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dimanche 9 septembre 2018

Carte bleue pour les demandeurs d’asile, mais pas pour nos anciens !



 


Publié le 7 septembre 2018 - par Gérard Brazon -
 
 
La France est endettée ! Sans revenir à la loi de 1973 qui fit le bonheur des banques privées, on est bien obligés de réaliser que nos dirigeants dépensent sans compter et au détriment des contribuables dont ils augmentent en permanence la contribution sous forme d’impôts, de taxes diverses et que ce n’est pas fini.
 
 
Nous allons bientôt dépasser les 100 % de dette par rapport à notre PIB (Produit Intérieur Brut), c’est-à-dire notre production d’une richesse que réalisent chaque mois nos salariés, artisans, indépendants, entreprises nationales et privées.
Nous sommes le premier pays au monde en termes d’impôts et nous avons dépassé les pays scandinaves !
Sommes-nous plus heureux, mieux protégés, mieux armés, mieux sécurisés ?
Notre système judiciaire est-il plus performant, plus juste ?
Notre rayonnement à l’international est-il, sans conteste, au firmament ?
Vous savez bien que non !
Sommes-nous à la pointe du progrès, de la recherche scientifique et industrielle ? Assurément non !
Sommes-nous enviés pour notre système social et médical ?
C’est oui !
C’est bien là le souci, car il profite moins aux nationaux qu’aux immigrés légaux et aux clandestins !


Il est envié par ceux qui viennent en France pour en bénéficier.
Ceux qui ne paient aucun impôt sur les aides sociales alors que, pourtant, elles constituent l’essentiel de leurs revenus.
Ils serait tout de même normal que tous les Français et les immigrés légaux paient l’impôt sur le revenu, alors que seulement à peine 50 % y sont assujettis.
Payer l’impôt, y compris sur les revenus sociaux ! 
Nous pouvons, à juste titre, penser que nous ne sommes enviés que pour les aides sociales et non pour le reste vu l’état de nos EHPAD, les prix exorbitants qu’ils demandent pour héberger nos vieux.
Eux qui auront travaillé toute leur vie et qui se retrouvent à la ramasse ou négligés dans ces maisons de retraites qui manquent de personnel qualifié.
Ce sera notre tour, un jour, de finir dans un de ces lieux !
Sans compter les ponctions de la CSG sur leur pension en attendant la mort ! 
C’est ce que nous pouvons, à juste titre, penser quand on constate les moyens dérisoires des commissariats de police, des gendarmeries, la déliquescence de nos prisons et le refus d’en construire de nouvelles !
C’est ce que nous pouvons, à juste titre, penser en lisant l’état déplorable de nos armées en mission, comme au Mali, avec des engins mécaniques en panne, des hélicoptères cloués au sol, etc.
Sans compter l’attitude déshonorante de nos dirigeants envers les militaires.
Ce sont des femmes et des hommes qui défendent la France et la servent, au prix du sang versé, et ils ont des présidents, des ministres, des députés et des sénateurs fuyant leurs responsabilités face aux ennemis de l’intérieur, quand ce n’est pas en favorisant leur entrée en France comme « migrants » ou, nouveau mot pour cacher ce scandale, comme « exilés ».
Certains, désormais, peuvent continuer le combat islamique en tuant des civils et des pompiers, sans aucun risque finalement, sinon d’être enfermés dans un hôpital psychiatrique pour quelques mois !

 
Où sont les femmes, les enfants, dans la plupart des débarquements ? Les médias s’ingénient à trouver la perle rare parmi cette immense population d’homme jeunes qui refusent de se battre chez eux !
 
Gérard Collomb parle d’humilité des politiques alors qu’il devrait parler de lâcheté de ceux-ci devant la réalité ! « Courage, fuyons », disent-ils, comme autrefois les pacifistes d’avant-guerre qui eux, au moins, avaient l’excuse d’avoir connu la Première guerre mondiale, mais prêts à tout négocier avec les nazis !
« Pour ma part, j’aime mieux être Allemand vivant que Français mort », disait Jean Giono.
Combien sont prêts à se convertir, à accepter que l’islam dirige, à obéir !
L’équipe d’Emmanuel Macron poursuit dans la même voie que ses prédécesseurs ! Renonciation à la Nation, appel à l’immigration, ce qui doit faire plaisir au MEDEF, et au financement de celle-ci malgré notre dette abyssale !
On impose aux Français des clandestins dans les villes et les villages.
Ils sont imposés dans des habitats réquisitionnés.
Ils sont logés, nourris et protégés, et pour ceux qui sont déclarés « demandeurs d’asile », il leur est fourni une carte bleue qui leur permet de retirer de l’argent, celui des contribuables, conformément à un décret paru le 21 Octobre 2015 (merci Hollande) qui précise dans son article 744-33 : « L’allocation pour demandeur d’asile est versée mensuellement sur la base de cette transmission, à terme échu, par alimentation d’une carte de retrait. »
Cette carte ADA est délivrée par l’OFII (Office Français de l’Immigration et de l’Intégration) qui est un organisme placé sous la tutelle du ministère de l’Intérieur.
La fameuse humilité de Gérard Collomb sans doute !
210 € par mois, plus 105 € par personne supplémentaire.
Ces sommes doivent être multipliées par les milliers de demandeurs d’asile !(Source)

En réponse, ils protestent contre la nourriture pas assez épicée, ou pas halal, et disent qu’ils n’ont pas assez d’argent.
Ils provoquent des conflits, des batailles inter-ethniques, certains violent, volent, etc. Où allons-nous ?
J’avoue que les choses sont pires que celles que j’avais imaginées.

Je reste stupéfait devant l’acceptation des Français, leur refus de réagir !

Ils restent devant leur télévision à gober les discours humanistes et moralisants des médias.

Amorphes et sans âme, semble-t-il, sans réaction, en état de mort clinique peut-être, sous perfusion !

Gérard Brazon (Libre Expression)

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