Certains articles visent à donner optimisme ou fierté. Ce n’est pas le cas de celui-ci. C’est un article qui rapporte une réalité qu’aucun (((média))) ne daigne décrire. Une réalité sombre qui vous remplira de fureur, voire de haine.
Traduction de l’article de Morgoth’s Review.
Certains lecteurs pourraient être choqués par les descriptions crues d’abus sexuels dans cet article.
L’un des précédents articles que j’avais écrit sur ce blog était intitulé « Seulement 300 autres filles blanches violées et torturées », où j’exprimais ma colère et mon désarroi face à la manière banale avec laquelle les médias dominants rapportaient encore une autre affaire atroce de filles anglaises ayant pour certaines seulement onze ans agressées sexuelllement et torturés par des hommes non-blancs, musulmans, à Oxford.
Le scandale des viols d’Oxford a désormais sa page wikipédia (en) et il y a eu un rapport (en) sur l’horreur qui a eu lieu :
Les abus sexuel ont comporté des viols vaginaux, anaux et oraux, et ont aussi inclus l’emploi d’une variété d’objets comme des couteaux, des fendoirs, des battes de baseballs […], des sex-toys. […] Ils étaient souvent accompagnés de comportement humiliants et dégradants comme des morsures, des griffures, des urinements [sur les victimes], être […] étouffées, attachées. Elles étaient aussi battues et brûlées. Cette activité sexuelle était souvent menée par des groupes d’homme ; parfois elle durait pendant des jours.Le rapport contient aussi des déclarations et questions par les filles qui se sont faites abusées et de leurs parents :
« Je me suis rendue au commissariat de police à 2h/3h du matin, recouverte de sang, trempée par mon pentalon depuis l’entrecuisse. Ils ont écarté cela comme moi étant vilaine, une nuisance. J’étais contusionnée et ensanglantée. »La police, le conseil municipal et les services de protection des enfants furent, inutile de le dire, pire qu’inutiles :
« La police […] ne m’a pas trouvé à part une fois […] Je ne me cachais pas – je disais aux gens où j’étais. »
« Il m’a uriné dessus. »
« Je n’aurais jamais dit non – ils m’auraient démolie la gueule. »
Une policière m’a trouvée bourrée avec des hommes. J’ai dit que j’allais bien et elle est partie et m’a laissé avec eux. J’ai été abusée cette nuit. »Quand « fille 2 » est rentrée dans le commissariat de police couverte de sang tout en ayant une hémorragie interne et a déclaré :
« Si un criminel peut repérer les enfants vulnérables, pourquoi les professionnels ne le peuvent-ils pas ? »
« Une grande part de sa vie a été volée – quand elle aurait du être au club de jeunesse ou à faire du club ou à la fête de l’école – tout cela manque à cause d’eux : les criminels et la police/les services sociaux pour ne pas avoir arrêté cela quand ils ont su. »
« Un gérant a dit [avant que l’exploitation ne soit comprise] ‘Elle est débrouillarde, et elle aime ça’. »
Les asiatiques [ndt : comprendre les pakistanais] me violent, ils m’emmènent en voiture pour être violée par d’autres asiatiques, ils ont menacé de me couper le visage et de décapiter ma famille si je refusais.Le sergent de service a répondu :
Les enfants aujourd’hui, hé ! Maintenant, pars d’ici jeune dame.L’équipe de sensibilisation de cohésion de la communauté a du pousser un soupir de soulagement.
La personne siégeant au sommet de la force de police supervisant ce carnage s’appelle Sara Thornton.
Quand le scandale a éclaté, Thornton a refusé de démissionner.
Contrairement à l’horreur des abus sexuels de Rotherham, les diverses branches du secteur public semble avoir appris qu’avoir des centaines de filles violées avec des battes de baseball et brûlées avec des cigarettes pourrait nuire aux relations publiques.
Et donc, plutôt que d’être dévoilé comme la racaille immonde qu’ils sont, ils ont préféré plaider l’ignorance, des niveaux d’attardement dignes d’un cerveau mort réduit en purée baveuse.
Par exemple, le rapport d’Oxford affirme :
Les victimes ont déclaré de manière répétée à la police qu’elles avaient été violées et torturées sexuellements, et l’équipe des foyers d’accueil regardait simplement alors que les hommes collectaient les jeunes filles la nuit.Thornton et les diverses branches du secteur public ont plaidé l’ignorance, « Nous ne savions pas », ont-ils chanté de manière répétée alors que l’affaire éclatait pour de bon.
On peut, cependant, se demander, avec quelle insistance ils ont regardé.
Après tout, le Daily Telegraph a été capable d’envoyer un journaliste à Oxford qui rapidement découvert par un imam local que :
L’opinion de certains prêcheurs islamiques envers les femmes blanches peut être dégoûtantes. Ils encouragent leurs fidèles à croire que ces femmes sont usuellement aux moeurs légères, décadentes et vicieuses – des pêchés qui ne sont qu’aggravés par le fait qu’elles sont des kouffars, ou des non-croyantes. Leur style vestimentaire, des mini-jupes aux hauts sans manches, est supposé refléter leur manière de penser impure et immorale. Selon cette mentalité, ces femmes blanches méritent d’être punies pour leur comportement en étant exploitées et dégradées.Ils ne savaient pas parce qu’ils ne voulaient pas savoir.
