Clémentine Autain (FdG): " A Fidel Castro, pour la révolution cubaine, la résistance à l'impérialisme US, l'expérience "socialiste" d'un autre siècle. Hasta siempre ! "Mélenchon, avant d'aller rendre hommage au gus à l'ambassade de Cuba: " Fidel ! Fidel ! Mais qu'est-ce qui s'est passé avec Fidel? Demain était une promesse. Fidel ! Fidel ! L'épée de Bolivar marche dans le ciel. "
Pierre Laurent (Chef de que qu il reste du parti communiste français): " Je salue la mémoire de Fidel #Castro qui toute sa vie a combattu l'impérialisme américain pour la dignité de son peuple."
Président, un communiqué tout en rondeur qui se conclue ainsi: " Je l’avais rencontré le 11 mai 2015 au cours de la première visite d’un Chef d’Etat français à Cuba depuis la révolution. J’adresse à Raoul Castro son frère, à sa famille et au peuple cubain mes condoléances. " ( Obama avait eu la décence de ne pas émettre le souhait de rencontrer Castro lors de sa visite historique à Cuba en mars 2016 ).
Jack Lang: " La mort d'un géant du XX° siècle ", cette chèvre est si vieille que je l'aurais bien vu nous dire la même chose d'Adolf ou de Staline.
Lula, ex-président du Brésil et probable futur condamné: " la mort de Fidel Castro, comme la mort d'un vieux frère, un camarade irremplaçable que je n'oublierai jamais "
L'extrême-gauche est en deuil aujourd'hui et nos socialistes, malgré quelques communiqués somme toute indulgents, ne peuvent s'empêcher de verser tout de même une larme de nostalgie sur un homme et un système qui ont nourri leur imaginaire tout en étant les maîtres d'un des régimes dictatoriaux les plus sévères de la planète.
Castro n'était rien d'autre qu'un des pires salauds que la Terre ait porté.
Point barre. examinons quelques épisodes marquant de l'histoire du bonhomme:
" En janvier 2003, Castro a été poursuivi en Belgique par José Basulto, le président de l’ONG « Frères du secours » pour crime de guerre et crimes contre l’humanité. Grâce à l’aide du gouvernement d’alors, le procès fut ajourné et la Cour de cassation lui accorda le 12 décembre 2003 « l’immunité fonctionnelle » (1).
Fidel Castro ne s’est pas contenté de torturer, terroriser, et exécuter ses opposants, il rechercha aussi à en tirer une vente, rappelle le Wall Street Journal (2) dans un article du 30 décembre 2005 :
Le 27 mai 1966, 3,5 litres de sang par personne furent médicalement ponctionnés sur 166 civils et militaires cubains par décision de Fidel Castro, et vendus au Vietnam communiste au prix de 100 dollars le litre.
Après la prise de sang, les 166 condamnés, en état d’anémie cérébrale, paralysés et inconscients, furent emmenés sur des brancards et exécutés.
Le Projet des Archives de Cuba, une association sans but lucratif basée dans le New Jersey à Chatham, et qui s’est donnée comme mission de documenter les crimes de Castro depuis mai 1952, a, jusqu’à ce jour, réussi à identifier avec précision 9 240 des victimes de Castro.
La présidente de Archivo Cuba, Maria Werlau, estime que le nombre total de victimes est probablement de 10 fois supérieur.
Armando Lago, économiste de Harvard, a étudié le coût de la révolution cubaine et estime que près de 78 000 innocents ont été tués par le dictateur et ses sbires.
Dans The Black Book of Communism*, Armando Lago écrit qu’au moins deux sources différentes ont documenté l’assassinat d’environ 97 000 personnes par le régime de Castro.
30 000 exécutées par les pelotons d’exécutions, 2 000 lors d’assassinats extrajudiciaires, 5 000 en prison, battus ou torturés par les gardiens ou refus de soins médicaux, et 60 000 qui ont tenté d’échapper à l’enfer cubain par la mer.
Dans les « vrais chiffres des archives de Cuba », du 1er janvier 1959 au 25 mars 2005, le nombre des victimes non combattantes de Castro se monte à 87 073 morts.
Miguel A. Faria, dans Cuba in Revolution* paru en 2002, écrit à la page 415 : « Depuis que Fidel Castro a pris le contrôle de l’île en 1959, les estimations les plus crédibles disent que 30 000 à 40 000 personnes ont été exécutées par des pelotons d’exécution (paredones de fusilamiento) ou dans les geôles cubaines. »…
« A ce nombre, encore 30 000 à 40 000 Cubains ont péri en essayant de fuir le régime, principalement dans les eaux du détroit de Floride. »…
« Mais on ne compte pas les milliers qui ont perdu la vie des suites indirectes de la politique collectiviste de Fidel Castro, à savoir les indicibles privations, la malnutrition, et plus généralement la désolation générale sur l’ile. »
A ces massacres d’innocents, il faut ajouter les 5 300 personnes qui ont trouvé la mort en combattant le régime dans les montagnes Escambray (principalement des fermiers et leurs enfants) et la baie des Cochons.
