1 août 2016
Afin de maintenir, coûte que coûte, les flux migratoires massifs vers l’Europe, le Politiquement Correct a plus d’un tour dans son sac.
Le « pasdamalgam » se décline sous différentes versions.
Nous avons eu droit :
• aux « musulmans premières victimes des attentats de Nice », la « double peine des victimes musulmanes » (voir à ce propos notre article du 23 juillet)
• à « l’islam religion d’amour et de paix », puisque c’est le pape lui-même qui le dit, et pour une fois le pape des Chrétiens est loué à l’unisson par la presse mainstream• à des messes célébrées dans les églises en présence d’imams ; bien-sûr les églises sont ouvertes, ce qui n’est pas le cas des mosquées : « Il est interdit aux musulmans de permettre à un non-musulman d’entrer dans la mosquée sacrée et le sanctuaire qui l’entoure, compte tenu des propos du Très Haut : “Ô vous qui croyez ! Les associateurs ne sont qu’impureté : qu’ils ne s’approchent plus de la Mosquée sacrée, après cette année-ci. Et si vous redoutez une pénurie, Allah vous enrichira, s’Il veut, de par Sa grâce. Car Allah est Omniscient et Sage.” » (Coran, 9 : 28)
• voici à présent la dernière trouvaille du Politiquement Correct : « Le terrorisme n’a pas de religion ni d’identité ».
La propagande n’a pas de limite.
Ainsi donc on ne sait pas qui sont ces terroristes qui égorgent et au nom de quoi ils se sacrifient, quand bien même se revendiquent-ils tous de l’islam.
Du reste, qui sont-ils, existent-ils vraiment puisqu’on ne sait pas qui ils sont ?
Nous avons eu droit :
• aux « musulmans premières victimes des attentats de Nice », la « double peine des victimes musulmanes » (voir à ce propos notre article du 23 juillet)
• à « l’islam religion d’amour et de paix », puisque c’est le pape lui-même qui le dit, et pour une fois le pape des Chrétiens est loué à l’unisson par la presse mainstream• à des messes célébrées dans les églises en présence d’imams ; bien-sûr les églises sont ouvertes, ce qui n’est pas le cas des mosquées : « Il est interdit aux musulmans de permettre à un non-musulman d’entrer dans la mosquée sacrée et le sanctuaire qui l’entoure, compte tenu des propos du Très Haut : “Ô vous qui croyez ! Les associateurs ne sont qu’impureté : qu’ils ne s’approchent plus de la Mosquée sacrée, après cette année-ci. Et si vous redoutez une pénurie, Allah vous enrichira, s’Il veut, de par Sa grâce. Car Allah est Omniscient et Sage.” » (Coran, 9 : 28)
• voici à présent la dernière trouvaille du Politiquement Correct : « Le terrorisme n’a pas de religion ni d’identité ».
La propagande n’a pas de limite.
Ainsi donc on ne sait pas qui sont ces terroristes qui égorgent et au nom de quoi ils se sacrifient, quand bien même se revendiquent-ils tous de l’islam.
Du reste, qui sont-ils, existent-ils vraiment puisqu’on ne sait pas qui ils sont ?
La volonté du Politiquement Correct est de nous INTERDIRE de faire le lien entre terrorisme et islam.
D’où l’accablant « Pas d’amalgame ».
Tous les moyens de la propagande sont bons, y compris les plus loufoques comme cette dernière promotion(1).
Et il y aura toujours des imbéciles pour porter ces tee-shirts.
La preuve : en l’église Saint-Léger de Lens, une trentaine de musulmans arboraient, hier dimanche 31 juillet, ces tee-shirts tendance.
Qui les a payés puisque ce n’est pas donné (voir notre image à la une et le site de téléachat) ? L’Arabie saoudite ?
Georges Sorros ?
D’où l’accablant « Pas d’amalgame ».
Tous les moyens de la propagande sont bons, y compris les plus loufoques comme cette dernière promotion(1).
Et il y aura toujours des imbéciles pour porter ces tee-shirts.
La preuve : en l’église Saint-Léger de Lens, une trentaine de musulmans arboraient, hier dimanche 31 juillet, ces tee-shirts tendance.
Qui les a payés puisque ce n’est pas donné (voir notre image à la une et le site de téléachat) ? L’Arabie saoudite ?
Georges Sorros ?
Dans le même temps nos dirigeants, François Hollande, Manuel Valls, le pape, etc — et même Michel Onfray ! — nous déclarent que « nous sommes en guerre ».
Mais en guerre contre qui ?
Eh bien, on ne sait pas puisque nos ennemis n’ont ni religion, ni identité.
En guerre contre le vent du désert, peut-être.
Mais en guerre contre qui ?
Eh bien, on ne sait pas puisque nos ennemis n’ont ni religion, ni identité.
En guerre contre le vent du désert, peut-être.
Nous ne risquons pas de gagner cette guerre puisqu’on ne sait même pas contre qui nous combattons, tandis que nos ennemis, eux, le savent.
C’est bien mal parti.
C’est bien mal parti.
Georges Gourdin
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