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jeudi 30 août 2018

Viols, meurtres, agressions. Chronique des exactions récentes commises par des migrants

 

 machette

 
 
Les exactions commises par des migrants sur le territoire de l’Union Européenne sont importantes.


Elles peuvent de moins en moins être masquées, y compris par la presse subventionnée.
Ceci ne l’empêche toutefois pas de recourir à certains subterfuges, comme nous l’avons vu cette semaine après les événements de Chemnitz, en Allemagne.
En effet, la presse internationale a évoqué des « émeutes », des « néo-nazis », des « chasses à l’homme raciste », dimanche et lundi, après une manifestation populaire.
Or, dans cette ville d’Allemagne de l’Est, la population était mobilisée pour protester contre le meurtre d’un Allemand par deux migrants, autorisés à venir en Allemagne grâce à la volonté du gouvernement Merkel.

Si la population n’avait pas massivement réagi, en colère, la presse internationale aurait-elle évoqué le meurtre de cet allemand par un Syrien et un Irakien ?
C’est loin d’être certain.
Pour toute une partie de la presse, il semblerait qu’une manifestation de patriotes et d’autochtones en colère, réclamant le droit de vivre en paix chez soi et l’expulsion des étrangers, soit condamnable par principe.
Elle représenterait une menace plus grave que ces exactions auxquelles se livrent une partie des migrants venus en Europe avec la bénédiction de certaines autorités politiques au sein de l’Union Européenne (mais aussi avec l’aide des passeurs et des associations).
Penchons nous alors sur les dernières exactions commises ces derniers temps par des migrants, c’est à dire des immigrés rentrés illégalement dans les frontières de l’Europe, bénéficiant (ou pas) d’un statut du simple fait de sa présence sur le territoire du pays européen.

Dernier en date, à Saint-Brieuc, avec le viol d’un jeune enfant handicapé de 12 ans, par un demandeur d’Asile Afghan , un profil fréquemment aidé par les associations locales d’aide aux immigrés.
 
A Nantes, des altercations et agressions sont fréquemment signalées mettant en cause des « migrants ».
Dernière en date fin août, avec ces quatre jeunes filles agressées à la sortie d’une boite de nuit par des migrants africains.
 
A Brest, les rues du centre-ville sont de moins en moins sûres pour la population qui s’y déplace.
En cause toujours des bandes de migrants, qui se livrent à des agressions et à des vols, bénéficiant de statuts (protection de l’enfance) et d’appuis (associatifs là encore) leur permettant souvent de ne pas être inquiétés judiciairement. Et très rarement expulsés.
 
Ces exemples ternissent déjà l’image des gentils migrants qui viendraient pour fuir la guerre, la misère, et pour enrichir les Européens culturellement
Si l’on regarde un peu plus loin que la Bretagne, d’autres exactions ont été commises récemment par des populations dont il faut rappeler, certes, le nombre croissant.
On constate qu’elles sont nettement plus criminogènes que la population autochtone, .
Nous avons évoqué le meurtre de Chemnitz.
Citons quelques exemples dans les dernières semaines.

Un Irakien a été accusé d’un meurtre à Gap, une allemande violée par deux Guinéens en Allemagne. Un clandestin maghrébin a été arrêté en Italie, accusé d’avoir violé et tenté de tuer une allemande en la jetant d’une falaise.
Un africain a été arrêté après avoir violé une jeune fille de 15 ans en Italie, toujours cette semaine.
Des Sri-Lankais ont été interpellés à Paris en possession de haches et de machettes.
Lors de son jugement la semaine dernière en Allemagne pour avoir poignardé une jeune femme, un syrien de 17 ans a invoqué la religion pour justifier son geste.
En Grèce, un étudiant de 25 ans a été lynché à mort par des migrants en tentant de défendre sa petite amie.
Toujours en Grèce, des migrants s’en sont pris à des grecs sur une autoroute récemment pour dénoncer les « conditions d’accueil ».
 


La liste est longue, rien que sur ces derniers jours, ces dernières semaines.
Certains sites, comme Fdesouche, qu’on ne peut soupçonner de colporter des « Fake news » et ne reprenant presque que des articles de la presse subventionnée, se sont d’ailleurs faits spécialité de les recenser.
 
Pas d’amalgames, circonstances atténuantes, différences culturelles, racisme supposé des autochtones, la musique est désormais connue :  Vous avez dit inquiétant ?

Crédit photo : Pixabay (cc)

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