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mardi 3 janvier 2017

La Grande-Bretagne inondée de migrants demain?

Le 03/01/2017
 
 
 
31 décembre 2016
 
Selon le bureau d’études britannique respecté « Migration Watch », la population de migrants qui s’installeraient au Royaume-Uni dans les prochaines 25 années atteindrait 12 millions de personnes au strict minimum, si la Grande-Bretagne de Theresa May n’applique pas un vrai BREXIT, la sortie réelle de l’UE, en organisant une zone de libre échange économique pour la remplacer.

En un an, de juin 2015 à juin 2016, le Royaume-Uni a dû accueillir 189.000 personnes et selon Migration Watch, on doit tabler – si la Grande-Bretagne reste dans l’UE – sur 155.000 arrivées par an.

Pour le porte-parole « migration » du UKIP (le parti de Nigel Farage, membre de l’ADDE), John Bickley, « les pires de nos craintes sont confirmées ».
Les Conservateurs de la Première Ministre confirment les projections.
L’immigration de masse continuera à des niveaux inacceptables pendant au moins deux décennies en Grande-Bretagne si la rupture n’est pas nette avec Bruxelles.

Arnold Mballe Sube (« étudiant » - à droite sur la photo), son épouse Jeanne (femme au foyer) et leurs 8 enfants affirment qu’ils sont « négligés » par la municipalité. La famille vit actuellement dans une maison avec 3 chambres à coucher à Luton. Ils réclament une propriété avec au moins 6 chambres doubles afin de pouvoir vivre confortablement.

Le migrant Arnold Mballe Sube (« étudiant » – à droite sur la photo), son épouse Jeanne (femme au foyer) et leurs 8 enfants affirment qu’ils sont « négligés » par la municipalité de Luton (Midlands). La famille vit actuellement dans une maison avec 3 chambres à coucher à Luton. Ils réclament une propriété avec au moins 6 chambres doubles afin de pouvoir vivre confortablement.
 

Nigel Farage a pour sa part, rappelé que si les citoyens britanniques ont voulu le Brexit avec une claire majorité (52%) c’est avant tout à cause de l’incapacité de l’Europe à arrêter l’invasion migratoire en cours, sans parler de l’entrée de la Turquie dans l’Union.

En Europe continentale, les populations pensent de même, c’est bien pour ça qu’il n’est plus question de défendre l’idée des referenda pour la Commission européenne…

C.T.

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