Pages

vendredi 26 janvier 2018

Une journaliste allemande : « à l’instar de nombreuses autres femmes, je ne me sens plus en sécurité dans les rues »

 
 
 
 
Publié par Rosaly le 26 janvier 2018

 Voice of Europe a interviewé la journaliste allemande et top modèle Anabel Schunke. Très active sur Twitter et Facebook, elle est l’une des critiques les plus connues de la politique migratoire de son pays.

Première partie de l’interview :
 
Comment l’admission d’un si grand nombre de migrants changea-t-il votre pays ?
 
L’Allemagne actuelle n’a plus rien à voir avec ce qu’elle fut avant 2015. Un seul sujet domine la Société aujourd’hui : la crise migratoire. Evidemment, ce sujet est aussi lié à l’islam et à ses excès, auxquels nous sommes confrontés depuis des années dans ce pays à cause de l’immigration musulmane présente, passée et celle à venir.
Et les conséquences sont dramatiques. Nous ne discutons plus de sujets propres à une Société occidentale civilisée. Par exemple : je suis en train regarder les informations et je vois un reportage sur la Chine et ses dernières innovations technologiques et numériques, grâce auxquelles ce pays entend rivaliser avec la Silicon Valley. Pendant ce temps en Allemagne, on discute du port du voile islamique, de l’interdiction du porc dans les cantines scolaires et de l’étude de l’islam dans les écoles. Nous sommes clairement en train de nous laisser tirer par la migration en provenance de pays islamiques des plus arriérés vers l’abîme au lieu de nous connecter au sommet du monde. Cela ne devrait pas être permis dans un pays comme le nôtre, dont les ressources sont l’éducation, l’efficacité, la reconnaissance à l’étranger, les innovations techniques de Sociétés comme Siemens, etc.
Pour l’Allemagne, la migration constitue une absolue régression. Elle divise le pays et projette le discours social sur l’avenir vers le moyen-âge.
La question n’est plus : comment voulez-vous vivre ici à l’avenir en tant qu’Allemands et défendre notre place dans le monde, mais comment pouvons-nous rendre la vie aux musulmans aussi confortable que possible au nom de la tolérance.
Sans parler des attaques quotidiennes, de la hausse d’agressions sexuelles violentes.
 
Selon les médias allemands, il y eut moins de femmes dans les rues de Hambourg lors de la nuit de la Saint-Sylvestre. Est-ce une conséquence de l’augmentation de crimes (sexuels) de la part des migrants ?
 
Evidemment, c’est la conséquence immédiate de la hausse massive d’agressions sexuelles à l’encontre des femmes allemandes. Vous savez, après chaque attentat terroriste, on nous réitère le même mantra : n’ayez pas peur, nous ne permettrons pas que l’on nous enlève notre mode de vie.
La vérité est tout autre. Les Allemands refusent majoritairement d’admettre leur peur et n’agissent pas par crainte d’être taxés de racisme. Et cette appréhension est si forte que les gens préfèrent éviter les migrants et certains évènements festifs, plutôt que de courir le risque de se faire traiter de racistes. (La propagande de la nouvelle Stasi fonctionne remarquablement bien.)
De plus en plus de femmes allemandes ont vécu l’amère expérience d’être agressées par des migrants. Selon les statistiques, sur plus de 1,5 million de soi-disant réfugiés, 80% sont des hommes. Si vous vous promenez dans la ville, peu importe où et quand, vous en rencontrez partout, souvent en groupes.
Il n’y a plus d’endroits sûrs. Cela peut vous arriver n’importe quand, n’importe où.
Les effets de la migration sont en train de façonner nos paysages urbains.
Presque toutes les femmes sentent se poser sur elles des regards différents, des regards lubriques de prédateurs, comme si elles étaient du bétail. Elles se sentent salies. En outre, les agressions violentes se multiplient. Evidemment, il y a toujours eu des viols dans tous les pays, mais la nature et le nombre de ces crimes sexuels ont complètement changé. Cela ne fait aucune différence pour la victime, si elle a été violée à la maison par une connaissance ou en public en plein jour par un migrant, mais cela influe sur la Société et la pensée les femmes de ce pays.
On a l’impression que le gouvernement savait que les femmes allemandes seraient victimes d’agressions sexuelles.
Le risque d’être la proie de prédateurs sexuels est devenu trop grand et nombreuses sont les femmes qui décident de ne plus fréquenter les endroits publics, afin de ne pas s’exposer au danger. (La charia est en marche : la femme ne doit pas sortir seule, comme dans les pays musulmans soumis à la loi d’Allah.)
Lors de la Saint-Sylvestre, dans les grandes villes comme Berlin, des zones de sécurité réservées aux femmes pour prévenir les cas d’agressions ou de harcèlement sexuel furent créées. Des tentes, confiées à la Croix-Rouge, accueillaient les femmes qui se sentaient menacées. Des psychologues étaient également présents. C’est bien la preuve que le gouvernement savait ce qu’il allait se produire, suite à l’arrivée massive de migrants musulmans.
Dans ce pays, il y a des zones où les femmes se sentent en sécurité et des zones où elles ne le sont pas.
En arriver à devoir prévoir un tel dispositif, c’est une déclaration d’échec flagrant de l’Etat en matière de sécurité. Quelle femme aurait encore envie de quitter sa maison pour le réveillon en sachant que l’Etat prévoit à l’avance qu’elle pourrait se faire agresser sexuellement, voire violer ? (par les invités de Frau Merkel)
 