Et environ 14 000 Cubains furent exécutés à l’étranger, notamment par les 50 000 soldats qu’il a envoyés en Angola dans les années 1980 pour aider le régime soutenu par l’URSS dans son combat contre Unita.
« La méthodologie de Castro, explique Archivo Cuba, était très semblable à celle utilisée en Pologne et en Allemagne de l’est, moins mortelle que les purges de Staline, mais tout aussi efficaces pour éliminer les opposants. »
Dès les tout premiers jours de la révolution, Castro ordonna des exécutions sommaires dans le but — très vite atteint — d’établir une culture de la peur qui élimina rapidement toute résistance.
Puis, dans les décennies suivantes, il s’assura de la soumission du peuple cubain en prolongeant l’état de terreur.
Emprisonnements dans des conditions inhumaines qui débouchaient presque toujours sur la mort, torture systématique et d’une cruauté extrême, et privations.
Archiva Cuba a également documenté que 5 600 Cubains ont été exécutés devant des pelotons d’exécution, et environ 1 200 lors « d’exécutions extrajudiciaires».
Le criminel Che Guevara, sanguinaire acolyte, fut l’un des bourreaux qui exécuta certains de ces crimes.
En 1959, à La Cabaña Fortress, au moins 151 personnes innocentes furent alignées et assassinées par lui.
Parmi les 94 enfants dont on a pu documenter la mort sous les ordres du Che, 22 ont été exécutés par ses escadrons et 32 lors d’exécutions extrajudiciaires.
En 1981, un jeune de 15 ans, Owen Delgado Temprana, fut battu à mort sur ordre de Fidel Castro pour donner l’exemple, quand ses agents pénétrèrent de force dans l’Ambassade d’Equateur où sa famille s’était réfugiée.
En 1995, Flores Diaz, 17 ans, trouva la mort dans une cellule punitive d’une prison de la Havane où il lui fut refusé tout traitement médical.
On la retrouva morte dans une mare de vomi et de sang.
A ce jour, Archivo Cuba a ainsi réussi à documenter 2 200 morts en prison, principalement des prisonniers politiques.
En 1971, trois enfants et leur mère qui tentaient de fuir Cuba ont été noyés lorsque leur embarcation a été intentionnellement heurtée par un vaisseau de l’armée cubaine.
En 1994, les garde-côtes cubains ont coulé un bateau de Cubains qui tentaient de rejoindre l’Amérique.
A bord, 12 enfants âgés de 6 mois à 11 ans furent noyés parmi les 45 passagers.
En 1980, un bateau d’excursion qui fuyait vers la Floride avec 52 Cubains à bord fut coulé par l’aviation cubaine dans la rivière Canimar.
A bord, il y avait 4 enfants.
Selon les sources, entre 16 000 et 75 000 « balseros », c’est le surnom donné aux Cubains qui fuyaient l’enfer communiste dans des embarcations de fortune — ont été tués en mer par le régime Castro.
Associated Press rapporte qu’en 2015, le nombre de Cubains qui ont tenté de fuir Cuba et ont été interceptés par les autorités maritimes américaines était de 3 000, le double de l’année précédente.
AP cite Dairon Morera, un de ces rescapés : « le plus grand rêve d’un Cubain, c’est de partir ».
Le livre noir du communisme* de Stéphane Courtois estime à 100 millions le nombre de personnes tuées pour imposer cette folie contraire à la nature humaine appelée communisme.
Dans The Communist*, Paul Kengor estime que le livre de Courtois est largement en dessous de la réalité.
Courtois évalue à 20 millions les crimes de Staline, mais Alexandre Yakovlev, le collaborateur du réformateur Gorbatchev cité par Kengor, place la barre entre 60 et 70 millions.
Le communisme est avec le nazisme et l’islam, l’un des trois plus grands fléaux politiques sortis du cerveau humain.
Fidel Castro était une des courroies de cette entreprise du crime dont le procès, contrairement au nazisme, n’a jamais été fait.
La gauche et les soi-disant défenseurs des droits de l’homme posent tous un regard très tendre sur le criminel Castro.
C’était un monstre, un communiste.
Selon différentes sources, il y a aujourd’hui entre 50 et 150 prisonniers politiques à Cuba.
Aucune enquête officielle contre le régime castriste n’ayant jamais été engagée par l’ONU, il n’est pas possible de savoir exactement à combien s’élèvent les crimes du dictateur Fidel Castro.
Les médias se contentent de ne jamais les aborder afin de rendre romantique l’idéologie communiste. Leur espoir un jour de l’imposer à l’Occident ayant échoué, c’est vers l’islam qu’ils se sont maintenant tournés pour imposer une idéologie de mort aux Occidentaux. " ( CV fourni par Dreuz info )
Fidel Castro est mort, la mort d'un salaud est toujours une bonne nouvelle !
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