ROME. Monteverde a peur. La douleur de Pina, soixante ans, brûle encore.
Elle a été massacrée mardi après-midi par un Nord-Africain dans le commerce de son mari pour 10 euros et un téléphone qui étaient dans le sac volé.
Le mari Giacomo est encore choqué: «Ce jeune homme est venu avec un prétexte, il a demandé du savon: "du savon, du savon" répétait-il dans un français approximatif et il ne parlait pas un mot d'italien.
Ma femme n'a pas eu le temps de se retourner que le jeune avait déjà saisi la bourse.
Et savez-vous quel est le plus grave?
C'est qu'avant de partir, il s'est acharné sur elle alors qu'elle était seule, en la frappant, à coups de pied, comme un fauve.
Elle qui est si petite, qui est si menue comme une brindille, qui était désarmée.
Et savez-vous quel est le plus grave?
C'est qu'avant de partir, il s'est acharné sur elle alors qu'elle était seule, en la frappant, à coups de pied, comme un fauve.
Elle qui est si petite, qui est si menue comme une brindille, qui était désarmée.
Il lui a cassé deux côtes, il a provoqué un traumatisme crânien et diverses contusions.
Les médecins ont dû lui enlever la rate.
Ça suffit ou est-ce que je dois en dire plus?»
Les médecins ont dû lui enlever la rate.
Ça suffit ou est-ce que je dois en dire plus?»
Source Traduction Schwarze Rose pour lesobservateurs.ch
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