Réflexions sur l'actualité et la
politique Française.
Avec quelques exceptions sur le reste du monde.
Immigration, invasion, colonisation, islamisation, révolution.Covid
L'Etat islamique (EI) a mis en ligne cinq photos appelant les musulmans à commettre en Allemagne des attentats similaires à ceux qui ont touché Bruxelles la semaine passée, indique le groupe de renseignement SITE spécialisé dans la veille des activités jihadistes sur internet.
C’est ce que laisse entendre le groupe de renseignement SITE, spécialisé dans la veille des activités djihadistes sur Internet, qui révèle que l’organisation Etat islamique a posté mercredi des photos appelant à commettre des attentats outre-Rhin.
Plusieurs sites visés
Les bureaux de la chancelière Angela Merkel à Berlin ainsi que l’aéroport de Cologne-Bonn sont désignées comme les cibles d’attentats, similaires à ceux perpétrés à Bruxelles le 22 mars.
Sur l’un des clichés, reposté sur Twitter par le journal allemand Die Welt, on peut voir un homme en tenue militaire, de dos, regardant l’aéroport de Cologne-Bonn accompagné de la légende : « Ce que nos frères ont fait en Belgique, tu peux le faire aussi. »
Un autre photomontage donne à voir les bâtiments de la chancellerie en feu avec un combattant de l’EI et un char devant l’édifice.
La légende est : « L’Allemagne est un champ de bataille. »
Selon le journal français Ouest France, la police fédérale allemande (BKA), qui a en charge la surveillance des détenteurs de passeports allemands rentrant d’un séjour en Syrie ou en Irak, a indiqué avoir pris connaissance des images tout en estimant que leur publication ne justifiait pas de mesures sécuritaires supplémentaires.
« Il est clair que l’Allemagne est une cible du terrorisme international et que des attaques peuvent se produire mais ces publications ne nécessitent pas de mesures de sécurité supplémentaires », a expliqué un porte-parole de la BKA.
Depuis le début de l'année, le président de la République est passé de 25 à 12% d'opinions favorables
Selon une enquête du Centre de recherches politiques de Sciences Po (Cevipof), 43% des personnes interrogées se disent "pas du tout satisfaites" de son action.
Au point que, selon des projections, François Hollande serait battu dans tous les cas de figure au premier tour de l'élection présidentielle
Depuis le début de l'année, le président de la République est passé de 25 à 12% d'opinions favorables, un record d'impopularité.
Une dizaine de lycées parisiens fermés (à priori illégalement car la décision a été prise hier et avant hier) aujourd'hui, pas à cause d'une menace d'attentat, d'un affaissement simultané des toitures ou Dieu sait quoi, non fermés par mesure de sécurité:
Pour éviter des attroupements, des affrontements entre lycéens grévistes et non grévistes ou des dégradations !
Non mais on va où, là ?
C'est quoi ce pays où des proviseurs préfèrent fermer boutique par crainte de désordre !
C'est quoi ce pays où l'on donne la parole à une lycéenne pour qu'elle puisse dire tout le mal qu'elle pense de ces fermetures ?
Si, si, je viens de l'entendre sur Itélé même qu'elle se fait appeler Galatée et qu'elle avait autant de rouge à lèvres qu'une vieille pute à 10 balles:
Vous comprenez, qu'elle a dit, c'est pas normal de fermer les lycées, on ne peut pas y faire d'AG pour parler de la grève et des actions à mener, on ne peut pas se rassembler ensemble avant de partir à la manif, non, c'est vraiment pas cool !
Pauvre conne !
Je peux comprendre que des lycéens manifestent, à leur place, peut-être aurais-je fait de même; ils ont de quoi être inquiets, l'avenir n'est vraiment pas serein, mais tout de même...
Y en a-t-il seulement 1 sur 10 qui ait pris connaissance du texte de ce projet de loi El Connerie ?
Dans un article titré « Marine Le Pen coupée au montage », la journaliste Sophie Durocher, spécialiste des médias au Journal de Montréal, critique sévèrement la façon dont Le Petit Journal de Canal + s’est moqué de l’interview de la présidente du Front national par Anne-Marie Dussault, sur Radio Canada.
C’est d’une mauvaise foi hallucinante », poursuit la journaliste, qui ajoute : « Je ne prends pas la défense idéologique de Marine Le Pen. Mais occulter ses réponses, parfois très bien envoyées, c’est mentir aux téléspectateurs français sur la nature même de cette entrevue. »
Elle relève également, avec stupeur : « Le pire c’est qu’en France, plusieurs médias pourtant respectables ont écrit des textes basés sur le “remontage” du Petit Journal, sans jamais manifestement avoir visionné l’intégralité de l’entrevue. »
Sophie Durocher est d’autant plus indignée que, au Canada, c’est le comportement très agressif d’Anne-Marie Dussault qui a fait scandale.
Terrorisme / R. Kriket : une arrestation qui tombe à pic !
Coup de filet gagnant pour la police. Reda Kriket, arrêté il y a une semaine à Argenteuil était au coeur d’un réseau terroriste international ! Un arsenal important a été découvert dans son appartement. De nombreuses connexions avec des islamistes ont également été établies.
Reda Kriket, l’homme de 34 ans interpellé dans le Val d’Oise, était lourdement équipé. Mercredi soir, le procureur de la République François Mollins a dressé le bilan de la perquisition menée au domicile du terroriste ainsi que celui de ses premiers interrogatoires.
La DGSI, la Direction générale de la Sécurité intérieure, est remontée jusqu’à Reda Kriket en enquêtant sur un homme arrêté en Turquie lors de l’été 2015 et expulsé vers la France dans la foulée. Des liens ont également été établis entre eux et les trois hommes arrêtés dimanche à Rotterdam, en aux Pays-Bas. Parmi eux, Anhis Bahri, né en région parisienne et faisant déjà l’objet d’un dépôt de mandat d’arrêt européen.
De leur côté, les services de renseignement belges ont arrêté deux Algériens, également complices de Reda Kriket. Parmi eux, un certain Abderrahmane, impliqué dans l’assassinat du commandant Massoud en 2001. Ces arrestations successives, quelques jours après les attentats de Bruxelles, entraînent différentes interrogations. Ces islamistes ne pouvaient-ils pas être neutralisés plus tôt ? Combien d’individus dangereux sont encore en liberté ? Malgré ces questions sans réponse… une certitude : cette vague d’interpellations est un joli coup de pub pour le gouvernement… une pub qui ne suffira sans doute pas à faire croire en une réelle efficacité des socialistes pour protéger les Français.
