Le 03/03/2017
Le désinformateur socialiste Hervé Chambonnière
BREIZATAO – POLITIKEREZH (02/03/2017)
En janvier dernier, le journal socialiste Le Télégramme – à l’initiative du plumitif de gauche Hervé Chambonnière – a mené une campagne de décrédibilisation contre la mère d’une jeune fille victime d’une agression sur une ligne de bus brestoise.
Deux mois plus tard, les faits sont avérés selon le Procureur de Brest.
Coupable de désinformation militante, le journal d’état se fait depuis silencieux.
Les faits
Dans cette affaire, le journal Ouest-France – qui avait dès l’origine accordé un traitement à l’affaire – a fait preuve d’objectivité.
Survenus le 4 janvier, il relate les faits le 6 dans ses colonnes en donnant la parole à la mère de la victime de 11 ans (source) :
Karine habite Brest « depuis toujours ». Mercredi, sa fille de onze ans a été agressée dans le bus par une autre enfant. Aucun passager n’est intervenu pour lui venir en aide. Témoignage. « Mercredi, vers 17 h 50, ma fille de 11 ans prend le bus à l’arrêt Patinoire, pour rentrer à la maison. Elle revient alors de la maison pour tous de Bellevue, qu’elle fréquente depuis deux ans sans n’avoir jamais eu aucun souci. Elle va se mettre au fond du bus. Dans le même temps, deux gamines d’une douzaine d’années rentrent par l’arrière. Elles réussissent à forcer les portes en donnant des coups de pied dedans. »
Seulement cette affaire, une parmi de nombreuses autres survenant dans les transports en commun de cette ville sous direction socialiste, dérange.
Aussi bien la municipalité PSF que les plumitifs de gauche locaux, soucieux de désinformer autant que faire se peut l’opinion publique sur les questions d’insécurité, d’immigration, de criminalité ethnique ou d’islamisme qui ronge Brest.
Le Télégramme tente de discréditer l’affaire
La campagne de diffamation commence, d’abord sur les réseaux avant d’être reprise par le journal socialiste Le Télégramme.
En somme, un exemple caricatural de propagande grise.
Dans Ouest-France, la mère de la victime maintient sa version des faits le 14 janvier (source) :
« Ça ne fait pas très plaisir les gens qui se lâchent comme ça, qui me traitent de menteuse », confie Karine. Face au déferlement médiatique et aux commentaires sur les réseaux sociaux, cette maman brestoise maintient sa version :« J’en ai parlé avec ma fille ce matin encore. Oui, elle s’est bien faite agresser », dans un bus, le 4 janvier. Et personne n’aurait levé le petit doigt. C’est d’ailleurs ce dernier point qui a suscité le plus d’interrogations et de controverses.
L’activiste de gauche Hervé Chambonnière – dont nous verrons le profil politique plus loin – organise, sans grande subtilité, la décrédibilisation de la mère comme de sa fille dans un article en date du même jour intitulé « Brest : des doutes sur l’agression d’une ado » (source).
Le plumitif Chambonnière use d’un champ lexical bien précis : il parle d’un « prétendu incident » et passe rapidement sur les 15 jours d’ITT de la jeune victime qu’il affectera de mettre entre guillemets.
Qu’est ce qui motive l’intéressé ?
Il l’avoue lui-même : la lutte contre « l’extrême-droite ». Il écrit :
L’article se répand comme une traînée de poudre sur les réseaux sociaux, qui s’enflamment. Des flots de commentaires, insultes et invectives, notamment repris par l’extrême droite, inondent la toile et prennent les autorités et la régie de bus brestoises pour cibles.
Poser la question des responsabilités de l’incurie de la municipalité socialiste, acquise au clientélisme ethnique et religieux, pose visiblement problème.
L’agenda politique primera les faits.
Les faits avérés
L’enquête suit son cours.
Deux mois plus tard, le Procureur de Brest tranche : les faits sont avérés.
Ouest-France se fait fort de l’indiquer dans ses colonnes, après avoir été accusé aux côtés de la mère et de sa fille, d’avoir inventé une histoire ayant bénéficié aux ennemis politiques de la gauche socialo-marxiste locale.
Ouest-France (source) :
Le procureur de la République de Brest a confirmé qu’une jeune fille de 11 ans a bien été agressée le 4 janvier dernier dans un bus à Bellevue. Sa mère avait été accusée de mensonges après avoir dénoncé les faits. « Un incident pouvant être qualifiées de violences a bien eu lieu entre mineures. » Presque deux mois après les faits, la justice a confirmé ce mercredi qu’une agression a bien eu lieu le 4 janvier dernier dans un bus. Dans un communiqué, le procureur de Brest Eric Mathais annonce que l’enquête de police a permis de confirmer les dires d’une jeune fille de onze ans et de sa mère.
La vigie antifasciste Chambonnière et la feuille de choux socialiste Le Télégramme en sont pour leurs frais.
Leur tentative de désinformation se dégonfle instantanément.
Conséquence : silence radio.
Hervé Chambonnière, propagandiste et laquais servile
Chambonnière n’est pas un inconnu : au service de la gauche brestoise, c’est un habitué des manœuvres de désinformation.
En toute logique, ses efforts ne visent pas à informer mais à intoxiquer les masses au profit de ses souteneurs politiques.
On le retrouvait encore en novembre dernier (voir ici) appelant à la censure par le gouvernement français de BREIZ ATAO dont l’existence dérange tout le brouet socialo-communiste établi en Bretagne, singulièrement à Quimper et Brest.
Il faut dire que nous avons largement réinformé la population brestoise sur les questions d’islamisme rongeant les enclaves afro-musulmanes de la ville portuaire, pour le plus grand déplaisir du PS et des activistes stipendiés du Télégramme, étroitement liés à Cuillandre et sa clique.
Les sinistres méthodes du journal d’état Le Télégramme ont une nouvelle fois été exposées au grand jour.
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