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dimanche 24 juillet 2016

Après Nice, tous devraient être jugés pour haute trahison

Publié le 24 juillet 2016 - par Jacques Guillemain -
 
 
Trevidic
 
 
C’est à un grand bal des faux culs que nous assistons depuis le massacre de Charlie-Hebdo.
 
Tous ceux qui ont trahi le pays depuis trente ans se précipitent dans les media pour se poser en chef de guerre contre le terrorisme.
Les fossoyeurs de la nation, qui ont toujours poignardé le peuple français dans le dos, voudraient aujourd’hui jouer les Bayard sans peur et sans reproche.
Mais en réalité, tous, absolument tous, devraient être jugés pour haute trahison pour avoir volontairement mis la patrie en danger en ignorant les cris d’alarme lancés par quelques esprits lucides.
Ils ont préféré taire le danger au prétexte de combattre le FN.
Ils sont tellement stupides et ignares qu’ils n’ont pas compris qu’en diabolisant JMLP, ils déroulaient le tapis rouge aux islamistes qui ont pu tisser tranquillement leur toile dans toute la société.
Ces idiots ont même légiféré pour faire taire ceux qui voulaient défendre notre identité !
 Ultra protégés par les élites du pays qui voient un raciste et un islamophobe derrière chaque arbre, les islamistes ont été chouchoutés par la république des lâches.
On en paie le prix aujourd’hui.
Le texte ci dessous a été écrit par Michel  Poniatowski il y a plus de 30 ans.
 Il est connu mais l’actualité m’incite à le reproduire.
Comme d’autres patriotes qui voyaient se profiler la catastrophe, cet homme politique lucide a été ignoré.
Tout est dit.
Rien à ajouter, tant le message est clair et lucide.
Ce texte à lui seul illustre à merveille le haut degré de trahison de nos élites envers la nation.
 Les bidonvilles africains fleurissent, l’islam s’impose partout en France et nos dirigeants ont perdu le contrôle de la situation.
Pour n’avoir rien vu venir, ils sont otages de nos immigrés !

 
« Son âme, la France est en train de la perdre, non seulement à cause de la mondialisation, mais aussi, et surtout, à cause de la société à la fois pluri-ethnique et pluri-culturelle que l’on s’acharne avec de fausses idées et de vrais mensonges, à lui imposer.
Si cet essai a permis à quelques-uns de mesurer devant quels périls nous nous trouvons placés, il aura déjà atteint son but. (…)
Ces pages peuvent apparaitre cruelles.
Mais elles correspondent à un sentiment très profond. Le moment est venu de traiter énergiquement le problème de l’immigration africaine et notamment musulmane. Si tel n’est pas le cas, la France aura deux visages : celui du «cher et vieux pays» et celui du campement avancé du tiers monde africain.
Si nous désirons voir les choses dégénérer ainsi, il suffit de leur laisser suivre leur cours.
 
Le campement africain toujours plus grand, plus vaste, plus illégal, grignotera d’abord, puis rongera, avant de faire disparaitre tout entier le cher vieux pays, dont la défaite sera annoncée du haut des minarets de nos nombreuses mosquées.
 
Nos temps sont assez graves pour ne pas faire appel à de médiocres facilités politiciennes.
Nous allons vers des Saint-Barthélemy si l’immigration africaine n’est pas strictement contrôlée, limitée, réduite et expurgée de ses éléments négatifs et dangereux, si un effort d’intégration ne vient pas aussi compléter cette nécessaire répression.
Les mesures à prendre sont sévères et il ne faudra pas que le vieux pays frémisse de réprobation chaque fois qu’un charter rapatriera des envahisseurs illégaux.
Il faut donc ainsi que ce cher vieux pays restitue à l’Etat sa place normale.
Les libéraux l’ont affaibli, les socialistes l’ont détruit.  »
Où sont les grandes tâches dévolues à l’État ?
La Justice, l’Armée, l’Éducation nationale, la Sécurité, la Police, notre place en Europe ?
En miettes.
La France est à l’abandon,  en décomposition à travers le monde.
Sa recomposition est dans un retour énergique à l’unité et à la cohérence, et de la Nation et de l’État. »
Si la vérité vous choque, faites en sorte qu’elle devienne acceptable, mais ne bâillonnez pas celui qui en dénonce l’absurdité, l’injustice ou l’horreur. »
 
On ne saurait mieux dire ! Et c’était en 1990 !
 
Jacques Guillemain

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