Le 23/03/2016
Gabriel Robin
Aux alentours de 9 heures, deux explosions retentissaient à l’aéroport de Bruxelles-Zaventem, puis une autre dans une rame de métro entre les stations Maelbeek et Schuman, tout près des bureaux de la Commission européenne.
Il est désormais difficile de récapituler les différents attentats islamistes qui ont visé l’Europe ou le reste du monde ces quatre dernières années.
Une guerre nous est menée, une guerre qualifiée de « cosmique » par le prêtre syrien Elias Zahlaoui, samedi soir dernier à Toulouse.
Si nous ne connaissons pas encore l’ampleur des dégâts causés par ces attentats bruxellois, nous pouvons, d’ores et déjà, en tirer quelques réflexions.
Les terroristes ont souhaité montrer leurs muscles en frappant des zones sous surveillance, théoriquement bien défendues.
Il s’agissait d’une véritable opération militaire, coordonnée au cœur même de la capitale belge.
En représailles de l’arrestation de Salah Abdeslam et ses complices ?
Baroud d’honneur car l’étau se resserrait ?
L’enquête le dira.
Deuxième certitude, nos systèmes de protection sont défaillants.
Les terroristes islamistes profitent de l’absence de contrôles sérieux aux frontières, qu’elles soient intra-européennes ou extra-européennes.
Schengen est une passoire.
Nous le disons depuis des mois, voire des années, sans être entendus.
Il serait temps que cela change.
Les dirigeants européens vont-ils enfin admettre que l’Europe est en guerre totale, effondrée de l’intérieur, envahie par des hordes de migrants, désarmée militairement, défaillante diplomatiquement et soumise économiquement ?
Une guerre a besoin de guerriers, pas de dirigeants oublieux de l’Histoire comme Donald Tusk, Angela Merkel ou François Hollande.
Les politiques européennes sont trop prévisibles, l’ennemi peut facilement anticiper les moyens mis en œuvre pour le contrer.
L’ennemi sait aussi qu’il peut s’appuyer sur la propagande des serpents à sornettes du monde politico-médiatique.
Immédiatement, ils hurlent à la « récupération », aux « amalgames », dans la droite lignée de la campagne « Tous Unis Contre la Haine », qui ne visent que les « petits Blancs ».
Les terroristes, et leurs supplétifs, des tiers-mondistes mondains aux islamo-racailles complices choyées, sont mus par une haine totale de tout ce que représente l’Europe.
Pour agir efficacement, il faudra s’attaquer au mal sous toutes ses formes.
Les États membres de l’Union sont pour la plupart gouvernés par des personnalités laxistes, désemparées, indécises.
Pour gagner, il faut le vouloir plus que l’adversaire.
Comment le vouloir en estimant que l’Europe est un ensemble informe, sans culture propre ?
Comment les peuples européens peuvent-ils survivre sans affirmer fièrement leurs valeurs traditionnelles ?
Le culte de la repentance n’amène que du malheur.
On ne construit pas une politique sur la libre circulation des biens et des individus.
On prépare sa sortie de l’Histoire.
Problème : le reste du monde n’y consent pas.
Les autres peuples attendent leur heure depuis longtemps.
Le ressentiment inouï des anciens colonisés n’est que la matérialisation physique de notre masochisme collectif.
Les Européens vont devoir très rapidement faire des choix radicaux qui décideront de leur devenir, tant sur le plan politique que sur le plan moral.
Il est temps de faire appel à nos instincts de survie.
Quand la bobocratie critique les personnalités politiques qui ont immédiatement réagi après les attentats, elle est coupable d’inconscience.
Faudrait-il se taire pour mieux respecter le deuil ?
Faudrait-il se contenter d’apporter des peluches sur les lieux d’attentats ?
Je crois, au contraire, qu’il serait déplacé de ne rien dire et de ne rien faire.
Agissons avant qu’il ne soit trop tard.
Il est temps de faire appel à nos instincts de survie.