Le gouvernement devrait envoyer des CV de Français pour lutter contre la discrimination anti-français, ça éviterait à certains patrons de tomber sur des machins comme ça :
Tranche de vie : un vendeur SFR s’énerve sur le téléphone de son client (màj réaction SFR)
Voir les réactions de SFR… consternantes, minimisant les choses… ici.
Sfr va se charger des deux Chances Pour La France, mais combien font la même chose sans être inquiétés ?
J’aimerais bien un petit boulot tranquille dans un magasin comme ça… les qualifications pour être recruté sont basées sur la destruction ?
On parlait d’arrogance musulmane il y a quelques jours, en voici un bel exemple car ils savent très bien qu’ils n’auront quasiment rien comme sanction.
Au pire ils seront virés mais avec la bonne discrimination positive ils vont pleurer chez orange qui leur confiera une boutique !
Pensez-vous que le rôle du ministre de l'Éducation soit d'apporter sa caution à un colloque organisé par une société secrète ?
Si tel est le cas, vous pouvez tout de suite refermer cet e-mail.
Mais en ce qui me concerne, j'attache de l'importance au principe de laïcité, qui définit en France la neutralité de l'État vis-à-vis de toute religion ou courant de pensée.
C'est du moins ce que je croyais jusqu'à ce matin.
Car je suis restée stupéfaite lorsque j'ai découvert, grâce à un sympathisant vigilant de SOS Éducation, l'affiche annonçant la tenue d'un colloque à destination de la jeunesse organisé samedi prochain à Paris par la Grande Loge, une obédience franc-maçonne :
Que Najat Vallaud-Belkacem intervienne, à titre personnel, dans ce colloque, ne me choque pas plus que cela.
Certes, le côté "société secrète" de la franc-maçonnerie peut inquiéter sur les intentions véritables de ses membres.
Mais de l'aveu même d'un ancien ministre de l'Éducation, l'omniprésence des "frères" au sein de notre système éducatif est telle que la retape de leurs chapelles est en quelque sorte incontournable.
Alors, ça y est : il a renoncé.
Une nouvelle reculade de ce président « normal ».
Novembre 2012, devant les maires de France : « Nous devons mener notre politique, tenir notre cap. » Mars 2015, à Berlin : « Nous devons tenir la cap des réformes. »
Malgré les démentis, les paires de claques électorales, les revers économiques largement annoncés, l’empirisme et l’amateurisme du gouvernement, les incantations tragi-comiques (n’est-ce pas, Monsieur Sapin ?), les croche-pieds de l’actualité, contre l’évidence et le bon sens, malgré la fonction présidentielle, qui demande, qui exige que l’on se fixe une ligne et que l’on s’y tienne si elle est bonne, malgré les leçons de l’Histoire, monsieur Hollande, une nouvelle fois, comme une digue vieillie, cède.
Sa phrase, peu glorieuse, sonne comme on sonne la retraite : « J’ai décidé de clore le débat constitutionnel. »
Ce « j’ai décidé » donne l’illusion, à lui d’abord et aux Français ensuite, qu’il est encore doté du pouvoir de sa fonction.
Serait-il le seul, en France, à ignorer qu’il ne pèse plus rien, qu’il ne décide plus rien, qu’il a abandonné le sort du pays en des mains qui ne se situent pas à l’Élysée ? « Clore le débat constitutionnel » : en langage commun, cela signifie : « Je suis incapable de convaincre, impuissant à rassembler ma majorité sur un texte. Je savais n’être pas taillé pour le costume, mais là, avec tous ces Brutus qui me poignardent, l’avenir m’apparaît bien sombre ! »
En pleine crise de Mai 1968, Mitterrand, apostrophant de Gaulle dans un discours déclamatoire, martelait : « Où est l’autorité de l’État ? »
Je pense qu’il est temps de remettre les pendules à l’heure. Je ne suis pas une ville, je ne l’ai d’ailleurs jamais été.
Depuis les attentats de Bruxelles, je remarque qu’un important et inquiétant niveau de dhimmitude se développe.
Au lieu de promouvoir la combativité ou la résistance, on tente de nous enrôler dans le pathos permanent.
Ainsi, on nous encourage à allumer des bougies, à faire des dessins dégoulinants de larmes, à se repentir de nos honteux sentiments d’amalgames tout en nous poussant à huer des « hooligans » car, bien évidemment, un homme blanc qui préfère crier plutôt que pleurer ne peut être qu’un raciste empli de haine.
Et puis, pour pimenter un peu notre vie, on nous invite quand même à manifester le temps d’une après-midi afin de jouer au patriote.
Alors, on nous autorise à arborer la banderole « Je suis Paris », « Je suis Bruxelles » ou, si l’on a envie d’exotisme et tenter d’être plus original que les copains, on peut aussi être « Je suis Tunis » ou plus récemment « Je suis Lahore »…
Au moins, les attentats nous permettent de voyager.
Je pense qu’il est temps de remettre les pendules à l’heure.
Je ne suis pas une ville, je ne l’ai d’ailleurs jamais été.
Déploiement de forces de l'ordre le 21 janvier 2016 après l'irruption de migrants sur la rocade près du site d'eurotunnel
Plusieurs dizaines de migrants ont envahi la rocade portuaire à Calais, ce mercredi 30 mars, rapporte France 3 Nord Pas-de-Calais. Selon ce média, entre 250 et 300 personnes ont installé des barrages.
La circulation a été perturbée entre 17 et 18 heures à cause des barrages érigés à l'aide de pneus et de troncs d'arbres.
Les migrants ont tenté de prendre d'assaut des camions qui circulaient sur la voie. Des véhicules ont été endommagés.
Trois policiers ont été blessés dans les heurts qui ont éclaté avec les réfugiés.
Capture d'écran
«Les CRS sont intervenus pour évincer les migrants de la rocade portuaire et permettre le rétablissement de la circulation.
Face aux jets de projectiles et à la présence de nombreux migrants sur les voies de circulation, les CRS ont dû faire usage de moyens lacrymogènes», a indiqué la préfecture, selon La Voix du Nord.
Oui, vous avez bien lu mes chers amis : 7 000 SDF sont morts dans nos rues.
Si l’on ramène cela à un nombre de morts par an, le nombre de SDF qui nous quittent chaque année est sensiblement identique au nombre de tués sur les routes.
Pourtant, il n’y a pas de radars sur les autoroutes de la misère !
En fait, tout le monde s’en fiche de la grande misère, de la grande détresse, de nos milliers de SDF qui meurent chaque année, ou de nos 11 000 suicidés (et 200 000 tentatives).
Nous préférons cacher ces réalités et fantasmer un monde idéal et stupide.
Alors me direz-vous, d’où viennent ces chiffres ?
