Le 22/02/2016
C'est ce qui est sorti de la bouche d'une commentatrice de CNN, sur le plateau des commentateurs suite à l'élection en Caroline du Sud.
Leur candidat, Jeb Bush, s’est fait laminer et, larmoyante, la commentatrice continue: « Une dynastie vient de s’éteindre. »
Quelle dynastie !
Celle de va-t-en-guerre !
Restent, désormais, dans la course Cruz, Rubio, Trump. Contre l’avis des « spécialistes », lesquels, comme chez nous, depuis le premier débat des GOP (Grand Old Party), enterraient six pieds sous terre Trump, je croyais en sa candidature.
Il tuait à lui seul le politiquement correct.
Il exprimait les exaspérations des Américains, face aux politicards corrompus de l’establishment.
Il cassait tous les codes établis.
Il déclarait même avoir fait partie de ce système, qu’il estime aujourd’hui contre-productif et qui doit disparaître.
Il se finance seul, ce qui lui permet des libertés d’expression qu’aucun autre candidat ne peut se permettre, fût-ce du côté démocrate.
Je l’ai intitulé « Tsunami Trump » puis je l’ai comparé à Gargantua.
Gargantua, une nouvelle fois, vient de s’asseoir sur l’establishment avec une belle avance sur ses concurrents.
Ils vont désormais se déchaîner pour briser sa popularité.
Ils le disent sans fard. « Désormais, nous allons l’observer à la loupe, ce que nous avons négligé de faire jusqu’à présent. »
Tout est une question de pognon pour eux, les commentateurs de l’establishment.
Jamais un mot sur le peuple qui vote.
Le peuple reste encore, dans leur tête, une masse informe, puante, suintante, dont on ne sait que faire.
La majorité silencieuse que l’on méprise et à laquelle Trump ne cesse de s’adresser.
Qu’ils ne s’inquiètent pas, le peuple saura quoi faire des représentants du « nouvel ordre mondial » dont ils ne veulent plus.
Ce qu’ils veulent, c’est un chef qui leur rende la fierté d’être américains.
Qui restaure les infrastructures, limite l’immigration, combat l’islam radical, ramène du boulot au pays, arrête ces guerres meurtrières, écrase l’organisation État islamique, rétablisse des règles, révise le TAFTA et, enfin, parle avec le président Poutine, conscient que le monde n’est pas unipolaire mais multipolaire.
Je crois qu’il faut se rendre compte de la montagne face à laquelle se trouve Donald Trump : face à 6 groupes mondiaux qui possèdent 90 % de la presse américaine : General Electric, News Corp, Disney, Viacom, Time Warner et CBS !
Tous membres du Bilderberg, présidé par le Français Henri de Castries, PDG d’Axa !
Ils vont mettre le rouleau compresseur en marche pour lui barrer la route, à ce Gargantua.
S’il sort vainqueur, ce sera grâce aux oubliés, au peuple américain, qui aura pour une fois montré qu’il est plus fort que les quelques tenants du « nouvel ordre mondial » qui fait et défait les présidents, lors des réunions secrètes du groupe Bilderberg.
Pour nous, Européens, l’espoir, c’est Donald Trump, car aucun des autres candidats n’est prêt à parler avec la Russie, qui ne demande qu’une chose : un bon partenariat avec l’Amérique.
Et nous, Européens, nous suivrons, pour le bon sens et l’intérêt général.
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