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mardi 2 février 2016

Prostitution, trafics d’organes… 10.000 jeunes migrants ont disparu en un an et demi

                                                    
Le 02/02/2016
L’immigration massive en provenance du Moyen-Orient est une nouvelle aubaine pour tous les groupes criminels.
    
C’est une information contenue dans une dépêche de l’AFP, reprise de l’hebdomadaire anglais The Observer, que nos médias nationaux se sont globalement contentés de reproduire sans plus de commentaires.
 Elle passait dimanche soir en bandeau sur BFM TV : « Plus de 10.000 enfants migrants non accompagnés ont disparu en Europe sur les 18 à 24 derniers mois. »
Du sensationnel.
 Sans explication.
On se dit qu’une telle information mériterait les gros titres.
 La stupéfaction.
 L’indignation générale.
Pourtant, rien de tout cela.
Du coup, quand on se souvient des heures de télé consacrées au cadavre du petit Aylan sur une plage de Turquie en août dernier et le séisme que ses photos ont déclenché, on se dit que Staline avait raison : « La mort d’un homme est une tragédie. La mort d’un million d’hommes est une statistique. » Alors, pensez, 10.000 gosses disparus, ce n’est même pas la peine d’en parler !
Eh bien, justement, parlons-en.

Ce chiffre n’est pas une estimation fumeuse sortie de la « fachosphère » anti-immigrationniste ; non, c’est celui donné par Brian Donald, patron d’Europol, l’instance de police criminelle intergouvernementale chargée de faciliter les échanges de renseignements à travers l’Europe.
 Il concerne, nous dit-on, « les enfants dont toute trace a été perdue après leur enregistrement auprès des autorités européennes », sachant qu’environ « la moitié d’entre eux ont disparu en Italie ».

Précisément, Brian Donald affirme dans son interview qu’on a perdu la trace de 5.000 de ces mineurs après leur enregistrement en Italie, et 1.000 d’entre eux en Suède.
 De plus, la Grande-Bretagne « a vu doubler le nombre des disparations en 2015 ».
 Bref, une « infrastructure criminelle de grande envergure » serait à l’œuvre sur le continent, conclut M. Donald.
Les ONG avancent de leur côté des chiffres encore plus alarmants.
Ainsi, Save the Children International, gestionnaire d’un camp d’accueil à Preševo, en Serbie, estime que « 26.000 mineurs sont arrivés seuls en Europe en 2015 » et a, dès la mi-janvier, alerté sur la situation gravissime des enfants.
 Europol admet d’ailleurs que son estimation de 10.000 disparus est sans doute bien en dessous de la vérité dans la mesure où 27 % du million des demandeurs d’asile arrivés en Europe en 2015 étaient des mineurs.
« Certains de ces jeunes ont rejoint leur famille, d’autres se cachent par peur d’être renvoyés, mais Europol dit disposer de preuves quant au fait qu’une partie d’entre eux est exploitée sexuellement, en Allemagne et en Hongrie notamment », peut-on lire ce lundi sur le site du Monde.

Nos guerres menées au nom du bien en Serbie, au Kosovo, dans les Balkans y ont créé une situation florissante pour les mafias.
 Notamment la mafia albanaise.
 L’immigration massive en provenance du Moyen-Orient est une nouvelle aubaine pour tous ces groupes criminels.
 Ainsi, nous dit-on, « des organisations criminelles de passeurs seraient désormais en relation avec des gangs gérant des réseaux de prostitution et d’esclavage. Leurs membres profitent de la confusion qui règne dans divers pays : ils se font passer pour des proches et emmènent les enfants. D’autres, des passeurs payés pour acheminer des mineurs vers leur famille, organisent leur disparition. »

Les adolescents migrants font des troupes fraîches pour cette prostitution dont raffolent les gros Allemands pansus.

Plus besoin d’aller à l’autre bout de la planète pour y pratiquer le tourisme sexuel : la marchandise est désormais livrée à domicile.
 Sans oublier cet autre trafic dont on évite bien de parler : le trafic d’organes.

Marché noir florissant, là aussi, qui fournit 15 % des greffons.

Pour « l’affaire Medicus », révélée en 2011 – un chirurgien turc et un néphrologue israélien (jamais extradés) greffant des organes de contrebande dans une clinique du Kosovo -, combien d’autres toujours prospères ?

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