Et vous aurez raison !
Rassurez-vous, ils ne proviennent pas d’un sous-site Internet d’un vague groupuscule “d’esssstrême” gauche qui souhaiterait montrer que la gauche de Valls, c’est la droite, ni même des fascistes de “l’esssstrême droate” qui voudraient ainsi montrer qu’avant d’accueillir des migrants par milliers, on ferait mieux de s’occuper de ceux déjà là.
Non mes amis, ni l’un ni l’autre.
La source c’est Le Quotidien du Médecin, et cet article a été écrit par un docteur.
Oui, un médecin qui fait face à la misère, à la maladie, à la mort des autres.
Il n’y a rien de politique là-dedans.
De l’humain, évidemment, mais justement pas d’homme d’État, intercesseur d’une politique devenue ces dernières décennies totalement inhumaine. Le Quotidien du Médecin est sans doute la meilleure revue et la plus indépendante à l’attention des professions médicales et de santé (mais c’est accessible à tous).
Leurs articles sont de très grande qualité.
Dans un entretien à l’hebdomadaire Minute, Dominiek Lootens-Stael, unique député du Vlaams Belang au Parlement régional de Bruxelles, revient sur la responsabilité des élus socialistes dans l’islamisation de Bruxelles et des communes voisines. Extrait.
Minute : Il y a vraiment autant d’étrangers que ça à Molenbeek ?
Dominiek Lootens-Stael : Honnêtement, aujourd’hui, dans le vieux Molenbeek, il n’y a que des étrangers.
En 1991, sur le parvis Saint-Jean-Baptiste, il y avait encore un bistrot européen.
Après les émeutes de Molenbeek et de Forest (une autre commune de l’agglomération bruxelloise, Ndlr), cette année-là, les propriétaires du bistrot ont été chassés.
C’est désormais une banque qui occupe les lieux : la Chaabibank, du Maroc !
Il n’y a plus rien pour les Molenbeekois de souche.
Ils ont été chassés de leur quartier, parfois même de façon organisée.
Le pouvoir politique a toujours été du côté de ces « nouveaux Belges ».
Il n’y avait guère que le Vlaams Blok, aujourd’hui Vlaams Belang, pour les aider.
Ce qui n’est pas facile quand on est dans l’opposition.
Terrorisme / La radicalisation dans tous ses états
La France malade du djihadisme ! 8 250 signalements de radicalisation contre un peu plus de 4 000 en mars 2015, le phénomène touche désormais tout le territoire et toutes les franges de la société. Le ministre de la ville, Patrick Kanner, brandit le nombre de 100 Molenbeek français. Le quartier du Mirail à Toulouse et la ville de Trappes dans les Yvelines sont souvent cités par les forces de l’ordre. Selon leurs renseignements, 148 mosquées auraient basculés dans le radicalisme.
L’apprentissage du terrorisme s’étend jusque dans les campagnes. En effet, un bourreau de l’Etat islamique, Maxime Hauchard, a grandi à Bosc-Roger-en-Roumois dans l’Eure, une commune de 3 200 habitants. Phénomène plus récent, le milieu sportif n’est pas épargné. Selon une proposition de résolution pour la création d’une commission d’enquête sur la radicalisation, plusieurs associations, par ailleurs subventionnées par l’Etat laïc, refusent la mixité et interrompent l’entraînement pour la prière.
Nicolas Dhuicq, député Les Républicains et psychiatre de formation, figure parmi les élus présentant ce texte. Il s’est également exprimé sur la radicalisation en prison. Il affirme que les individus concernés ont souvent une personnalité perverse qui les conduit à un total manque d’empathie envers les autres. Inaptes à la rédemption, ils sont capables de récidiver après 20 ou 30 ans de réclusion. La perpétuité réelle pour ces individus serait alors le seul moyen de protéger la société.
Face à l’explosion du nombre de personne signalées comme radicalisées, les services de renseignement saturés peinent à traiter tous les signalements et sont dépassés par la stratégie djihadistes. En effet, contrairement à Al-Qaïda qui frappe des lieux symboliques comme le World trade center et Charlie Hebdo, l’Etat islamique peut frapper n’importe où. Pour le ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve :”la menace terroriste est sans doute encore plus importante qu’avant le 13 novembre”.
Société / Terreur à l’abattoir : acte III
Metz, Alès, Le Vigan et maintenant Mauléon dans la Soule… La liste des scandales dans les abattoirs s’allonge… Attention ces images sont très choquantes. On y voit des animaux découpés alors qu’ils sont encore en pleine conscience, d’autres son violentés, projetés au sol, dans des caisses… Certains déambulent dans le sang, observant leurs congénères agoniser. Un agneau est même écartelé vivant par 2 crochets…
Il y a tout juste un an, nous avions reçu Anne de Loisy, auteur de Bon Appétit, quand l’industrie de la viande nous mène en barquette. La journaliste avait visité une quinzaine d’abattoirs et les traitements qu’elle avait observé étaient déjà du même ordre.
Tout comme l’abattoir du Vigan, l’établissement de Mauléon était habilité à produire de la viande bio et label rouge… On imagine pourtant que ces qualificatifs offrent une garantie de meilleur traitement pour les animaux, au moins pour proposer une qualité de viande supérieure… Il n’en est rien. Point de traitement de faveur ! Pourtant, de tels procédés réduisent considérablement les efforts des éleveurs de l’agriculture biologique. C’est d’ailleurs pour cette raison que la fédération des éleveurs et producteurs de viande bovine a annoncé qu’elle déposerait une plainte contre X auprès du parquet de Pau.
Le non-respect des conditions sanitaires vont souvent de paire avec la maltraitance et les risques pour le consommateur ne sont pas anodins…
Après des scandales successifs, le ministre de l’agriculture Stéphane Le Foll a été contraint de réagir. Une commission d’enquête a été lancée avec la possibilité de procéder à des visites inopinées dans les établissements… Par ailleurs, le ministre réclame une inspection de tous les abattoirs français dans un délai d’un mois… Pour Anne de Loisy, une telle décision sera très difficile à appliquer.
