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dimanche 25 février 2018

Le mythe du consensus climatique s’effondre

 

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Claude Brasseur
Mathématicien, chercheur en énergies renouvelables


Il faut que nos responsables politiques acceptent qu’ils ont été bernés.

« L’influence du CO2 sur le climat ne fait aucun doute », selon le GIEC.
Je sais, par mes lectures et études, que le CO2 (gaz carbonique) n’a quasi aucune influence mais, vieux scientifique depuis longtemps expulsé de l’université de Lubumbashi, je n’ai aucune autorité en la matière.
J’ai enfin trouvé un travail définitif et incontestable.
Chacun peut refaire les calculs !
Personne ne conteste le fait que la Terre est réchauffée par le soleil, que l’atmosphère ajoute 33 °C à la température moyenne de notre planète.
Selon le GIEC, dans ces 33 °C, 20,6 °C proviendraient de l’eau dans l’air et 7,2 °C du CO2… CO2 produit, entre autres, par l’être humain et dont la quantité augmenterait dangereusement !

Fin 2017, l’ingénieur Robert Max Holmes a calculé – à l’aide de la loi de Boyle-Mariotte que nous avons tous vue dans l’enseignement secondaire pour les gaz – le réchauffement qu’apporte automatiquement la simple présence d’une atmosphère autour d’une planète.
Les valeurs qu’il a obtenues sont parfaitement celles mesurées par les astronomes pour Vénus, la Terre (les 33 °C), Jupiter, Uranus, Saturne, Neptune, Titan, les planètes à atmosphère dense.
Nulle part il n’est question de « gaz à effet de serre », phénomène qui n’existe pas.
La présence du CO2, gaz qui existe à l’état de traces dans l’atmosphère terrestre, est indispensable à la vie des plantes et il pourrait utilement décupler pour faire face au siècle glacé que nous annoncent les astronomes.
Le CO2 et ses semblables n’ont aucun effet sur le climat…
Par ailleurs, même les facteurs qui font varier (au cours d’une centaine d’années) le climat sont aujourd’hui connus, mais ce n’est pas l’objet de cet article.
Il est temps de cesser de sataniser les carburants fossiles pour leur CO2, et plus que temps de filtrer les autres gaz et poussières produits, entre autres, par les centrales thermiques – qu’elles fonctionnent au bois « bio », charbon, lignite ou gaz – gaz et poussières réellement dangereux là où le CO2 est une aubaine pour la nature et, donc, pour les humains.

Le travail de Robert Max Holmes peut être consulté facilement (Molar Mass Version of the Ideal Gas Law Points to a Very Low Climate Sensitivity).

Il faut que nos responsables politiques acceptent qu’ils ont été bernés.
Pour des problèmes comme l’énergie du futur ou « l’anthropisme » du réchauffement climatique, ils doivent à nouveau faire appel à des personnes compétentes.

Il y a trop longtemps qu’ils se contentent de « la science consensuelle » du GIEC qui n’a pas de relation avec la science et nous sommes au bord de la ruine liée aux énergies « vertes » dont l’urgence disparaît.

1 commentaire:

  1. Please check the more recent paper;
    Robert Ian Holmes,
    Thermal Enhancement on Planetary Bodies and the Relevance of the Molar Mass Version of the Ideal Gas Law to the Null Hypothesis of Climate Change
    Earth Sciences. Vol. 7, No. 3, 2018, pp. 107-123. doi: 10.11648/j.earth.20180703.13

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