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samedi 18 août 2018

Le sourire kabyle illumine nos visages

 
 
Poignard

Le sourire kabyle était le nom donné par les militaires aux assassinats perpétrés par le FLN pendant la guerre d’Algérie, consistant à égorger le roumi d’une oreille à l’autre.

Quand il ne lui cousaient pas la bouche remplie de quelques organes…
La tradition barbaresque s’est exportée aujourd’hui, sur la terre de France.

Après l’indépendance de l’Algérie obtenue par le FLN en 1963, le Kassaman a été officiellement adopté comme hymne national.




 
Cet extrait des paroles est explicite, nous sommes bien prévenus (à partir de 2 mn 20 secondes de la vidéo ci-dessus) :

«…Ô France ! Le temps des palabres est révolu
Nous l’avons clos comme on ferme un livre
Ô France ! Voici venu le jour où il te faut rendre des comptes
Prépare toi ! Voici notre réponse…»

En effet. Voilà donc les réponses, les comptes se règlent.
Soixante ans plus tard, la rancune est tenace.



2015, Yassin Salhi, musulman, décapite son patron Hervé Cornala et accroche son trophée sur un grillage dans l’Isère. L’image est insoutenable.



2016, Adel Kermiche et Abdel Malik Petitjean, musulmans, égorgent en pleine messe le père Hamel, âgé de 86 ans.



2016, Larossi Abballa, musulman, égorge un couple de policiers à Magnanville, devant leur enfant de 3 ans.



2017, Ahmed Hanachi, musulman, massacre Laura et Mauranne, toutes deux âgées de 20 ans, gare St Charles, à Marseille.



2018, Radouane Lakdim, musulman, tranche la gorge du lieutenant-colonel Beltrame au Super U.

Si ces cinq exemples, non exhaustifs, ont pu bénéficier (si j’ose dire) d’une large couverture médiatique, pour Adrien Perez, il aura fallu deux jours aux grands médias soumis pour réagir, après que les réseaux sociaux se furent emparés de l’affaire et leur forcent la parole. Impossible alors de mettre la poussière sous le tapis, de prière musulmane. Younes et Yanis sont identifiés et arrêtés.

 
Younes El Habib et Yanis El Habib (toujours en vie)


Si l’on se donne la peine de s’informer un peu, on s’aperçoit vite que ces attaques au couteau sont quasi quotidiennes.
Des centaines ! Et ce, depuis des années.

Quand elles ne sont pas complètement occultées, elles font au mieux une brève dans les diverses presses régionales :

• 14 juin, Le Républicain lorrain,

• 15 juin, Ouest France, Paris Normandie, etc.

• Dernier en date le 14 août Le Figaro, : à Périgueux quatre personnes poignardées en pleine rue. L’agresseur est un Afghan de 19 ans, demandeur d’asile.

Dans la presse, les victimes ne sont jamais égorgées mais « frappées au cou » ou toute autre périphrase adoucissante.
Le surineur n’est jamais identifié, Padamalgam oblige.
La peur des mots est le reflet d’une totale soumission de la presse mainstream à la religion d’un Dieu qui n’est pas le nôtre.
Seule la presse alternative diffuse les photos de ces assassins, avant que les comptes soient supprimés par les censeurs.

La liste s’allonge de jour en jour, sans jamais prendre la dimension de l’accumulation.
Des centaines de personnes égorgées sur notre sol, le massacre est hors de contrôle.

Pendant ce temps, nos élus se gaussent dans les palais de la République.

Macron a renforcé son service de protection avec les policiers de la Préfecture de police de Paris, venus renforcer les 77 membres du GSPR, eux-mêmes en renfort de sa milice privée Benalla.
En même temps, les Français désarmés continuent à se faire saigner, chaque jour, mais là au sens propre .

Incapable de restaurer la sécurité, le gouvernement, à se demander s’il n’est pas complice, se contente de maquiller les statistiques, de cacher l’identité des criminels et de mettre le couvercle sur un maximum de crimes et d’informations qui pourraient endiguer la dictature du Grand Remplacement. Aucune mesure, au minimum judiciaire, n’est prise pour protéger les
Le fichier S n’est qu’un trombinoscope inutile.

Mais les Français sont inquiets, Charlotte Corday piqua Marat, Caserio surina Sadi Carnot, le président de la IIIe République.
L’Histoire est un éternel recommencement.


Michel Lebon

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