous avons laissé la fausse idéologie du politiquement correct inverser la façon dont nos forces de police et nos autorités nous gouvernent et nous protègent.

Ou dois-je dire, ne nous protège pas?

Voice of Europe / DailyMail.co

Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

1 commentaire:

  1. J'aurais tant à dire sur cette horreur, çe serai trop long; alors je dirai simplement: tous les Muzz dehors. Ce sont des sauvages qui ne respectent rien et surtout pas les femmes, de vrais ordures a qui je serais capable en tant que femme de leurs faire bcp plus de mal qu'ils en ont fait ã cette pauvre gamine. Pas de pitie, ils n'en ont pas nous ne devons pas en avoir envers eux. Peine de mort sans procès, aucun avocat ne doit défendre ces pourritures aucune excuse, il n'y a rien à comprendre, la psychologie à 2 balles ça suffit. Ils ne meritent que la mort et encore c'est trop doux, trop rapide. Ils meritent 12 ans d'atroces souffrances telles celles qu'ils ont infligées à cette gamine en ruinant sa vie à jamais.

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