De leur côté, les associations de protection animale réclament de la vidéo-surveillance dans les établissements d’abattage. Cependant, malgré l’impact des images, les décisions prises a posteri prouvent que l’information seule ne suffit pas. A chaque diffusion de ces vidéos, les abattoirs concernés sont fermés par décision administrative…. Mais Alès a rouvert 2 mois après et Le Vigan à peine un mois plus tard… Mauléon a également été fermé hier pour rouvrir dans quelques temps, sans réel progrès…
Société / Pédophilie à Villefontaine : 1 an après
“Ma petite fantaisie à moi”, c’est ainsi que le pédocriminel Romain Farina décrit son addiction. Interpellé en mars 2015, cet ancien instituteur et directeur d’école à Villefontaine en Isère était connu pour son engagement syndical et citoyen. En 2014, il avait été candidat sur une liste de gauche pour les élections municipales. Il est aujourd’hui mis en examen pour viol sur au moins 66 enfants, un chiffre qui pourrait encore grossir. Les enquêteurs ont retrouvé plusieurs dizaines de milliers de clichés de fillettes et de bébés sur son ordinateur. Après avoir été réformé de l’armée pour motifs psychiatriques, Romain Farina avait échoué 4 fois au concours pour devenir professeur de collège.
Actuellement entendu par des psychologues, ce père de famille de 46 ans inquiète par la légèreté avec laquelle il évoque les faits dont on l’accuse. Se définissant volontiers comme “pédophile”, il regrette seulement d’avoir “manqué de volonté”. Pour s’exonérer de l’horreur, l’individu évoque une vie sexuelle décevante avec sa femme, le harcèlement de ses collègues enseignants et son traitement antidépresseur. Son mode opératoire était toujours le même. Romain Farina proposait un “atelier du goût” à l’occasion duquel il obligeait ses élèves à lui faire des fellations, les yeux bandés. Il estime que la première jeune victime aurait été consentante, affirmant même “C’était bizarre pour un enfant, mais ça passe !”.
Les premiers faits remontent à 2001 au début de sa carrière à Vénissieux dans le Rhône. A l’époque, les parents d’une fillette avaient déposé une plainte rapidement classée sans suite. Malgré l’obligation des procureurs d’informer l’administration de toute poursuite ou condamnation, rien n’avait été fait. Le magistrat n’avait pas non plus jugé utile de prononcer une mesure l’empêchant de s’approcher des enfants. De son côté, le ministre de l’Education nationale, Najat Vallaud-Belkacem, reconnaît la responsabilité de son administration après la mise en examen d’un professeur de l’Académie de Versailles. Romain Farina aurait semble-t-il été couvert. En effet, après une condamnation en 2008, sa hiérarchie l’avait mis en congé maladie. Il encourt aujourd’hui 20 ans de prison… avec un peu de chance, il sortira après l’âge de la retraite.
International / Etats-Unis : quand la donne a changé
La guerre pour avoir la paix ! C’est la doctrine que suit à la lettre les Etats-Unis depuis leur fondation. En 239 années d’existence, l’oncle Sam a connu pas moins de 222 ans de guerre.
Les interventions à l’extérieur de son territoire font partie de l’ADN politique américaine. Une tendance qui s’est intensifiée au Proche et Moyen Orient depuis 30 ans. Motivés par les raisons idéologiques et les perspectives économiques que peuvent ouvrir des conflits armés, les Etats-Unis s’imposent depuis plus d’un demi siècle comme la 1ère puissance mondiale.
En revanche, depuis les attentats du 11 septembre 2001 et la montée du terrorisme islamique, l’opinion américaine est de plus en plus hostile aux interventions extérieures, ces dernières ne garantissant pas l’intégrité du territoire comme en témoigne les attentats perpétrés sur le sol américain. Des attentats de plus en plus fréquents : en 2008 à Fort Hood, en 2013 à Boston puis en juillet 2015 à Chatanooga et à San Bernardino en décembre.
Ces événements ayant considérablement touché la population américaine, de plus en plus de personnalités politiques affichent désormais des positions proches de l’isolationnisme. Historiquement, l’isolationnisme américain est l’apanage de l’aile droite du parti Républicain, mais elle touche aujourd’hui le parti Démocrate. La présidence Obama et l’accord sur le nucléaire iranien semblent relever d’un changement profond des mentalités américaines. Chez les républicains, le champion de l’isolationnisme est le turbulent Donald Trump qui prône le retrait des forces américaines présentes en Europe et le désengagement dans la guerre contre Daech au profit de l’alliance entre Moscou et Damas.
Si un revirement complet de la politique étrangère de Washington n’est pas envisageable à court terme, la tendance est au désengagement. Et cette tendance échappe complètement à la France.
En effet, campés sur l’idée d’une Amérique belliciste, les chefs d’Etats français Nicolas Sarkozy puis François Hollande n’ont pas hésité à jouer les va-t-en guerre sans s’assurer du soutien de Washington. Le conflit en Libye qui déstabilisera durablement l’Europe en est un exemple marquant. La France et son allié qatari n’y seront finalement soutenu que partiellement par les Etats-Unis. En Syrie, le président François Hollande a souvent été dépassé par les déclarations de son ministre des affaires étrangères Laurent Fabius, ce dernier n’hésitant pas à vanter les qualités des terroristes d’Al Nosra et à menacer la Syrie de Bachar al-Assad alors même que les Etats-Unis calmaient sensiblement le jeu.
L’actualité en bref
– 4 mois pour rien ! A l’issue du Conseil des ministres et de l’entrevue avec le président du Sénat et de l’Assemblée nationale, François Hollande a décidé de clore le débat sur sa réforme de la constitution. En effet, le Parlement n’arrivant pas à s’entendre sur la déchéance de nationalité, le Congrès ne sera donc pas convoqué à Versailles. Une fois de plus, François Hollande est confronté à l’échec. Fustigeant une opposition sénatoriale qui selon lui ne sait pas sortir du débat “politicien” pour rentrer dans l’union nationale, le chef de l’Etat se prépare pour la présidentielle de 2017 en rejetant la faute sur la droite.
– L’importance du sacré ! Depuis le vendredi 25 mars, est exposée dans la basilique Saint-Denys d’Argenteuil, une tunique qui aurait appartenu au Christ. Près de 150 000 pèlerins sont attendus durant les 3 semaines d’exposition du suaire. Dans un contexte social marqué par les derniers attentats islamistes de Bruxelles, les catholiques ressentent de plus en plus le besoin de se tourner vers l’Eglise. Et ce, pour essayer de retrouver une certaine spiritualité. Un important dispositif de sécurité a été mis en place, en raison d’un projet d’attentat avancé, déjoué le jeudi 24 mars à Argenteuil.
– Quand les bombes explosent, les selfies s’imposent ! La veille des attentats de Bruxelles, le ministre de l’intérieur, Bernard Cazeneuve, posait en photo avec Amar Lasfar. Cet imam niçois n’est autre que le président de l’UOIF, une organisation s’appuyant sur la doctrine des Frères musulmans, et dont des imams ont été dénoncés pour leurs déclarations antisémites, christianophobes et ambigües sur le djihad. Difficile de croire le ministre de l’Intérieur capable de lutter contre l’islamisme…
– Najat Vallaud Belkacem chez les Francs Maçons. Le 2 avril, La Grande Loge de France organise un colloque sur la jeunesse au palais Brongniard à Paris. Le ministre de l’Education natioanle sera de la partie. Lors du cinquième dîner de l’obédience maçonnique en septembre 2015, Najat Vallaud Belkacem avait insisté sur ce que “la République et l’école doivent à la franc-maçonnerie depuis 2 siècles”.