Aux alentours de 9 heures, deux explosions retentissaient à l’aéroport de Bruxelles-Zaventem, puis une autre dans une rame de métro entre les stations Maelbeek et Schuman, tout près des bureaux de la Commission européenne.
Il est désormais difficile de récapituler les différents attentats islamistes qui ont visé l’Europe ou le reste du monde ces quatre dernières années.
Une guerre nous est menée, une guerre qualifiée de « cosmique » par le prêtre syrien Elias Zahlaoui, samedi soir dernier à Toulouse.
Si nous ne connaissons pas encore l’ampleur des dégâts causés par ces attentats bruxellois, nous pouvons, d’ores et déjà, en tirer quelques réflexions.
Les terroristes ont souhaité montrer leurs muscles en frappant des zones sous surveillance, théoriquement bien défendues.
Il s’agissait d’une véritable opération militaire, coordonnée au cœur même de la capitale belge.
En représailles de l’arrestation de Salah Abdeslam et ses complices ?
Baroud d’honneur car l’étau se resserrait ?
L’enquête le dira.
Deuxième certitude, nos systèmes de protection sont défaillants.
Les terroristes islamistes profitent de l’absence de contrôles sérieux aux frontières, qu’elles soient intra-européennes ou extra-européennes.
Schengen est une passoire.
Nous le disons depuis des mois, voire des années, sans être entendus.
Il serait temps que cela change.
Les dirigeants européens vont-ils enfin admettre que l’Europe est en guerre totale, effondrée de l’intérieur, envahie par des hordes de migrants, désarmée militairement, défaillante diplomatiquement et soumise économiquement ?
Une guerre a besoin de guerriers, pas de dirigeants oublieux de l’Histoire comme Donald Tusk, Angela Merkel ou François Hollande.
Les politiques européennes sont trop prévisibles, l’ennemi peut facilement anticiper les moyens mis en œuvre pour le contrer.
L’ennemi sait aussi qu’il peut s’appuyer sur la propagande des serpents à sornettes du monde politico-médiatique.
Immédiatement, ils hurlent à la « récupération », aux « amalgames », dans la droite lignée de la campagne « Tous Unis Contre la Haine », qui ne visent que les « petits Blancs ».
Les terroristes, et leurs supplétifs, des tiers-mondistes mondains aux islamo-racailles complices choyées, sont mus par une haine totale de tout ce que représente l’Europe.
Pour agir efficacement, il faudra s’attaquer au mal sous toutes ses formes.
Les États membres de l’Union sont pour la plupart gouvernés par des personnalités laxistes, désemparées, indécises.
Pour gagner, il faut le vouloir plus que l’adversaire.
Comment le vouloir en estimant que l’Europe est un ensemble informe, sans culture propre ?
Comment les peuples européens peuvent-ils survivre sans affirmer fièrement leurs valeurs traditionnelles ?
Le culte de la repentance n’amène que du malheur.
On ne construit pas une politique sur la libre circulation des biens et des individus.
On prépare sa sortie de l’Histoire.
Problème : le reste du monde n’y consent pas.
Les autres peuples attendent leur heure depuis longtemps.
Le ressentiment inouï des anciens colonisés n’est que la matérialisation physique de notre masochisme collectif.
Les Européens vont devoir très rapidement faire des choix radicaux qui décideront de leur devenir, tant sur le plan politique que sur le plan moral.
Il est temps de faire appel à nos instincts de survie.
Quand la bobocratie critique les personnalités politiques qui ont immédiatement réagi après les attentats, elle est coupable d’inconscience.
Faudrait-il se taire pour mieux respecter le deuil ?
Faudrait-il se contenter d’apporter des peluches sur les lieux d’attentats ?
Je crois, au contraire, qu’il serait déplacé de ne rien dire et de ne rien faire.
Agissons avant qu’il ne soit trop tard.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Ici, les commentaires sont libres.
Libres ne veut pas dire insultants, injurieux, diffamatoires.
À chacun de s’appliquer cette règle qui fera la richesse et l’intérêt de nos débats.
Les commentaires injurieux seront supprimés par le modérateur.
Merci d’avance.