Depuis le début de l'hiver, plus de 20 sans-abris sont déjà morts dans la rue, le plus souvent à cause du froid. Ces drames nous rappellent qu'un refus d'hébergement dans un centre d'accueil peut signifier la mort.
Les nombreux témoignages recueillis sur le terrain par les militants de Génération Identitaire lors de leurs tournées de solidarité auprès des SDF chaque semaine confirment que la pression des clandestins arrivant en flux continu sur le continent se fait de plus en plus forte sur les centres d'accueil.
Par ailleurs, chaque jour nous apprenons par les médias que de nouveaux hébergements d'urgence inédits sont ouverts pour l'accueil des pseudo-réfugiés.
Ainsi, des préfabriqués ont été installés à Calais et le seront bientôt aussi à Paris.
Il n'y a là rien d'anecdotique : ce que l'Etat fait aujourd'hui pour les clandestins, il ne l'a jamais fait pour les Français qui vivent, dorment, et parfois meurent dans la rue.
Nos SDF qui subissaient déjà la violence des bandes étrangères dans les soupes populaires ou les centres d'accueil des grandes villes s'en trouvent désormais carrément chassés.
Pour les plus précaires de nos compatriotes aussi, l'immigration n'est pas une chance.
Parce qu'il est intolérable que des Français meurent pour avoir laissé leur place à des clandestins qui ne devraient pas même être présents sur le territoire national, nous exigeons que les centres d'accueil et les solutions d'hébergement d'urgence soient destinés en priorité aux sans-abris français et européens.
Les nôtres avant les autres !
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