Une « fête » dont l’objectif décrit par le CAID-E est « de parler de la richesse de la diversité à partir d’un élément important de l’identité : le prénom (…).
Parce qu’un prénom, c’est toute une histoire, des histoires, des parcours, des destinations, des « ici » et des « ailleurs » (…).
La Fête des Prénoms c’est la célébration de la diversité, l’affirmation sans barbelés ni mots qui excluent de la farouche volonté de vivre ensemble, bien, en paix, dans la multiplicité de nos prénoms ».
Cette « fête » organisée par le CAID-E aura lieu ce mercredi 30 mars au collège Katia et Maurice Krafft, à Béziers.
Le CAID-E, un collectif d’enseignants de Béziers contre Robert Ménard
On a trouvé 6 milliards d’euros ! Youpi, on va pouvoir dépenser !
Une cagnotte, une cagnotte ! lance Michel Sapin.
On a trouvé 6 milliards d’euros !
Youpi, on va pouvoir dépenser !
Mais aussitôt, il se rétracte, car la ficelle était un peu grosse pour une bourse plate !
En revanche, les commentateurs qui se précipitent avec gourmandise sur les effets d’annonce sans prendre un Alka-Seltzer préventif ont propagé la bonne et inattendue nouvelle avec leur zèle habituel.
Ce mardi, sur France 2, Jean-Christophe Lagarde, président de l’UDI, était interrogé par Jeff Wittenberg, très informé et incisif, qui lui posait et réitérait par deux fois la question : « Que faire de ces 6 milliards ? », et cela en dépit d’une bonne explication de l’interviewé prouvant la confusion du journaliste, sinon son innocence puérile des choses économiques !
« Les 4 Vérités » se sont réduites à une évidence brutale : le déficit budgétaire – c’est-à-dire (je me permets de le rappeler pour le journaliste) la différence entre ce qui est dépensé et ce qui est perçu par l’impôt – a certes diminué de 6 milliards, mais il s’élève tout de même à 56 milliards d’euros pour 2015 !
Tout citoyen responsable, constatant un déficit sur son compte bancaire moindre en fin de mois que le mois précédent, comprendrait sans se triturer les méninges mathématiciennes que la différence n’est pas un bonus bienvenu lui offrant une opportune capacité de dépense immédiate.
À Verosvres, en Saône-et-Loire, la population n’en veut pas et son maire, Éric Martin, non plus : 150 migrants dans ce village de 450 habitants, « cela créera trop de déséquilibres », argumente-t-il.
Tout a commencé il y a peu.
En apprenant la fermeture, en juin prochain, du lycée professionnel Marguerite-Marie, le directeur de l’association d’insertion Le Pont, Gilles Pierre, a eu une idée lumineuse : transformer l’établissement scolaire en centre d’accueil pour demandeurs d’asile (265 CADA, déjà, en décembre 2014).
Et l’affaire d’être rondement menée.
Rencontre avec le préfet, congratulations mutuelles, et hop !
vendredi 18 mars, une délégation venait visiter les bâtiments si aimablement proposés.
« Les personnes que nous pourrions accueillir ici auraient cette caractéristique de pouvoir recevoir rapidement un statut de réfugié. Les délais pour son obtention seraient alors de 4 mois. Ce ne serait pas un centre de longue durée », a expliqué le préfet.
Au rythme où le projet semble mené, d’ici la fin de l’année, les Vroulons (c’est le nom des habitants de Verosvres), qu’ils le veuillent ou non, verront leur population augmenter d’un coup d’un seul de 35 % d’étrangers.
« Certaines personnes sont désespérées. Il y en a qui songent à déménager, d’autres qui veulent faire des actions comme repeindre la mairie ou l’église. Nous avons essayer de canaliser ces personnes pour que nos actions se fassent dans la légalité […] », raconte un villageois.
Le 13 mai 2015, les barbares de l'auto-proclamé Etat Islamique s'attaquaient à Palmyre; en moins de 15 jours, l'affaire fut pliée, le joyau de l'Antiquité tombait aux mains de Daesh.
Le monde entier s'en offusqua et prit peur que Palmyre ne soit détruite.
" Deux grosses larmes de crocodiles ont coulé sur les joues de Laurent Fabius et de François Hollande " et ce fut à peu près tout.
Souvenez-vous, que disait-il Président à ce moment-là ?: " Nous devons agir, parce qu'il y a un péril pour des monuments qui sont inscrits au patrimoine de l'humanité et en même temps nous devons agir pour lutter contre Daech. Il s'agit aussi de trouver une solution politique en Syrie et c'est ce que fait la France et ce qu'elle fait depuis longtemps; tous les jours le groupe Daech mais aussi le régime se livrent à des combats et se livrent aussi à des pressions sur les populations civiles ".
Voilà ce qu'il disait, autrement dit pas grand chose ou plutôt la même chose que ce qu'il dit sur tel ou tel sujet: " Il faut agir ".
Mais nous qui regardions cette bête à peine humaine de Daesh étendre peu à peu son emprise sur les territoires syriens et irakiens avions remarqué - il eut fallu être aveugle pour ne pas le voir - qu'aucune puissance internationale n'avait fait quoique ce soit pour empêcher l'EI de devenir le monstre que l'on connaît aujourd'hui.
Washington, Londres et Paris se foutaient royalement de Palmyre.
" Il faut agir " , my ass !
Que valait Palmyre en regard d'une défaite tant espérée de cet affreux Bachar ?
Rien.
Nos trois mini-leaders n'avaient qu'un truc en tête: se défaire de Bachar, faire tomber Bachar.
On, pardon, Président avait même fait parvenir des armes aux rebelles anti-Assad: Il fallait s'en débarrasser, le bombarder et pourquoi, j'exagère à peine, l'atomiser façon puzzle.
Le monstre, depuis 4 ans, à l'époque, c'était Bachar, pas al-Baghdadi !
On allait voir ce qu'on allait voir, on allait " agir "...
