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mercredi 20 juillet 2016

Mohammed B. n’aurait pas supporté que le mari se gratte les couilles devant sa femme voilée….

Publié le 20 juillet 2016 - par Paul Le Poulpe
 
 
Musulmansvousnousmentez
 
 
L’affaire est décidément compliquée. Comment expliquer qu’un musulman, de nationalité marocaine, domicilié à Limay, dans les Yvelines, puisse, dans un village familial de vacances, poignarder une femme de 45 ans et ses trois filles, dont l’une fut un moment entre la vie et la mort.
 
Dans un premier temps, on a expliqué que cet homme, par ailleurs religieux, avec une femme voilée, n’aurait pas supporté la tenue légère des enfants et de la femme, une journée où le thermomètre dépassait les trente degrés.
Mais le Procureur de la République a contesté cette version, sans par ailleurs en fournir une autre, expliquant, histoire de noyer le poisson, que les raisons paraissaient floues…
Autre détail, on apprend que la mère de famille poignardée aurait apporté son aide à son assassin potentiel, la veille au soir, alors que ce dernier aurait fait un malaise.
L’homme, interrogé par les policiers depuis ce matin, dit ne se souvenir de rien.
Par contre, lorsque les policiers ont voulu lui prendre ses empreintes digitales, il se serait violemment rebellé, et aurait hurlé à trois reprises « Allah akbar », preuve que ses pertes de mémoire sont particulièrement sélectives.
Une autre version circule, à présent, relayé par le journal local « L’Indépendant ».
Le « déséquilibré », qui avait positionné sa voiture en position de départ rapide, après son forfait, aurait, selon les journalistes, dit au père des trois fillettes, au moment de s’enfuir : « Tu n’aurais pas dû faire cela devant ma femme », et aurait mimé le geste de se gratter l’entrejambe.
Moralité, dans la culture d’un bon musulman qui crie Allah abkbar quand il poignarde des mécréantes ou qu’on lui prend ses empreintes digitales, quand un homme se touche l’entrejambe (ce que le père nie), on sort son couteau (c’est étonnant le nombre de musulmans à couteaux, en France) et on essaie de tuer sa femme et ses filles.
 C’est curieux, à notre connaissance, jamais un catholique, un bouddhiste, un juif ou un athée n’ont réagi ainsi.

Bien évidemment, les journaleux du système, et le procureur, abondent dans des explications psychiatriques pour innocenter l’islam de cette nouvelle tentative de meurtre d’un soldat d’Allah contre quatre des nôtres.
Curieusement, c’est encore un disciple de la religion d’amour qui s’est distingué, ce jour, à Uzès.
Ce loustic, marocain lui aussi, ancien repris de justice, lui aussi, était interdit de séjour en France. Mais comme on rentre dans la France de Hollande-Valls-Cazeneuve comme dans un moulin, il était de nouveau chez nous.
Il a arraché sauvagement le sac à main d’une grand-mère de 70 ans, et a menacé les Français présents de faire comme à Nice.
 
Dans un registre semblable, c’est encore un disciple d’Allah, afghan âgé de 15 ans, a essayé de trancher la gorge de son éducateur (car bien évidemment il bénéficiait des aides sociales payées par les socialauds avec nos impôts) avec un couteau.
Le crime de l’éducateur : il avait osé demandé au jeune garçon de retirer ses pieds de sur la table.
 
Certains diront que c’est bien moins grave que le geste de son coreligionnaire qui, en Allemagne, a expliqué pourquoi les mécréants allaient payer, avant de les attaquer à la hache.
 


 
Moralité de ces quatre faits divers : en France, dix millions de musulmans peuvent vous tuer à tout moment, ou vous blesser grièvement, parce qu’ils ont été choisi par Allah pour punir les mécréants. Et les crapules qui dirigent le pays noient le poisson, avec la complicité de tous les journaleux.
Et quand un député, Laurent Wauquiez, demande, dans l’Hémicycle, qu’on enferme les musulmans classés S, il se fait insulter par le Premier ministre, la bouche tordue par la haine.
 



Conclusion : le principe de précaution impose de se débarrasser des socialistes, d’armer les Français et de virer de France tous les musulmans qui se réfèrent à la charia.
 
Tout simplement parce qu’ils rêvent de nous tuer.
 
Paul Le Poulpe

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