Publié par Bernard Martoia le 15 septembre 2017
Le 1er mai 2017, dans l’entre-deux tours de l’élection présidentielle, le psychiatre italien Adriano Segatori livrait son analyse au sujet du candidat Emmanuel Macron.
Son analyse le présentant comme un psychopathe aurait dû alerter les électeurs français.
Il n’en fut rien et l’intéressé fut élu facilement président de la république française au second tour.
Quelques sites étiquetés de fachosphère par la pensée unique alertèrent l’électorat.
Nancy Verdier pour le compte de Dreuz Info tira la sonnette d’alarme ; en vain car le rouleau compresseur des chaînes d’information en continu lava efficacement le cerveau des veaux en le présentant toujours sous un angle flatteur.
Le comportement de Macron depuis son élection est conforme, en tous points, à l’analyse du psychiatre Segatori depuis son arrivée théâtrale à la pyramide du Louvres le soir de son élection jusqu’à ses insultes gratuites et répétées envers ceux qu’il méprise.
La liste ne cesse de s’allonger car Macron n’aime que lui-même.
Les réactions indignées des personnes visées et celles ébahies des journalistes montrent qu’ils n’ont jamais écouté le psychiatre qui les avait pourtant prévenus.
J’avais écris un article, le 5 mai, qui ne fut pas publié car Nancy Verdier me coupa l’herbe sous les pieds.
Il rappelle la dangerosité de l’individu qui est parvenu au faîte de l’Etat français.
A bon entendeur même s’il est trop tard pour refaire l’histoire…
Un psychopathe à l’Elysée ?
Le professeur Adriano Segatori, un psychiatre et psychothérapeute italien, a brossé dans un entretien au journal suisse Les Observateurs le caractère dangereux pour la France du candidat Macron. (1)
L’OVNI de la scène politique française s’apprête à prendre le pouvoir exécutif après une campagne savamment orchestrée en passant sous silence l’argent du milliardaire George Soros qui, par l’entremise de sa fondation Open Society, finance toutes les campagnes électorales pour un monde sans frontières.
Des signes inquiétants sont apparus durant la campagne présidentielle mais ils n’ont pas alerté les Français sur la dangerosité de ce personnage trouble.
Voici le discours intégral de ce psychiatre que j’ai remanié car la traduction sur la toile ne m’a pas paru satisfaisante.
===Début de l’entretien===
L’analyse que j’ai faite sur Macron provient à la fois des images que j’ai en ma possession et de la biographie dont le candidat se revendique.
À l’âge de 15 ans, le jeune Emmanuel Macron a subi une grave agression sexuelle de la part de son professeur de français (NDLR Brigitte Trogneux) qui, à l’époque des faits, avait 39 ans.
Au lieu de la vision à l’eau de rose de cette union qu’on pourrait définir grotesquement comme un mariage réparateur pour le viol commis, j’y vois plutôt le fait que le développement d’Emmanuel Macron se soit bloqué prématurément en pleine adolescence à cause d’une opération de séduction à la fois psychique et physique.
Ce qui s’est passé est la transgression d’un tabou.
Le premier enseignement de cette affaire est la conviction que tout est permis
Naturellement, ce sentiment de toute puissance a eu lieu au sein de la bonne bourgeoisie d’Amiens. Si cette union avait été dans un environnement prolétaire -cet environnement qu’Emmanuel Macron méprise profondément-il aurait été détruit.
Il serait suivi aujourd’hui par les services sociaux tandis que Brigitte Trogneux serait en prison.
C’est la triste vérité.
Nous sommes confrontés à un problème de type pédophile
Une fois le tabou brisé, l’idée d’omnipotence, propre à chaque enfant, est ultérieurement encouragée dans son cas jusqu’à dépasser le propre chevauchement de sa personnalité.
Cette dernière est renforcée par des avantages intellectuels indéniables qui lui font extrapoler ses limites personnelles.
Le paradoxe veut qu’il semble pathologiquement normal mais nous sommes en plein narcissisme. Depuis sa jeunesse, Macron nourrit une ambition hors-norme; il a besoin du regard et de l’admiration des autres pour compenser un complexe d’infériorité.
Donc, nous sommes confrontés à trois paradigmes qui définissent un certain type de personnalité.
• L’idée qu’il n’existe pas de limite
• Un sentiment d’omnipotence dès l’enfance mais encore plus présent à l’âge adulte
• Un narcissisme qu’il n’est pas interdit de définir comme malveillant
Que structurent ces trois paradigmes ?
Cela structure une psychopathie car nous sommes confrontés à un individu qui, comme dans le cas d’Emmanuel Macron, est parfaitement définissable comme psychopathe.
Le mot psychopathe n’est pas une insulte.
Une grande psychanalyste américaine comme Nancy McWilliams explique qu’un psychopathe peut atteindre les plus hauts niveaux de l’administration américaine.
Un psychopathe est un déviant qui est très bien organisé d’un point de vue social et culturel.