Invité dimanche dernier d’Elisabeth Lévy pour L’Esprit de l’escalier, diffusée sur RCJ, Alain Finkielkraut a porté un regard particulièrement acéré sur le quartier de Molenbeek :
« Je suis allé moi-même à Molenbeek. Je m’y suis promené en voiture, j’étais avec le sénateur belge Alain Destexhe et il m’a dit : “Nous n’avons pas intérêt à nous promener à pied, on risque de nous reconnaître et nous serions alors dans une situation très désagréable, nous pourrions être insultés, voire molestés.“
« Donc nous avons traversé Molenbeek en voiture.
Toutes les femmes étaient voilées. […]
Dans les quartiers que j’ai traversés, dans les rues que j’ai vues, toutes les femmes étaient voilées, tous les gens étaient d’apparence musulmane : les femmes étaient voilées, les hommes portaient des djellabas et des burnous, les enseignes des boutiques étaient rédigées en arabe. […]
Nous étions hors de l’Europe, au cœur de l’Europe.
«Patrick Kanner a eu le mérite de dire les choses telles qu’elles sont… »
Au micro de RTL, le député-maire de PS de Sarcelles a soutenu les propos du ministre de la Ville Patrick Kanner.
«Actuellement des écoles coraniques détenues par des salafistes se créent un peu partout en France, en toute légalité, et le maire n’a pas le pouvoir de les faire fermer.»
Sur le marché, certains vendeurs vont même jusqu'à justifier les attentats qui seraient la réponse à l'intervention occidentale en Syrie.
"Ton président, Hollande, tu vas me dire qu'il ne tue pas de civils ? [...]
Parce que la vérité, ils défendent les musulmans, c'est pour ça." Un discours fréquent à Molenbeek.
Merry Hermanus, homme politique belge bruxellois, membre du Parti socialiste : « La question s’est posée « qui peut encadrer ces jeunes ? Les grands frères c’est souvent bidon, parce que le grand frère lui-même il deale etc. Donc, qu’est-ce qui peut les encadrer, c’est la religion, et donc, l’autorité politique s’est appuyée sur les mosquées… » »
Dans un climat survolté, les députés ont réformé les modalités du recueil des 500 signatures, de l’heure de fermeture des bureaux de vote et du temps de parole dans les médias.
Applicable pour la prochaine élection présidentielle en 2017, la proposition de loi socialiste modifie profondément certaines règles marquantes du concours présidentiel, comme par exemple l’obligation pour tous les candidats de rendre public les fameux 500 parrainages d’élus.
Une autre disposition, beaucoup plus polémique, concerne la modification de la stricte égalité du temps de parole dans les médias entre les différents candidats.
Pour beaucoup de députés d’opposition, ce texte conduit à affaiblir les petits candidats.
Les précisions de Valérie Brochard.
Laïcité.Plusieurs habitants affirment avoir vu un médecin au visage voilé exercer aux Urgences du centre hospitalier. Une information démentie par son directeur, mais confirmée par une élue de gauche.
"Ce locataire a été soigné aux urgences de l’hôpital de Laon par une femme médecin voilée"
« Madame, je viens d’apprendre une chose scandaleuse qui se passe aux urgences de l’hôpital de Laon, d’abord d’un habitant de Marchais à qui je loue des terres, puis par mon kiné qui m’a confirmé ce que j’avais du mal à croire, a écrit une habitante de la ville de l’Aisne à Brigitte Fournié-Turquin, conseillère départementale Front de gauche - Europe Écologie Les Verts, dans un courriel envoyé le 23 février dernier et que Valeurs Actuelles a pu se procurer. Ce locataire a été soigné aux urgences de l’hôpital de Laon par une femme médecin voilée. Il n’a vu que ses yeux et son français était peu compréhensible. »
L’incident s’est produit il y a deux mois.
Le port du voile islamique par le personnel hospitalier est considéré dans le droit français comme une manifestation ostentatoire de la religion incompatible avec l’obligation de neutralité des agents publics dans l’exercice de leur fonction.
"Si personne ne fait respecter la loi le FN va prospérer un peu plus"
1/Terrorisme / Le 3e homme toujours introuvable
2/Politique / La politique de la ville alliée du salafisme ?
3/Société /La loi travail divise les socialistes
4/International / Syrie : l’EI recule
5/L’actualité en bref
L’Euro 2016 va commencer dans 74 jours. Il ne reste à Cazeneuve, franc-maçon islamophile et catholicophobe, que la prière et les bougies…
Quand, le 28 mai 2010, la France obtient, de haute lutte, contre la Turquie, l’organisation de l’Euro 2016 de football, personne ne se doute que, six années plus tard, cet événement tournerait au cauchemar pour les autorités françaises.
Les données sont fort simples.
Il y aura, du 10 juin au 10 juillet, 51 matchs à sécuriser sur dix terrains de France : Saint-Denis, Marseille, Lyon, Lille, Bordeaux, Paris, Saint-Étienne, Nice, Lens et Toulouse.
Ajoutez à cela ce qu’on appelle les « fan zones », ces écrans géants installés dans des milliers de villes, qui devraient attirer 7 millions de passionnés de football.
Sous couvert d’anonymat, un membre des services antiterroristes a révélé à l’AFP qu’il avait participé à une réunion avec les organisateurs.
Il était alors envisagé, en cas d’attentat, de continuer l’Euro, la seule question étant de savoir s’il fallait arrêter les matchs une journée ou deux.
On a connu cela à Munich, aux Jeux olympiques, en 1972, lors de l’assassinat de sportifs israéliens par des Palestiniens, par ailleurs de la même religion que ceux qui menacent cet Euro, et tuent partout dans le monde.
Bref, que va faire Bernard Cazeneuve, l’homme qui est payé pour protéger les Français et qui a, à son passif, depuis son passage à Beauvau, en 2015, 150 morts, entre les attentats de Charlie Hebdo, la décapitation d’Hervé Cornara et les massacres du Bataclan ?
Il faut l’avouer, on n’est jamais déçu par les interventions de Julien Dray.
Il faut l’avouer, on n’est jamais déçu par les interventions de Julien Dray.
Dimanche 27 mars encore, le conseiller régional d’ÎIle-de-France faisait les utilités au « Grand Jury » de RTL.
Pas de trêve pascale lorsqu’il s’agit de défendre le soldat Hollande, qualifié de « bon président » par notre thuriféraire de service.
Un compliment relativement sobre, mais en faire plus aurait sans doute été en faire trop !
On a encore un tantinet le sens de la mesure du côté de Solférino.
« Julien, n’y va pas trop fort avec l’encensoir, je vais me le prendre dans la figure », doit lui dire son vieil ami François lors des visites vespérales au Château ! « Ce président a tenu bon et a été à la hauteur des événements. La France a tenu dans des situations où elle aurait pu se déliter et se déchirer », a affirmé sobrement Julien Dray.
