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mardi 17 octobre 2017

Guerre civile : Les écoliers Bretons discrètement entraînés à subir des attentats djihadistes

 
 
 

BREIZATAO – NEVEZINTIOU (16/10/2017)
 
La France plonge progressivement dans un état de guerre larvé sur fond de confrontation ethniques, raciales et religieuses induite par l’immigration de peuplement extra-européenne.
 
Les Bretons y sont à leur tour entraînés mais l’État Français veille à les désinformer au sujet d’une réalité qui contredit le discours et l’idéologie officiels du régime.
 
Les petits Bretons entraînés à vivre sous la menace islamique

Dernier exemple en date, les petits Bretons sont désormais entraînés à faire face à des attaques djihadistes contre leurs écoles.
Tel cet établissement d’une commune côtière de Cornouaille où, sans l’assumer, les enfants apprennent à vivre dans un environnement de djihad endémique.
Ils sont ainsi entraînés à réagir grâce à des jeux de circonstance.
« En maternelle, ils savent maintenant que lorsqu’ils l’entendent, ils doivent jouer au hérisson ou à la tortue : se mettre en boule et ne plus faire de bruit » indique un le chef de l’établissement dans un courrier adressé aux parents d’élèves.
Les écoliers plus âgés comprennent que l’alarme signifie un danger et se voient expliquer les choses différemment.

« En primaire, ils savent maintenant que l’alarme se déclenche lorsqu’un danger apparait à l’extérieur de l’école et qu’il faut donc se protéger » poursuit-il avant de préciser, « il faut donc se mettre dans un endroit spécifique de la classe. Ce matin a été l’occasion de réfléchir à l’endroit le plus adéquat pour se cacher. Les élèves s’assoient et font silence. La maîtresse ferme les rideaux et bloque les entrées ».
 
Désinformation d’état

Le chef de l’établissement préfère parler « d’événement majeur » plutôt que d’attentat mené par des combattants musulmans contre des civils bretons.
Ces circulaires émises par le gouvernement central se veulent donc le plus floues possible afin de ne pas éveiller la suspicion des populations bretonnes sur la nature du danger qui plane sur elles.
On rappellera que fin septembre deux individus « fichés S » ont tenté de pénétrer sur la base du 3ème Régiment d’Infanterie de Marine français, dans la ville de Gwened (Vannes) où il stationne (source). Le 6 octobre, toujours dans le Bro Gwened (Pays Vannetais), une musulmane blessait quatre personnes au couteau dans la rue (source).
 
C’est donc sans tambours ni trompettes que l’État Français glisse vers un état de guerre permanent, continuant de réprimer par ailleurs ceux qui annoncent cette conclusion inévitable au nom de l’idéologie égalitariste en place.

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