Le premier ministre d’alors, David Cameron, qui est lui-même un outil mondialiste anti-blanc, a émi un communiqué quant à la police et aux autorités locales qui « ne savaient pas » :
David Cameron, parlant à un sommet pour confronter le problème après des scandales semblables à Rotherham et en Oxfordshire, a fait un certain nombre de propositions, dont jusqu’à cinq années de prison pour les enseignants, conseillers municipaux et travailleurs sociaux en Angleterre et Pays de Galles qui ont échoué à protéger les enfants, des amendes illimitées pour les individus et organisations dont il serait montré qu’elles ont abandonné les enfants, et une ligne d’appel nationale pour permettre aux professionnels de rapporter les mauvaises pratiques.Le communiqué de Cameron est étourdissant et mérite un peu d’attention.
Au Royaume-Uni, dans les années initiales du 21ème siècle, le néo-marxisme a si profondément saturé le secteur public et les esprits des gens qui y travaillent qu’ils sont devenus pathologiquement incapables de ressentir de l’empathie pour les enfants blanc.
Le grand ravage d’esprit du politiquement correct est si profond que la police, les enseignants et les services de protection de l’enfance sont devenus quasi-psychotiques… au point que le premier ministre doit les menacer d’années de prison s’ils n’essayent pas au moins de s’intéresser aux enfants blancs charcutés par les sauvages.
Finalement le quota de diversité, Sara Thornton, a été écartée du bourbier d’Oxford vers son nouvel emploi à 252.000 livres sterling par an comme chef du « Conseil National des Chefs de la Police ».
Un an et demi plus tard, les classes dominantes anti-blanches chancellent après le référendum du Brexit.
L’un des signes les plus sûr qu’un peuple vit sous un système de gouvernement oppressif, dysfonctionnel et moralement mort est que, quand le système prend un coup, quand il est vu dans un état affaibli, les gens qui le haïssent se sentent enhardis.
Un exemple de cela fut quand les armées allemandes balayèrent l’Europe de l’Est et que la première réaction d’un nombre extraordinaire de lettoniens, d’ukrainiens et d’estoniens fut de se lever et de massacrer leurs maîtres judéo-bolchéviques, ou comme c’est fréquemment écrit aujourd’hui, « ont inexpliquablement mené des pogroms antisémites ».
De manière semblable, quoique beaucoup moins sanglante, les blancs des classes travailleuses se sont lâchés après avoir délivré un coup à leurs maîtres anti-blancs.
Les rapports ont afflué d’anglais arrogants demandant aux immigrés quand est-ce qu’ils repartent, de la femme noire qui s’est vu dire « va-te faire foutre en marronland » au chauffeur de taxi utilisant le mot « paki » en présence d’une femme pakistanaise, en passant par les « saucisses de la haine » placées sur les paliers des mosquées.
The Guardian a qualifié cela de « frénésie de haine » et la classe politique s’est alignée pour condamner d’une voix stridente une frénésie de haine raciste consistant de gens disant « Hé, quand est-ce que tu pars ? ».
La police métropolitaine n’a pas davantage perdu de temps.
Une section toute entière a été créée pour combattre la haine.
Vous pourriez croire que l’apparatchik qu’ils ont choisi pour diriger cette force serait au-dessus de toute critique, quelqu’un qui n’est compromis en aucune manière par un passé d’échec abyssal dan la gestions des problèmes « inter-ethniques ».
Mais ils ont choisi Sara Thornton.
Fraîchement armée d’un nouveau site tapageur intitulé « Vision Vraie » qui encourage les non-Blancs à rapporter toute transgression des convenances raciales par les Blancs, la précédemment incompétente Thornton s’est maintenant lancée avant enthousiasme contre la haine et le racisme (blancs).
Thornton a ainsi déclaré :
Comme la vaste, vaste majorité des gens, j’ai été choquée et dégoûtée par certains des cas d’abus raciaux ou anti-immigrés qui ont été rapportés cette semaine.Nous avons aussi été réconforté par les gens qui sont intervenus pour défier les comportement abusifs, les condamner et rassurer les victimes que ces opinions ne sont pas représentatives du Royaume-Uni.
De manière intéressante, nous avons maintenant une « équipe nationale des tensions communautaires », ce qui signifie que notre diversité est une telle force qu’il faut une division toute entière pour la contrôler en permanence :
L’équipe nationale des tensions communautaires a aussi analysé des rapports des forces qui montrent aujourd’hui une augmentation dans les tensions communautaires dirigées contre la communautée des migrants depuis le référendum. [À] un certain nombre de forces [de polices], les migrants rapportent des abus verbaux, des commentaires négatifs sur les réseaux sociaux dont des expressions xénophobes, des dépliants anti-migrant et en nombre très limités, des agressions physiques. Tous ces incidents sont sous enquête active.Oubliée depuis longtemps les gestes étranges et la stupidité feinte.
Les mêmes gens qui haussaient les épaules quand une jeune fille blanche de 13 ans affirmait avoir été violée avec une bouteille brisée par un pakistanais promet désormais d’enquêter sur quiconque à la témérité d’insulter un pakistanais sur (((facebook))).
Le rapport d’Oxford affirme :
… en conséquence, les filles étaient parfois traitées sans courtoisie commune, et comme une victime l’a décrit, par des « remarques narquoises.Les non-blancs peuvent être rassurés, il n’y aura pas de « remarques narquoises » dirigées contre eux quand ils rapporteront avoir été qualifié de « paki », ou quand ils rapporteront qu’un homme blanc des classes laborieuses les a accusé d’être des violeurs d’enfant.
Le système est de manière si évidente biaisé contre les natifs que quand la jeune fille est entrée dans le commissariat de police, le sergent de service a fait un calcul rapide : prendre cette fille au sérieux et potentiellement perdre son emploi, son emprunt immobilier et toute sa vie, ou laisser couler, et la faire circuler.
Pourquoi prendre le risque ?
Elle n’est qu’une koulak blanche, une non-personne.
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