Le 11/07/2016
Gabriel Robin
Comme d’habitude, l’anti-France était de sortie.
Dimanche 10 juillet, la France perdait contre un Portugal solide mais sans génie, en finale de l’Euro 2016.
Je laisse le soin aux experts du jeu de déterminer ce qui fut fatal à cette équipe de France.
Je vais, pour ma part, m’intéresser aux violences « en marge » de la finale.
Comme d’habitude, l’anti-France était de sortie, trouvant un prétexte pour manifester bruyamment, et violemment, sa haine de notre pays.
Les témoignages de badauds concordent avec les vidéos qui ont été diffusées sur Internet.
Dès avant le match, des débordements étaient à regretter aux abords de la fan-zone près du Trocadéro, illustrés par des photos sidérantes montrant d’immenses nuages de fumée sous la tour Eiffel.
La fête ?
Non, des images de guerre.
Les forces de l’ordre ont été obligées de charger des groupes de racailles – car c’est ainsi qu’il faut les nommer, qui se sont dévoués pour mettre à nouveau une ambiance détestable au cœur d’un grand rassemblement populaire.
Est-il toujours possible, au juste, d’assister dans le calme à une manifestation quelconque sans qu’elle ne finisse irrémédiablement gâchée par des perturbateurs ?
Les dégâts ont été si considérables que la tour Eiffel était fermée aux visiteurs lundi 11 juillet.
La Société d’exploitation de la tour Eiffel expliquait, dans un communiqué, que la situation actuelle ne permettait pas « d’ouvrir aujourd’hui dans des conditions de sécurité correctes ».
Des « supporters », avec de gros guillemets, ont brûlé des poubelles, des scooters et même une voiture.
Après le match, le centre-ville de Paris fut pris d’assaut par des supporters de l’Algérie, et parfois de la Côte d’Ivoire.
J’ignorais que ces deux pays participaient à l’Euro de football, mais passons.
« One, two, three : viva l’Algérie ! » pouvait-on entendre sur les Champs-Élysées.
Ces gens ne fêtaient pas la victoire du Portugal, mais la défaite de la France, pays honni.
La confusion était si grande que les journalistes de Libération ont diffusé, aux alentours de 23 h 30, un article sous-titré « Décalage. Sur les Champs-Élysées, les supporteurs français sont prostrés sur leur smartphone tandis que les supporteurs portugais sont aux anges », illustré par une photo de personnes portant des drapeaux extra-européens, de pays du Maghreb et d’Afrique subsaharienne !
Ridicule…
Soit les journalistes de Libération sont très mauvais en géographie, soit ils désinforment sciemment, soit ils ont voulu prouver qu’une partie de la jeunesse profitait de toutes les occasions possibles pour attaquer le pays qui les héberge.
Je vous laisse juges.
Christopher Nunès, ancien journaliste de BFM TV, indiquait sur Twitter qu’il avait surpris un homme lancer une bouteille devant les CRS, en scandant « Vive Daech ».
Pourtant, la plupart des journalistes et commentateurs se refusaient à relayer ces informations ce 11 juillet.
Le blogueur Koztoujours, Bisounours devant l’éternel, se contentant d’expliquer que ces actes n’étaient pas « représentatifs ».
Ils se reproduisent pourtant à chaque événement…
Je laisse le soin aux experts du jeu de déterminer ce qui fut fatal à cette équipe de France.
Je vais, pour ma part, m’intéresser aux violences « en marge » de la finale.
Comme d’habitude, l’anti-France était de sortie, trouvant un prétexte pour manifester bruyamment, et violemment, sa haine de notre pays.
Les témoignages de badauds concordent avec les vidéos qui ont été diffusées sur Internet.
Dès avant le match, des débordements étaient à regretter aux abords de la fan-zone près du Trocadéro, illustrés par des photos sidérantes montrant d’immenses nuages de fumée sous la tour Eiffel.
La fête ?
Non, des images de guerre.
Les forces de l’ordre ont été obligées de charger des groupes de racailles – car c’est ainsi qu’il faut les nommer, qui se sont dévoués pour mettre à nouveau une ambiance détestable au cœur d’un grand rassemblement populaire.
Est-il toujours possible, au juste, d’assister dans le calme à une manifestation quelconque sans qu’elle ne finisse irrémédiablement gâchée par des perturbateurs ?
Les dégâts ont été si considérables que la tour Eiffel était fermée aux visiteurs lundi 11 juillet.
La Société d’exploitation de la tour Eiffel expliquait, dans un communiqué, que la situation actuelle ne permettait pas « d’ouvrir aujourd’hui dans des conditions de sécurité correctes ».
Des « supporters », avec de gros guillemets, ont brûlé des poubelles, des scooters et même une voiture.
Après le match, le centre-ville de Paris fut pris d’assaut par des supporters de l’Algérie, et parfois de la Côte d’Ivoire.
J’ignorais que ces deux pays participaient à l’Euro de football, mais passons.
« One, two, three : viva l’Algérie ! » pouvait-on entendre sur les Champs-Élysées.
Ces gens ne fêtaient pas la victoire du Portugal, mais la défaite de la France, pays honni.
La confusion était si grande que les journalistes de Libération ont diffusé, aux alentours de 23 h 30, un article sous-titré « Décalage. Sur les Champs-Élysées, les supporteurs français sont prostrés sur leur smartphone tandis que les supporteurs portugais sont aux anges », illustré par une photo de personnes portant des drapeaux extra-européens, de pays du Maghreb et d’Afrique subsaharienne !
Ridicule…
Soit les journalistes de Libération sont très mauvais en géographie, soit ils désinforment sciemment, soit ils ont voulu prouver qu’une partie de la jeunesse profitait de toutes les occasions possibles pour attaquer le pays qui les héberge.
Je vous laisse juges.
Christopher Nunès, ancien journaliste de BFM TV, indiquait sur Twitter qu’il avait surpris un homme lancer une bouteille devant les CRS, en scandant « Vive Daech ».
Pourtant, la plupart des journalistes et commentateurs se refusaient à relayer ces informations ce 11 juillet.
Le blogueur Koztoujours, Bisounours devant l’éternel, se contentant d’expliquer que ces actes n’étaient pas « représentatifs ».
Ils se reproduisent pourtant à chaque événement…
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