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jeudi 9 août 2018

Dijon : Violences conjugales extrêmes d’un Soudanais « J’ignorais que c’était interdit en France. Au Soudan on fait comme ça. »

 
 

Un Soudanais de 43 ans a été condamné à huit mois de prison, dont cinq avec sursis, pour des violences à l'égard de son épouse, le 31 juillet.
 
"Un déchainement de violence, une sauvagerie extrême, une violence insupportable".

Le 31 juillet, un passant entend des cris effrayants au premier étage d'une résidence de l'avenue Jean- Baptiste-Greuze, à Dijon.
Une jeune femme de 23 ans se fait tabasser sur le balcon, devant ses deux jeunes enfants.
Cheveux tirés et arrachés, coups de poing et de pieds.
La police constate que la victime a la tête en sang et le corps couvert d'ecchymoses et d'hématomes.
Lors de sa garde à vue, Mahel déclare : "Au Soudan, on pratique ainsi, j'ignorais que c'était interdit en France".
Puis, les enquêteurs apprennent qu'il a déjà tenté une semaine avant d'étrangler sa jeune épouse, elle en porte encore les stigmates.
Leur enfant de 5 ans a tenté de donner un tube en fer à sa mère pour qu'elle se défende, mais le père s'en est saisi et a frappé son épouse tellement violemment qu'elle s'est évanouie.
(...)


Le Bien public, 8 août 2018 via lesobservateurs.ch

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