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samedi 10 décembre 2016

Nous sommes les témoins impuissants d’une invasion lente et pacifique

Le 10/12/2016
            

Publié par Manuel Gomez le 10 décembre 2016

L’Histoire c’est la démographie.

En avril 1974, le président de la république algérienne, Houari Boumediene, prévenait l’Europe du projet de transplantation de peuple qui se préparait :

« Un jour, des millions d’hommes quitteront l’hémisphère sud pour aller dans l’hémisphère nord. Et ils n’iront pas en tant qu’amis. Ils iront là-bas pour le conquérir, et ils le conquerront en le peuplant avec leurs fils.
C’est le ventre de nos femmes qui nous donnera la victoire »
 
Actuellement, et depuis quelques années, nous assistons à la revanche de la guerre d’Algérie.
L’Europe est en train de devenir la colonie de ses anciennes colonies !
La colonisation a changé de sens, l’expression coloniale : aller du nord au sud, s’est retournée, et à présent, elle va du sud au nord.
Nous sommes les témoins impuissants d’une invasion lente, pacifique et qui ne rencontre aucune résistance.
Je dirai même que les attentats terroristes qui se produisent contrecarrent momentanément cet objectif élaboré de longue date !

153,6 millions d’immigrants entre 2015 et 2040, au rythme d’une moyenne de 6,1 millions par année

Dans la vision progressiste voulue par l’Union Européenne, l’immigration n’est pas seulement tolérée et acceptée, elle est voulue et programmée : l’ONU a donné instruction à l’UE d’appliquer le principe de la « Replacement migration » (La migration de remplacement).
L‘Europe, selon l’ONU, a besoin de cette migration pour éviter le vieillissement inévitable de sa population, qui résulte des taux bas de fécondité et de mortalité.

 Pour cette organisation mondialiste, le déclin est inévitable en l’absence d’une migration de remplacement.

Ce scénario migratoire vise au maintien du ratio : « 3 actifs pour 1 retraité » et cela commande de faire rentrer au sein de l’Union Européenne 153,6 millions d’immigrants entre 2015 et 2040, au rythme d’une moyenne de 6,1 millions par année.

Pour la France, ce scénario de l’ONU préconise une rentrée de 16 millions de migrants entre 2020 et 2040, soit 800.000 par an.

Cette directive de l’ONU est reprise en France par une note officielle de l’INED (Institut National des Etudes démographiques), en date du 6 avril 2016.
Elle préconise le recours à une immigration massive et indique que « La crise démographique va prendre de l’ampleur et les migrations de remplacement feront partie des réponses de l’Europe à sa situation démographique ».

Cette importation massive de population équivaut à un véritable remplacement du Continent.

Cela est devenu une priorité des dirigeants de l’Union Européenne pour éviter un déclin démographique et limiter la régression économique et sociale, en l’absence de toute politique familiale.
Il n’y a donc plus de secret : l’ambition reconnue est de changer progressivement le peuplement de l’Europe !

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Manuel Gomez pour Dreuz.info.
 
(Source : « Les cloches sonneront-elles encore demain ?* » par Philippe de Villiers)

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