C’est le cas dans le profil étudié.
La personnalité du psychopathe est caractérisée par des points de référence
Par exemple, Macron a une fascination pour le superficiel [d’où le surnom de Macreux que lui a affublé votre serviteur], une capacité d’attraction hors-norme mais un malaise dans la confrontation que nous voyons dans ses crises d’hystérie au moment où l’admiration pâlissante souligne les faiblesses de son identité. [le limogeage tumultueux du chef d’état-major des armées Pierre de Villiers]
Cette hystérie est caractérisée par son intérêt pour les mises en scène théâtrales [pyramide du Louvre, galerie des glaces, hélitreuillage à bord d’un sous-marin d’attaque nucléaire (2)] qui ne manquent pas de rappeler, coïncidence troublante, son histoire personnelle avec son enseignante séductrice qui lui a appris le théâtre.
Le psychopathe n’est pas digne de confiance mais il réussit à travers la fascination qu’il exerce à convaincre beaucoup d’interlocuteurs. Il n’a aucun remord.
Lorsque Macron parle des pauvres ou qu’il insulte les prolétaires du Nord en les réduisant à des fumeurs ou à des alcooliques invétérés, lorsqu’il dénigre les femmes en les rabaissant au rang d’ignorantes, (3) nous revenons dans le discours expliqué par le psychiatre Jacques Lacan.
Macron ne voulait pas le dire mais son inconscient a parlé pour lui car il croît à ce qu’il dit et il ne peut s’empêcher de l’exprimer.
Il se défend en modifiant le sens de ses déclarations mais sans jamais exprimer de remord car il ne ressent jamais de culpabilité. [son indifférence à l’égard des victimes des émeutes dans l’île de Saint Martin après le passage de l’ouragan Irma. Ces émeutes n’auraient jamais dû se produire s’il avait donné l’ordre de prendre les précautions d’usage en la matière]
Quel est le problème du point de vue psychiatrique ? Quelle est la dangerosité du personnage ?
Je réponds que cela ne fait aucun doute.
Comme tous les psychopathes, Emmanuel Macron est particulièrement dangereux.
Un intellectuel américain spécialisé dans ce que nous appelons dans notre jargon de psychiatre les perturbations bien intégrées chez les notables, a dit textuellement ceci : « les serial killers détruisent les familles alors que les psychopathes au sommet de l’État détruisent les nations. »
Pourquoi Macron est-t-il dangereux ?
• Il a une haute idée de lui-même.
• Il n’aime pas la France et il ne lutte pas pour le peuple de France. (4)
• Il s’aime énormément et il lutte pour maintenir sa fragile identité.
La conflictualité face à Marine le Pen n’est pas pour lui de nature politique.
Il ne peut pas accepter qu’une femme, la Marianne, la représentante de la France, soit son adversaire. Il a besoin d’une mère nourricière.
Toute autre relation avec une femme lui est impossible à assumer.
Cette fragilité est très dangereuse car comme tous les psychopathes il travaille uniquement pour lui-même et considère les autres comme des instruments à sa propre grandeur.
Cela souligne le danger auquel est confrontée la France d’aujourd’hui avec un candidat de ce genre.
===Fin de l’entretien===
Mon commentaire deux jours avant le second tour de l’élection présidentielle du 7 mai 2017
Comme beaucoup de psychiatres, le professeur Segatori ne fait pas de distinction entre psychopathe et sociopathe mais elle est utilisée par la police américaine pour débusquer les auteurs de crimes en série.
Les sociopathes ont tendance à être désorganisés.
Ils sont incapables de garder un emploi, un logement et de maintenir une relation stable.
Comme leur violence est erratique, ils sont plus faciles à identifier et à appréhender que les psychopathes.
En revanche, les psychopathes sont extrêmement organisés.
Ils ont des relations normales avec les autres.
Ils inspirent la confiance parce qu’ils comprennent parfaitement les émotions humaines.
Ils sont maîtres dans la manipulation parce qu’ils ne ressentent aucune émotion et qu’ils n’éprouvent aucun remord.
Ils planifient soigneusement leurs actes de vengeance.
De ce fait, ils sont très difficiles à identifier parce qu’ils anticipent chaque étape de leur crime pour s’assurer qu’ils ne seront pas détectés par la police.
Le professeur Segatori a souligné la dangerosité des psychopathes qui peuvent détruite des nations. L’histoire contemporaine nous a légués deux exemples avec Joseph Staline et Adolf Hitler.
Le président de la république française est le chef des armées.
Lui seul peut décider de déclencher une frappe nucléaire.
Peut-on raisonnablement accorder cette responsabilité à un psychopathe ?
Telle est la question existentielle que devraient se poser les électeurs français avant d’aller voter ce dimanche.
Simone de Beauvoir disait que le plus grand fléau de l’humanité n’est pas l’ignorance mais le refus de savoir.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Bernard Martoia pour Dreuz.info.
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