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dimanche 16 septembre 2018

Après la piscine de Bâle, des musulmanes sèment la zizanie dans celle de Freiburg

 
 

 
 
Publié par Mireille Vallette le 16 septembre 2018
 

L’obsession de cacher son corps aux hommes jointe à des comportements de conquérantes mal élevées produit des conflits sans fin.

 
Certains d’entre vous s’en souviennent peut-être : l’aire d’une piscine de Bâle-Ville réservée aux femmes était squattée par un nombre croissant de musulmanes, jusqu’aux trois quarts des utilisatrices, venues notamment d’Alsace.
Foulard en nombre, baignades en habit de ville et souvent pas de baignade du tout, invasion d’une bruyante marmaille, non-respect de l’âge limite des enfants (6 ans), insultes de femmes seins nus ou en bikini, agressions verbales et même une fois physique de gardes-bains masculins.
Durant des années, on a organisé des conciliabules entre Bureau de l’intégration, médiatrice, membres de la Commission musulmane de Bâle, produit des flyers, des informations en allemand et en français.
En vain.
Les autorités sportives sont alors passées à l’action : un règlement plus restrictif a été promulgué en 2016 : âge minimum de 16 ans, enfants autorisés jusqu’à l’âge de la marche, pas de vêtements de ville même sur les aires de repos, baignade « couverte » autorisée avec le seul burkini.
Pas découragées, une bonne partie des musulmanes d’Alsace se sont alors rabattues sur la piscine de Loretto à Freiburg-en-Brisgau (Allemagne) qui comprend aussi une aire et une piscine réservées aux femmes.
Et les problèmes ont recommencé : enfants bruyants, présence de jeunes garçons, grillades, baignades en habits de ville, bagarres pour l’utilisation des douches avec intervention de la police, et comme à Bâle, discussions stériles des services d’intégration.
L’apparition de garde-bains masculins, qui remplaçaient une collègue féminine, créait des tempêtes de protestations.
A même mal, même remède : le règlement de Loretto a été adapté en 2017.
Il interdit la présence d’enfants de plus de trois ans (six auparavant), proscrit les grillades et les baignades en habits de ville, et confirme la possibilité d’une présence de garde-bains masculins.
Dans les deux cas, les non-musulmanes pâtissent de certaines convictions et restrictions : tentative d’éviter les garde-bains hommes et suppression de la possibilité de prendre avec soi de petits enfants. L’islamisation gagne encore quelques bastions.
Quant à l’Alsace, elle connait les joies d’un salafisme en pleine expansion.
D’après le président de l’Association des amis de la piscine de Loretto, ces dispositions n’ont pas changé grand-chose.
L’association a elle-même publié une lettre ouverte ironique à destination de l’Arabie Saoudite lui demandant de financer une piscine pour femmes en Alsace !
Au nom du « sexisme » et de « l’exclusion des musulmanes », voire pour certains de mesures « racistes et réactionnaires », une musulmane a lancé une pétition demandant la non-présence exclusive des gardes-bains masculins.
Elle réclame aussi la création d’heures pour femmes dans les autres piscines de Freiburg et des environs.
Elle a recueilli 1000 signatures sur les 2000 visées, musulmans et non-musulmans.
Les acteurs de l’intégration discuteront encore du sujet…
Sur le site de la piscine, plus de 170 commentateurs, musulmans ou non, s’expriment pour ou contre la pétition.
Une grande majorité est opposée et critique le comportement des musulmanes.
 
 
Pudibonderie et arrogance et au quotidien
 
Le Stuttgarter Zeitung fait un reportage en juin 2017 à la piscine de Freiburg. Il raconte le plaisir et la culpabilité d’une musulmane surnommé Djamila. Extraits :
Seule solution pour échapper au châtiment d’Allah : plonger. Djamila disparaît plusieurs secondes sous l’eau, pour échapper au regard de l’homme étranger qui se tient au bord du bassin. « C’est pas possible, il est toujours là », dit-elle en remontant. Elle décide donc de sortir le plus vite possible de l’eau pour s’éloigner du maitre-nageur. Jamais un étranger ne l’a vue sans foulard.
Djamila, arrivée à sa serviette, allume une cigarette et se cache derrière les chaises longues de ses amies. « J’ai envie de profiter du soleil, sans foulard. » (…) Elle et ses amies se rappellent comment les musulmanes de France sont arrivées par cars entiers, avec leurs enfants turbulents. Certaines couvertes à moitié, d’autres totalement, pressées de se débarrasser de toutes ces enveloppes et de vivre en liberté.
Le mari de Djamila va bientôt venir la chercher.
Elle approuve la pétition contre la présence de maîtres-nageurs hommes.
 « Le risque est trop grand pour elle d’être vue sans son voile. Elle ne racontera pas à son mari ce qui s’est passé aujourd’hui. Mais elle n’échappera pas à la punition divine, croit-elle. Car Allah a vu exactement ce qui s’est passé. »
 
Une cliente de longue date, allemande, témoigne elle aussi.
D’après elle, les étudiantes engagées pour assurer la surveillance avaient été dépassées par l’arrivée massive de ces femmes ne parlant pas allemand et n’écoutant pas les injonctions.
 
Tageswoche, 20 juillet 2018 :
Trois jeunes musulmanes bronzent en bikini tandis que des femmes nagent seins nus et que d’autres, avec leurs enfants, pique-niquent sur l’aire réservée à cet effet ; on voit leurs foulards dépasser de leurs sacs. Chaque fois que la porte de la salle des maîtres-nageurs s’ouvre, les trois jeunes musulmanes paniquent. Elles se rassurent lorsqu’elles voient en sortir des employées femmes.
A Bâle, les mesures prises semblent avoir calmé les ardeurs.
Mais sur le site, des commentatrices protestent contre le sans-gêne des musulmanes alsaciennes, notamment à propos de l’hygiène : beaucoup ne prennent pas douche avant de se baigner « ce qui rend l’eau sale et huileuse », leurs longs cheveux noirs qu’elles n’attachent pas s’accumulent dans le bassin, elles discutent sans fin au bord de la piscine…
Et « récemment, une garde-bains a été remplacée une journée par un homme, et toutes les femmes musulmanes ont couru au vestiaire et se sont plaintes. »
 
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Mireille Vallette pour Dreuz.info.
Sources :

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