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dimanche 19 août 2018

Le FMI de Christine Lagarde prône 5,5 millions d’immigrés de plus en Espagne, le ministre Josep Borrell veut « un sang nouveau »

Espagne immigrés FMI Christine Lagarde Josep Borrell

16 août 2018

L’Espagne du président du conseil socialiste archi-minoritaire Pedro Sanchez, non contente d’ouvrir ses frontières à l’immigration à dominante islamique, doit accueillir plus de cinq millions de nouveaux immigrés au cours des prochaines décennies, vient de stipuler le Fonds monétaire international.
 
Ce chiffre est obtenu, par l’entité financière globaliste, à partir d’un calcul des besoins du système des retraites.
Equilibres culturels, conflits religieux, poids financier d’une immigration sous-qualifiée et largement inassimilable, intrusion des robots : de cela le FMI de Christine Lagarde évidemment ne veut pas entendre parler.
Son raisonnement biaisé vient étayer le stupéfiant appel, lancé par le ministre des Affaires étrangères espagnol Josep Borrell, à régénérer l’Espagne par un « sang nouveau ».


Le FMI de l’archi-globaliste Christine Lagarde prône 5,5 millions de nouveaux immigrés


Selon les calculs du FMI, ce sont exactement 5,5 millions d’immigrés que l’Espagne devrait absorber d’ici 2050 pour réduire le ratio de dépendance (retraités sur actifs) qui résulte d’une population vieillissante.
Soit 11 % de la population.
Pas un instant l’entité financière dirigée par l’archi-globaliste Christine Lagarde n’imagine prôner une politique nataliste pour une Espagne qui a légalisé l’avortement jusqu’à 14 semaines et grossesses – et 22 semaines en cas de « malformation » du fœtus.
Depuis 2005, le nombre d’avortement y tourne autour de 100.000 par an, pour une population de 47 millions d’habitants alors que le taux de fécondité de 1,33 enfant par femme en âge de procréer (2015) est l’un des plus bas d’Europe.

Pas question non plus pour l’officine de relever que 3,5 millions d’Espagnols sont actuellement incapables de trouver du travail et que le taux de chômage des jeunes atteint le niveau stratosphérique de 34 %, soit le double du chiffre moyen européen, auquel il participe pourtant, qui est de 15,2 %.
Et 14 points de plus que les 20,8 % affichés par la France, pays qui loge il est vrai ses jeunes dans les parcs à chômeurs potentiels que sont les universités et dans une multiplicité de stages bidon.

Le FMI stipule que l’immigration de masse est la solution pour les retraites


Qu’importe : le FMI stipule que pour l’Espagne l’immigration de masse est la solution « pour augmenter le nombre de contributeurs au système de retraites ».
Le FMI passe aussi par profits et pertes le fait que le taux d’emploi des immigrés extra-européens demeure considérablement inférieur à celui des citoyens nés sur le continent, que ces migrants pèsent d’autant sur les systèmes de protection sociale et qu’ils ne contribuent de ce fait que marginalement au renflouement des caisses de retraites.

Ce rapport du FMI tente de conforter le gouvernement socialiste ultra-immigrationniste en place à Madrid, qui a tout fait pour que l’Espagne remplace l’Italie au premier rang des destinations privilégiées par les mafias des passeurs en Méditerranée.
A ce jour, les autorités évaluent à plus de 50.000 le nombre de ressortissants sub-sahariens attendant au Maroc de passer en Espagne après une séries de décisions en faveur de l’ouverture des frontières prises par le très franc-maçon et anticatholique forcené président du conseil, Pedro Sanchez.
Ce dernier a accueilli à bras ouverts, suivi par son complice français Emmanuel Macron, les migrants clandestins et illégaux refusés par l’Italie.

Secrétaire d’Etat espagnol à la Sécurité sociale, le politicien socialiste vaguement professeur de philosophie Octavio Granado a juré que « les immigrés sont bien plus une opportunité qu’une menace », assurant contre toute réalité les électeurs que ce n’est qu’en accueillant les vagues humaines venues d’Afrique que leur pays « pourra conserver son niveau de vie ».
« Notre système de protection sociale a besoin de millions de contributeurs », a-t-il répondu au Parti populaire, nouvellement dirigé par le jeune conservateur décomplexé Pablo Casado, qui objectait que l’Espagne « ne peut pas absorber des millions d’Africains qui veulent venir en Europe en croyant y trouver un avenir meilleur ».

Attaques au lance-flamme à la frontière de Ceuta, mais Josep Borrell veut « un sang nouveau »


Les services de sécurité annoncent que les migrants deviennent de plus en plus violents autour des enclaves espagnoles de la côte d’Afrique du Nord.
Des policiers ont été récemment attaqués au lance-flamme de fortune et autres armes létales à la frontière de Ceuta, régulièrement prises d’assaut par des centaines de migrants.
Or l’une des premières décisions prises par le nouveau régime socialiste espagnol fut de démanteler la ligne de barbelés protégeant la frontière de ce morceau de son territoire souverain.
Pour relever le tout, le ministre espagnol le Catalan Josep Borrell, ancien président socialiste du Parlement européen, multiculturaliste fanatique, a prévenu les espagnols qu’ils devraient être reconnaissants de recevoir ces immigrants illégaux venus des régions du monde les plus pauvres et les plus violentes : « L’évolution démographique européenne démontre que si nous ne voulons pas progressivement nous retrouver dans un continent de vieux, nous avons besoin de sang nouveau, et il ne semble pas que ce sang nouveau puisse provenir de notre capacité à procréer ».

Le peuple autochtone incapable et culpabilisé, la régénération par le « sang nouveau » d’une race nouvelle.

Ça rappelle quelque chose, tout ça.

Matthieu Lenoir

reinformation.tv

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