On ne refera pas ici la rétrospective de ces quatre années calamiteuses pour notre pays : chômage et insécurité en hausse constante, explosion d’un communautarisme islamique de plus en plus arrogant, perte d’influence sur la scène internationale, lois sociétales remettant en cause les fondements naturels de la famille…
On arrête là la litanie.
Réunie une première fois le 15 juin 2015, l’instance de dialogue entre les Français de confession musulmane et les pouvoirs publics a de nouveau été réunie le 21 mars 2016.
Cette réunion s’inscrit dans le prolongement des consultations locales organisées par les préfectures, qui ont permis d’entendre des milliers de Français de confession musulmane.
Si pour la première édition des tables rondes sur divers sujets plébiscités par les participants avaient été organisées, cette 2e instance a été centrée sur le phénomène de radicalisation.
Dans son discours de clôture, le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve a salué la « volonté d’engagement qui anime sincèrement les musulmans de France » et a assuré ces derniers du soutien de la République. Ministère de l’Intérieur
Lors de cette réunion, Bernard Cazeneuve a pris la pose pour un « selfie » avec Amar Lasfar, président de l’UOIF (Union des Organisations Islamiques de France) et Abdelkader Saldouni, l’imam de Nice, accusé d’entretenir des liens étroits avec les Frères Musulmans.
Patrick Kanner, ministre lillois de la Jeunesse et des Sports, a osé dire ce que tout le monde sait: il existe des Molenbeek en France.
Il n’en fallait pas plus pour fâcher le clan des communautaristes qui, depuis plusieurs années, fondent tous leurs espoirs sur une inversion des règles du pacte républicain.
Pourquoi Kanner parle de Molenbeek français
Si Patrick Kanner fait le choix de briser le tabou sur la montée du communautarisme, ce n’est évidemment pas ni par gaieté de coeur ni par hasard.
Kanner est un élu lillois bien placé pour mesurer les dégâts du tabou dans les régions où le communautarisme monte.
Le fait que le Front National soit devenu le premier parti politique dans sa région en est la preuve et la conséquence directe.
Il faut se promener à Roubaix pour comprendre que des pans entiers de territoire ont basculé dans un monde où la culture occidentale est devenue minoritaire.
Et Kanner a compris que la conspiration du silence qui entoure ces bouleversements nourrit une radicalisation mortifère pour sa famille politique.
Cambadélis dénonce la stigmatisation des Musulmans
Forcément, pour les élus qui font profession de communautarisme, surtout dans l’exception parisienne où le Front National est minoré, les propos de Kanner sonnent comme un discours pré-fasciste.
Cambadélis, qui réussit l’exploit d’être le député du quartier où les Kouachi se sont radicalisés sans voir jamais eu le moindre mot de regret sur sa responsabilité dans le phénomène, a réagi vivement aux accusations terribles du ministre Kanner:
«Moi, je ne suis pas pour ce discours» ni «ces formules sur les quartiers», a-t-il dit en appelant à «ne pas dissoudre la concorde nationale». «Je ne suis pas pour la stigmatisation, je suis pour montrer ce qui réussit plutôt que de dire qu’il faut rejeter», a-t-il insisté.
«Il y a des problèmes, il ne faut pas les fuir», a concédé le député de Paris. «Dans les quartiers, pour ceux qui les connaissent, on sait très bien qu’il y a une tour, un endroit où il y a une concentration (…) Mais dire un quartier, on stigmatise», a-t-il ajouté. «On doit avoir une stratégie vis-à-vis du terrorisme, c’est de ne pas isoler les musulmans, mais d’isoler» les terroristes.
Précisément, camarade Camba, ces endroits, on les connaît, et on sait tous que la radicalisation ne s’y limite pas à une tour ou un appartement, mais qu’elle percole partout.
Il suffit de se rendre à Ménilmontant, à Belleville, à Barbès, pour vérifier ces évidences que tu cherches à cacher parce que tu leur dois tes réélections successives.
L’islamiste Salah Abdeslam, recherché depuis les attentats du 13 novembre dernier qui se sont traduits par un véritable carnage à Paris, a été arrêté le 18 mars en Belgique, à Molenbeek.
Le 22 mars, soit, à peine quatre jours après, Bruxelles est frappée en représailles.
A ceux qui n’ont toujours pas compris, ou qui ne veulent toujours pas comprendre l’objectif visé et la détermination de notre ennemi, commun à l’Europe et à tous ceux qui ne sont pas musulmans, il faut préciser que d’autres pays européens sont ciblés dans une planification élaborée depuis plusieurs mois, et que la France sera à nouveau frappée bientôt, probablement en réponse à la remise de Salah Abdeslam aux autorités judiciaires françaises.
Car cet ennemi qui nous combat dans cette guerre asymétrique sait manœuvrer et riposter lorsqu’il est touché.
C’est la dure réalité que nos dirigeants, par manque de lucidité et de courage, refusent de voir.
Cette réalité est d’autant plus menaçante que l’invasion migratoire que subit depuis de nombreux mois l’Europe, sans que ses dirigeants soient en mesure de réagir par incompétence et manque de vision, constitue la première étape de la guerre que mène l’Islam, à présent ouvertement, contre l’Occident et en particulier contre le continent européen.
Car cette invasion migratoire a été planifiée et constitue une attaque sans précédent des pays européens visant à déstructurer de l’intérieur nos sociétés, sans compter l’infiltration par milliers de djihadistes rejoignant les réseaux et filières déjà présents et prêts à combattre et à mourir en martyrs au nom d’Allah.
Il semble cependant que cet ennemi ne soit toujours pas nommé précisément.
En effet, que nous dit le Président de la République ?
« Nous devons prendre conscience de l’ampleur et de la gravité de la menace terroriste… La guerre contre le terrorisme doit être menée dans toute l’Europe ».
Hormis le fait qu’il énonce une évidence sur la situation et sur la nécessité de réagir – mais cela chacun est capable de l’énoncer – il ne nomme pas l’ennemi.
Non, Monsieur le Président, il ne s’agit pas de terrorisme.
Vous « confondez » à dessein le moyen et l’ennemi.
Le terrorisme n’est que l’instrument qui sert les intérêts de l’auteur qu’il faut nommer.
C’est l’Islam qui a déclaré la guerre depuis longtemps d’ailleurs à l’Occident.
Le Général Piquemal aurait du choisir de manifester contre la Loi Travail, il n’aurait pas été placé en garde à vue.
Commettre des violences urbaines est moins risqué que de s’exprimer publiquement.