Vous sentez-vous encore en sécurité en tant que femme dans votre pays et comment, ce qui se passa à Cologne, vous a-t-il affectée ?
 
A l’instar de nombreuses femmes allemandes, je ne me sens plus en sécurité. De plus en plus de femmes m’envoient des messages sur Facebook. Elles parlent de leurs peurs ou de leurs expériences traumatisantes concrètes avec les migrants.
Mais au lieu de manifester dans la rue contre cette politique migratoire, la plupart des gens préfèrent trouver des solutions privées. Vous ne célébrez plus les fêtes ou alors en compagnie d’un homme, vous ne vous habillez plus comme vous aimez, vous évitez certains endroits, etc.
Les femmes demeurent silencieuses, ignorées par la Société, les médias ne leur accordent plus aucune attention.
C’est une version allégée de ce qui se passe dans de nombreux pays musulmans, revigorés par l’islam conservateur. La femme devient invisible. Et cela fait cruellement mal de le constater.
Ce sont les évènements de Cologne qui m’ont fait prendre conscience des conséquences désastreuses pour nous les femmes, mais aussi pour notre Société en général, de cette immigration particulière. A Cologne, l’Etat perdit le contrôle de la situation pendant des heures.
Ces migrants n’ont rien appris et ils ne sont pas intéressés à apprendre. C’est leur culture. Pour ces hommes (en provenance d’un monde musulman arriéré, barbare et misogyne) les femmes occidentales non voilées, qui s’amusent et boivent de l’alcool, ne sont que des putes, qui n’aspirent qu’à se faire violer.
La seule raison qui empêcha un Cologne bis à cette Saint-Sylvestre fut la présence massive de policiers.
Cela prouve une chose : sans une présence policière forte, ces hommes peuvent créer l’anarchie, s’ils le décident.
Ils l’ont démontré à Cologne, quand ils se rassemblèrent par milliers. Ils le firent pour violer les femmes, mais ils peuvent aussi se rassembler en masse pour voler ou attaquer les infidèles. (Ils ne sont courageux qu’en meutes.)
L’immigration dans ce pays est une catastrophe sécuritaire contre laquelle nous sommes quasiment sans défense.
Après Cologne, j’ai acheté un spray au poivre et une alarme de poche. J’ai réalisé que nous ne pouvions plus compter sur l’Etat pour nous protéger, mais je sais qu’en cas d’attaque, cela ne sera pas d’un grand secours.
 
A suivre…
 
A Davos, l’Ange des migrants du tiers monde a déclaré entre autres :
Le populisme de droite est un poison, rempli de préjugés envers l’islam. 
Nous savons qu’il y a des égoïsmes nationaux, nous voyons qu’il y a du populisme, nous voyons qu’il règne une atmosphère polarisante dans de nombreux pays… 
 
A se demander pourquoi les Allemands ont réélu cette femme, source de tous leurs malheurs présents et à venir et des nôtres !
La question se pose aussi pour d’autres peuples européens, qui se laissent charmer par le physique d’un candidat ou votent par tradition familiale ou par crainte de l’inconnu pour le même parti, aussi décevant soit-il.
Puis, tétanisés par la police de la pensée, ils acceptent de se laisser conduire à l’abattoir sans broncher, leurs yeux rivés sur leur smartphone ou leur iPhone dernier cri.
 
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © traduit et adapté par Rosaly pour Dreuz.info.
 
Source : Interview with a German journalist: “Like many other women in Germany, I no longer feel safe.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Ici, les commentaires sont libres.
Libres ne veut pas dire insultants, injurieux, diffamatoires.
À chacun de s’appliquer cette règle qui fera la richesse et l’intérêt de nos débats.
Les commentaires injurieux seront supprimés par le modérateur.
Merci d’avance.