Publié le 17 mars 2018 - par Jacques Guillemain -
A l’occasion de la “Marche de la paix” du 15 mars 2018, ce sont 500 000 personnes que Viktor Orban a rassemblées à Budapest, à trois semaines des législatives.
Un chiffre colossal pour un pays de 10 millions d’habitants.
Imagine t-on un Macron rassembler 3,3 millions de personnes à Paris ?
Dans un vibrant discours célébrant l’identité hongroise et la défense de la patrie, le Premier ministre a enflammé son peuple, remonté comme jamais contre une Europe qui n’a d’autre obsession que de détruire les nations et d’effacer des siècles d’histoire du vieux continent.
Orban sonne une nouvelle fois le tocsin, estimant que c’est une bataille existentielle qui se joue, pour la survie de la Hongrie et de l’Europe.
“Les pays qui n’arrêtent pas l’immigration seront perdus”.
“l’Afrique veut défoncer notre porte, et Bruxelles ne nous défend pas”.
“L’Europe subit une invasion, et les élites européennes regardent avec leurs mains en l’air”.
“ Ils veulent qu’en quelques décennies, de notre propre gré, nous donnions notre pays à d’autres. Des étrangers venus d’autres coins du monde qui ne parlent pas notre langue, ne respectent pas notre culture, nos lois et nos modes de vie. Qui veulent remplacer les nôtres par les leurs. Ils veulent qu’à l’avenir, ce ne soit plus nous et nos descendants qui vivent ici, mais d’autres.”
Pour Orban, le multiculturalisme est une illusion, car les sociétés musulmane et chrétienne ne s’uniront jamais.
Et d’enfoncer le clou en dénonçant l’irresponsabilité d’Angela Merkel :
“Je n’ai jamais compris comment le chaos, l’anarchie et le franchissement illégal des frontières étaient considérés comme des choses positives dans un pays comme l’Allemagne, que nous considérons comme le meilleur exemple de discipline et de respect de la loi”.
On mesure l’abîme qui sépare un Viktor Orban, le Charles Martel de l’Europe, et un Macron, qui mène une politique immigrationniste délirante qui ruine la France et dynamite la cohésion nationale.
Les pays de l’Est sont le dernier rempart contre l’idéologie mondialiste qui mène l’UE à sa perte.
Il y a quelques mois, c’est le président tchèque Milos Zeman qui évoquait “les émeutes raciales » récurrentes en France, sur fond de “guerre séculaire avec l’islam”.
“J’ai déjà parlé, il y a quelques années, de ces zones interdites où les policiers ont peur d’entrer la nuit.
Un lecteur en colère m’avait écrit et dit que j’inventais tout cela, que ces “zones interdites” n’existaient pas.
Donc je lui ai répondu que lorsqu’il visiterait Bruxelles, il devait aller à Molenbeek et que s’il visitait Paris, il devait aller à Saint-Denis….je pourrais en trouver beaucoup d’autres.
J’ai dit, dès le début, que la culture de ces migrants était incompatible avec la culture européenne”.
En Pologne, le discours est le même.
“On ne veut pas vivre le chaos racial dans lequel vous vivez”, dit un citoyen polonais.
“On veut préserver notre identité. C’est notre droit. Ce n’est pas une question de racisme. Est-ce qu’on s’étonnerait de ne pas voir de blancs au Ghana et que les Ghanéens trouvent cela normal de ne pas en voir ? “
“Je suis venue en France avant et pendant l’Euro 2016 de football. Je n’ai pas reconnu ce pays alors que j’y étais venu en 1997… Comment avez vous fait pour laisser rentrer autant d’Africains et d’étrangers ? A Paris, c’est incroyable en tout cas. Du côté de la gare du Nord, je n’ai parfois croisé aucun Européen. On n’a plus l’impression d’être en Europe”.
On le voit, la cassure est totale entre ces deux Europe.
Celle des bisounours à l’Ouest, qui voient leurs pays s’effondrer sans réagir et en redemandent en votant systématiquement pour les fossoyeurs de la nation.
Et celle des patriotes de l’Est, qui savent très bien ce que signifie le mot liberté et qui sont prêts à quitter l’U.E si on leur impose une immigration qu’ils ne veulent pas.
Eux, ne comprendront jamais que les dirigeants occidentaux s’acharnent à détruire leur pays.
En attendant, Macron nous concocte la loi la plus immigrationniste qui soit, en élargissant le regroupement familial pour les dizaines de milliers de mineurs isolés qui déferlent sur la France.
Il faut s’attendre à un tsunami gigantesque, qui va submerger notre pays dans les 10 prochaines années.
La France de demain, c’est le Mayotte d’aujourd’hui.
Un volcan en ébullition.
Voici ce que dit le député LR Mansour Kamardine, qui soulignait en 2016 le risque de guerre civile :
“Mayotte, c’est 265000 habitants, dont seulement 100000 sont français. Et sur les 165000 restants, deux tiers sont en situation irrégulière.”
Mais en France, comme en Angleterre ou en Allemagne, tous ceux qui s’opposeront à cette entreprise de démolition de la nation, subiront les foudres de la justice.
C’est cela la mirifique Europe qui devait nous apporter le grand bonheur, la paix, la sécurité et le plein emploi !!!
Elle nous a privés de nos libertés et nous a apporté la dictature de la pensée unique.
Jacques Guillemain
source
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Ici, les commentaires sont libres.
Libres ne veut pas dire insultants, injurieux, diffamatoires.
À chacun de s’appliquer cette règle qui fera la richesse et l’intérêt de nos débats.
Les commentaires injurieux seront supprimés par le modérateur.
Merci d’avance.