C’est en tout cas le sinistre constat que l’on peut faire en comparant deux situations : celle du général Christian Piquemal, interpellé le 6 mars 2016 en marge d’une manifestation pacifique organisée à Calais en protestation à la politique migratoire de nos dirigeants, et celle des lycéens (ou présentés comme tels) ayant saccagé une supérette et jeté des projectiles sur deux commissariats parisiens le 25 mars 2016.
En effet, dans ce dernier cas, il n’y a eu ni interpellation, ni ordre de dispersion.
Les vidéos qui circulent sur Internet sont pourtant éloquentes : on y voit des dizaines d’individus surexcités lancer des projectiles sur les façades des commissariats des Xe et XIXe arrondissements, le slogan « Mort aux flics » ayant été par ailleurs inscrit sur l’une des devantures.
Bien entendu, les médias traditionnels insistent sur la légitimité de tels actes, ceux-ci étant présentés comme faisant suite à l’interpellation musclée d’un lycéen qui avait jeté, la veille, un projectile au visage d’un policier.
Rappelons que ces lycéens, par définition mineurs et non actifs, bloquent des établissements scolaires et manifestent publiquement contre la loi Travail, dite loi « El Khomri », ce qui amène à s’interroger quant à la légitimité de leur mouvement, dont la dimension politique s’inscrit dans un contexte de scission de la gauche, dont une partie a tout intérêt à se faire entendre.
Inciter des adolescents à déserter les cours pour faire pression sur le législateur n’est, hélas, pas une première dans notre pays.
La jeune fille avait été piégée en décembre 2013 par une dizaine de jeunes, alors âgés de 16 à 19 ans, d'une cité de Sevran.
Ils avaient tendu un "piège" à une jeune fille de 16 ans en l'attirant dans une cage d'escalier avant de la violer à tour de rôle: 13 jeunes de 19 à 22 ans seront jugés à partir de mercredi par la cour d'assises des mineurs de Seine-Saint-Denis.
Viol collectif.
Le 7 décembre 2013, la jeune fille attend son ex-petit ami en bas d'un HLM de la cité Rougemont à Sevran quand elle se fait voler son portable par deux individus cagoulés.
Peu après, trois jeunes de la cité qu'elle connaît viennent la trouver pour lui dire qu'ils peuvent l'aider à le récupérer.
Sans se douter de ce qui l'attend, la jeune fille, originaire d'un autre département francilien, les suit jusque dans un appartement qui se révèle être un squat.
Là, dans une chambre obscure, se trouvent quatre adolescents, vautrés sur un canapé.
L'un bloque la porte avec un meuble.
Violée une première fois, elle est ensuite conduite dans une cage d'escalier d'un autre bâtiment de cette cité sensible où une dizaine de jeunes attendent leur tour pour la forcer à pratiquer une fellation ou à se soumettre à un rapport sexuel.
Le militant radical Daniel Le Bigot (en vert), allié objectif du Hamas palestinien
BREIZATAO – POLITIKEREZH (24/03/2016)
Après les attentats de Bruxelles commis par des commandos musulmans, la gauche radicalisée de Brest et de Quimper (Finistère) a tenu à dénoncer le racisme des populations ciblées.
La Ligue des Droits de l’Homme, une organisation d’extrême-gauche alliée à la confrérie islamiste des Frères Musulmans (voir ici), a tenu un rassemblement devant la mairie de Quimper où elle a dénoncé le racisme des sociétés européennes ciblées par les groupes armés musulmans.
Le journal socialiste Le Télégramme rapporte (source) :
« Nous devons rester solidaires, combattre les amalgames, agir dans le cadre de l’État de droit », a déclaré Stéphane Blondin, président de la section locale de la LDH.
Cette entreprise de récupération politique par la gauche radicalisée – régulière depuis le renforcement des opérations militaires musulmans en Europe – fonctionne de moins en moins :
Devant cette faible mobilisation, « le pire serait qu’on s’habitue, on ne peut pas accepter que cela soit la normalité », a estimé l’écologiste Daniel Le Bigot.
Jusqu’alors, personne n’osait dire ce que les plus lucides d’entre nous constataient : la France n’est plus une nation unitaire.
« Il y a aujourd’hui en France, on le sait, une centaine de quartiers qui présentent des similitudes avec ce qui s’est passé à Molenbeek », disait Patrick Kanner, ministre de la Ville, au micro du « Grand Jury » RTL-Europe 1-Le Monde.
Un aveu terrible de la part d’un homme qui déclarait en février dernier, à la suite des attentats contre Charlie Hebdo, que « les places » devaient « d’abord aller aux jeunes de banlieue ».
Inlassable promoteur du multiculturalisme et de la discrimination dite « positive », Patrick Kanner est un sociétaliste Terra Nova pur sucre.
Si le constat dressé au « Grand Jury », bien que très tardif, est juste, l’idéologie défendue par des personnalités comme Patrick Kanner est la cause de notre malheur.
Comme le veut l’adage : « Dieu se rit des hommes qui se plaignent des conséquences alors qu’ils en chérissent les causes. »
Le ministre aura beau se parer des atours du vrai républicain, il n’en restera pas moins le défenseur d’une République à deux vitesses, qui ne pourra qu’aboutir au communautarisme, voire au tribalisme.
Cette République à deux vitesses, fière d’accueillir des millions d’individus devenus inassimilables, n’a de la République que le nom.
Une République discrimine au sens noble du terme, elle distingue le citoyen de l’étranger et applique la préférence nationale, choses que se refuseront à faire monsieur Kanner et les siens.
Les attentats délient les langues.
Jusqu’alors, personne n’osait dire ce que les plus lucides d’entre nous constataient : la France n’est plus une nation unitaire.
Aujourd’hui, les mensonges finissent par tomber sous les assauts de la réalité.
L’inversion des valeurs fait le terreau des djihadistes.
On se demandait encore récemment comment on devient djihadiste.
Eh bien, la réponse est arrivée en regardant les vidéos de ces jeunes criant « Mort aux flics » et attaquant commissariats et dévalisant des supermarchés.
Ils ont 15 ans, ils sont collégiens et ils manifestent dans la rue.
D’abord, quelles en sont les raisons ?
Il y a la version officielle et la version officieuse.
La version officielle : une lutte forte et légitime contre une loi de régression sociale : « Nous, on veut vivre aussi bien que nos parents et même mieux. »
Sauf que s’ils étudiaient de pied ferme, ils apprendraient peut-être que l’État-providence dont ils se réclament dérive directement de la planche à billets et que les déficits abyssaux qui se creusent seront pour eux. Ils feraient bien de s’en alerter et, mieux, de manifester devant le ministère du Budget pour essayer d’endiguer l’héritage qui sera le leur.
Car nous ne leur laisserons que des dettes.
Ça, c’est pour la version officielle.